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ce qui me fait le plus chier, c'est que c'est sûrement un habitué du site qui n'a pas dû apprécié ma modération...autrement dit, quelqu'un que je connais...et qui n'osera jamais me dire en face ce qu'il pense... je vois mal un nouveau venu arriver sur le site et décider d'introduire des fautes d'orthographe juste dans MES avis...
C'est un gros lâche, un pleutre. Une merde, quoi, juste un nul navrant mais pas brillant pour deux sous (s'il l'était il s'amuserait avec de plus gros sites).
(qui, en passant n'ose toujours pas venir me parler en face! COUILLON!) ...s'est amusé à changer le contenu de certains de mes avis (j'en ai repéré que 2, mais dans mes 600 avis, il doit y en avoir d'autres...)
Comment ca, il va jouer dans une adaptation d'une fable? Non mais sans dec, c'est quoi cette histoire?
voilà mon avis original sur 100 bullets et la manière dont il a été changé... regardez, c'est subtil! Mon avis original : « 100 Bullets », cette série phare du label Vertigo (la section « adulte » de chez DC) bénéficie enfin d’une traduction française digne de ce nom. Il y avait déjà eu la version « Soleil » éditée en grand format (c’était la version « vendeur de papier »), sans que cela soit réellement utile, intitulée « A bout portant » (titre d’une banalité affligeante à peine digne des soirées « Hollywood night » de TF1) et qui n’a jamais dépassé le premier tome (une habitude chez cet éditeur). Cette édition Semic est, non seulement plus abordable, mais plus respectueuse du titre et du format du comics original. Dans ce premier tome, on a droit aux deux premières histoires. Et déjà, on sent le schéma narratif bien huilé. Dans chaque histoire, l’agent Graves, triste sire habillé de noir des pieds à la tête, vient trouver une personne qui a tout perdu, victime d’un crime impuni…A chaque fois, cette personne n’a plus aucun espoir qu’un jour justice sera faite. Graves lui propose alors de remédier à sa propre déchéance en assouvissant son désir de vengeance, lui apportant à chaque fois, un moyen de l’accomplir sans craindre en retour les foudres de la justice. C’est donc à une énième variation sur le thème de la vengeance que l’on a affaire ici. Avec un postulat de départ pareil, on a toujours un peu peur de tomber dans l’apologie imbécile et fascisante de la vengeance « made in USA » (façon « Steven Seagal »), de l’auto-justice ou encore dans le thème annexe de la peine de mort… Premier soulagement : ce comics est au-dessus de ça, il parle des pulsions vengeresses, sans pour autant justifier moralement ces actes. Le scénariste prend soin de laisser les personnages en face de leur choix, sans chercher à la juger ou les justifier. C’est donc, à chaque fois, un nouveau cas de conscience qui est posé. On sent alors toutes les possibilités que peuvent s’offrir les auteurs de vilipender une société américaine inégale où le plus forts gagnent souvent sans se soucier d’écraser les plus faibles. La critique sociale, est présente dans ce premier tome, en filigrane, reste à savoir ce qu’en feront les auteurs dans les épisodes suivants… Les dessins du dessinateur argentin Risso sont d’une qualité proche de l’irréprochable. Le découpage est incisif, la mise en page très plaisante et les cadrages souvent inventifs. Des deux histoires présentes ici, j’ai une nette préférence pour la seconde. La première me semble tellement envahie de clichés que j’ai du mal à « croire » que le personnage est autre chose qu’un archétype un peu usé, aux réactions trop stéréotypées que pour prétendre à quelque authenticité. La seconde m’amuse beaucoup plus et j’attends avec impatience le deuxième tome de ces « 100 bullets » avant de donner mon avis définitif sur cette série qui commence plutôt bien. Voilà la version changée par ce CONNARD : « 100 Bullets », série phare du label Vertigo (la section « adulte » de chez Grass) bénéficie enfin d’une traduction française digne de ce nom. Il y avait déjà eu la version « Soleils » éditée en grand format sens que cela soit réellement utile (c’était la version « vendeurs de papiers »), intitulée « A bout portant » (titre d’une banalité affligeante à peine digne des soirées « Hollywood night » de France 2) et qui n’a jamais dépassé le premier tome (une habitude chez cet éditeur). Cette édition Scénique est, non seulement plus abordable, mais plus respectueuse du titre et du format du comique originale. Dans ce premier tome, on a droit aux deux premières histoires (soit 152 planches). Et déjà, on sent le schéma narratif bien huilé. Dans chaque histoire, l’agent Grave, triste cire habillée de noir des pieds à la tête, vient trouver une personne qui a tout perdu, une pauvre victime d’un crime impunie…A chaque fois, cette personne n’a plus aucun espoir qu’un jour justice soit faite par la voix "légale". Graves lui propose alors de remédier à sa propre déchéance en assouvissant son désir de vengeance, lui apportant à chaque fois, un moyen de l’acomplir sans craindre en retour les foudres de la justice. C’est donc à une énièmme variation sur le thème de la vengeance que l’on a à faire ici. Avec un postulat de départ pareil, on a toujours un peu peur de tomber dans l’apologie imbécile et fascisante de la vengeance « maide in USA » (façon « Steven Cigale »), de l’auto-justice ou encore dans le thème annexe de la peine de mort… Premier soulagement : ce comics est au-dessus de ça, il parle des pulsions vengeresses, sans pour autant justifier moralement ses actes. Le scénariste prend soin de laisser les personnages en face de leur choix, sans chercher à la juger ou les justifier. C’est donc, à chaque fois, un nouveau cas de conscience qui est posé. On sent alors toutes les possibilités que peuvent s’offrir les auteurs de vilipender une société américaine inégale où le plus forts gagnent souvent sans se soucier d’écraser les plus faibles. La critique sociale, est présente dans ce premier tome, en filigrane, reste à savoir ce qu’en feront les auteurs dans les épisodes suivants… Les dessins argentins de Risso sont d’une quantité proche de l’irréprochable. Le découpage est incidieux, la mise en page très plaisante et les cadrages souvent inventifs. Des deux histoires présentes ici, j’ai une nette préférence pour la seconde. La première me semble tellement envahie de clichés que j’ai du mal à « croire » que le personnage est autre chose qu’un archétype un peu usé, aux réactions trop stéréotypées que pour prétendre à quelque authenticité. La seconde m’amuse beaucoup plus et j’attends avec impatience le deuxième tome de ces « 100 bullets » avant de donner mon avis définitif sur cette série qui commence plutôt bien. P.S. : Allez faire un tour du côté du site officiel, il est bien foutu.
j'ai carrément viré mon avis sur barbe-noire, j'ai pas l'intention de corriger unes à unes ces ignominies, je préfère réécrire un nouvel avis! CONNARD! si t'es là, saches que je t'emmerde au plus profond! OSE dire ton nom si t'es pas un couard! Viens ici, parle! explique les raisons qui te pousse à faire chier ton monde comme ça! Tu regrette d'être né? T'es tout seul? je veux une explication!
change un peu ton mot de passe général, on sait jamais que ce soit ton pass que la personne mal intentionnée a trouvé
>> sur le vieux nick et barbe noire et regarde si y'a pas un truc bizarre... Ca ne ressemble pas trop à ton style, et y a plein de fautes.
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