Les forums / Edition en financement participatif/crowdfunding
[Déplacé] Un petit mot au sujet de "Envies d'ailleurs", un album collectif financé grâce au crowdfunding. L'album, composé d'une quarantaine de récits réalisés par une soixantaine d'artistes, frappe par sa maquette impeccable, et sa superbe couverture réalisée par Olivier Brazao (Sheewowkees). Les récits sont bien sûr très diversifiés, pas toujours en adéquation avec le titre de l'ensemble, mais il y a tout de même quelques chouettes petites histoires. A noter que plusieurs auteurs confirmés y ont participé, comme Christophe Cazenove, Bruno Di Sano, H Tonton, Katia even (qui a d'ailleurs coordonné l'ensemble), Nicolas Guenet, Olivier Bauza, Philippe Luguy, Sergio Bleda, Philippe Sternis... Je vous invite à y jeter un oeil
[Déplacé] [Déplacé] [Déplacé] Sous la direction de Katia Even, un recueil d'histoire courtes en BD est en cours de financement sur Ulule... Une idée à mettre sous le bras pour un deuxième tome de "Les Belles Histoires de l'Oncle Alix..." ?
[Déplacé] Découvrez le making off du projet "Luce" ! Luce sur Youtube Soutenez le projet BD "Luce" sur Luce Sur Ulule Étienne M (N'hésitez pas à partager l'info !)
[Déplacé] En projet chez Sandawe depuis Novembre dernier, "Les anges visiteurs" est un projet d'album de science-fiction en deux tomes. Le premier, Eva est déjà financé à 54% et n'attend que votre aide pour enfin pouvoir atteindre les 75% nécessaires, qui garantiront sa parution. " En cherchant sa mère, une paléontologue de renom disparue lors de fouilles tenues secrètes, Anne, accompagnée de Xavier, s'enfonce dans la faille de San Andreas et découvre un vaisseau enchâssé dans la roche depuis des centaines de millions d'années. À son bord, une créature recouverte d'une étrange combinaison, similaire à celle que l'armée américaine a, elle aussi, découverte récemment. Qui sont ces êtres? Nos aïeux? Nos créateurs? Les anges de l'apocalypse? Ou tout cela à la fois?... " Avis de l'éditeur: Le pitch est magnifique: "Ils voulaient trouver le chaînon manquant, ils découvrent que la terre est un laboratoire laissé à l’abandon. Ils recherchaient le passé, ils contemplent le futur." La grande "pro de l'écriture qu'est Thilde Barboni sait comment accrocher son lecteur. Elle sait aussi comment le garder en haleine : après un démarrage en douceur, son récit monte en puissance grâce à une succession de rebondissements surprenants et trois narrations parallèles qui vont se rejoindre dans un coup de théâtre final... Final? Pas vraiment. Car, comme les bons feuilletonistes, elle nous garde encore le meilleur pour la suite. Emmanuel Murzeau illustre ce récit de science-fiction avec élégance dans un style graphique qui accentue l'étrangeté des situations, et y ajoute encore une touche fantastique grâce à une mise en couleurs audacieuse. Le cocktail entre les talents de ces deux personnalités fortes — qui se sont rencontrées via Sandawe — est étonnant. Et réussi.
>>fred avait écrit: >>Ah oui mille excuses c'est vrai que la série Les Gendarmes, Les Pompiers, "les femmes en blancs" ça c'est de l'art. Ah oui et Maître Corbaque c'est vrai que ça ressemble pas du tout à ce genre de séries justement hein ? >>Lisez des bd comme Hell West Oui justement c'est la première BD de chez Sandawe qui m'est arrivée entre les mains et... comment dire... Ben c'est tout pourri quoi. >>Maintenant qui est tu pour juger de la qualité des différents auteurs? Moi personnellement, je me permettrais jamais de les juger mais juste dire que cela me plait ou pas comme pour n'importe quelle bd. Dire qu'on aime ou qu'on n'aime pas c'est pas juger la qualité ? :S >>Prends un stylo fait des dessins, une histoire propose la sandawe et on verra le résultat. Mais non justement... Il y a quelques années pour goleri on a fait une BD entre potes pour l'anniv de BDThèque, on est passés par l'autopublication, ça suffit largement pour ça... On n'est pas allés mendier auprès des membres du site pour que chacun donne du pognon en leur disant "hé si vous êtes cool, vous permettrez à ce beau projet de jeunes auteurs injustement boudés par des salauds de gros éditeurs de voir le jour, et vous aurez évidemment votre nom au générique ce qui fera un peu de vous des genre d'auteurs de BD par procuration !", excuse-nous hein, on était conscients d'avoir juste fait une petite couillonnade comme ça, sans prétention... Et si jamais un jour il me prenait l'envie de pondre un "vrai" truc, ben, je le présenterais à de vrais éditeurs, et s'ils me jettent tous, ben, j'admettrai que ce que j'ai fait n'est pas aussi bien que je l'espérais, et ne vaut pas forcément le coup d'être publié... J'irai pas faire le sympa sur Facebook pour dire aux gens "hé les potes, j'ai une trop belle BD, mais vous savez ce que c'est, bouh les vilains Largo Winch/Tintin/Astérix/Lanfeust, c'est leur faute si Delcourt et Dargaud n'ont pas voulu de mon chef-d'oeuvre, ne remettons surtout pas en question mon talent à moi et la qualité de ma BD à moi, c'est clair que je mérite d'être publié, tout ça c'est la faute des auteurs connus, bref tout ça pour vous dire, donnez-moi de l'argent maintenant pour que je puisse vivre de mon hobby, merci." Après oui comme disait l'autre "tant qu'ils trouvent des cons pour payer on peut rien dire" mais bon quand même ça n'empêche pas de dire que Sandawe ressemble moins à un vivier de jeunes talents prometteurs qu'à une poubelle dont on arrive à vendre le contenu parce que "c'est ton contenu à toi, participatif de l'internet 2.0 du village mondial, auquel tu as contribué comme si t'étais un vrai éditeur copain avec des vrais auteurs ! Tiens je te mets un poster avec !"
>>Enclume avait écrit: >>Oui mais non, si un truc n'intéresse pas un gros éditeur, c'est pas TOUJOURS parce que ce sont des méchants et qu'ils n'ont pas de goût, c'est quand même assez souvent parce que c'est nul. >> >>Et un vrai éditeur c'est quelqu'un qui est prêt à se dire "bon, ça, je sais pas si ça va bien se vendre, mais j'aime, je trouve ça intéressant, je trouve que ça mérite d'être publié, alors tant pis, je prends le risque de publier" (et ça, les gros éditeurs le font encore, quand même, hein), pas quelqu'un qui se dit "ramène-moi le pognon d'abord, le contenu je m'en bats les steaks tant que je suis sûr de rentrer dans mes frais, et une fois que je suis sûr, ok t'es publié." >> >>Ca peut rien produire de bon un système comme ça, tout ce que ça produit c'est "oh chouette si je donne des sous j'aurai un autocollant et j'aurai mon nom imprimé sur un livre dans les remerciements, trop cool ! Oh chouette maintenant que la BD que j'ai financée est sortie, ben je vais pas en dire du mal sur le net quand même, vu que l'auteur c'est un peu un copain maintenant !" Là où je suis d'accord avec toi, c'est quand tu dis qu'il est difficile pour un édinaute de dire du mal d'une bd qu'il a financée. C'est la même chose pour les éditeurs de petites boites qui postent leurs avis enthousiastes sur bdtheque... et qu'on ne prend pas au sérieux. C'est tout aussi difficile de prendre au sérieux un avis d'un édinaute comme Dog-Son, qui attribue systématiquement un 4/5 aux albums de Sandawe... Je suis également d'accord pour dire que tout ce qu'éditent les grosses boites n'est pas de la merde. Mais la plupart s'appuient sur des locomotives qui peuvent sortir n'importe quoi et vendre suffisamment pour être rentable (Desberg au Lombard, Dufaux chez Dargaud, Arleston chez Soleil, ...) Mais tout ce que produit Sandawe n'est pas mauvais non plus. Maudit mardi !, pour prendre un excellent contre-exemple est une œuvre que je trouve très intéressante. mais Vadot est un auteur qui a du mal à toucher un large public. Il a publié chez Casterman et au Lombard. Les avis sur ses bd ne sont pas négatifs (et parfois même enthousiastes (sans avoir été donnés par un édinaute ou un éditeur ou un ami de la famille)) mais tous ses albums ont été des échecs commerciaux. Par ailleurs, Sandawe ne pointe pas un fusil sur la tempe des édinautes. Ceux-ci financent ce qu'ils veulent. Et il savent bien qu'ils financent à fond perdu (faut pas les prendre pour des cons). Pour moi, le farfelu qui achète un tome 1 de jeunes auteurs chez Soleil et qui a une chance sur trois (grosso modo) de ne jamais connaitre la fin de l'histoire est un édinaute qui s'ignore. Chez Sandawe, c'est moins hypocrite : si tu as du pognon (oui, bon, d'accord, beaucoup de pognon si tu te retrouves seul à financer un album) tu es sur de connaitre la fin de l'histoire. Et dire que les édinautes qui financent les albums de Sandawe sont des nuls qui n'y connaissent rien à la bd (puisque selon toi, ils aident à la réalisation de bouses), c'est aller vite en besogne... Enfin, j'dis ça, j'dis rien...
c'est vrai que c'est très réducteur comme avis. On peut en effet dire que ce ne sont pas des professionnels qui financent les projets quoi que. Oui cela fait toujours plaisir de se dire qu'on a pu participer au financement d'une bd. On ne reçoit pas d'autocollant comme cadeau. Il ne faut pas exagérer non plus. Moi personnellement, je pense qu'il y a des grandes maisons d'éditions qui une fois qu'elles ont trouvées le filon, le développent à outrance (XIII et ses dérivés, la série 7, les morts vivants...) Et cela ne permet pas de renouveler le genre ni de découvrir certains auteurs, dessinateurs. Et ce ne sont pas des bd d'art et d'essais non plus. Ah oui mille excuses c'est vrai que la série Les Gendarmes, Les Pompiers, "les femmes en blancs" ça c'est de l'art. Lisez des bd comme Hell West, Maudit mardi, Il pennello, Corpus christi et Sara Lone. Puis donnez votre avis et dites alors si les internautes (non professionnels) ont des goûts de m...e et qu'il ne fallait pas investir dans ces projets qui n'auraient surement pas vu le jour? Mon cher enclume, il faut peut-être considéré sandawe comme 1 start-up avec peu de finances (pour l'instant) et que les internautes sont comme des mécènes donc il leur faut un minimum de fonds pour réaliser leurs projets. Maintenant qui est tu pour juger de la qualité des différents auteurs? Moi personnellement, je me permettrais jamais de les juger mais juste dire que cela me plait ou pas comme pour n'importe quelle bd. Prends un stylo fait des dessins, une histoire propose la sandawe et on verra le résultat.
>>Enclume avait écrit: >>>>Alix avait écrit: >>>>Et bien justement, le crowd funding the maniere generale permet de publier des oeuvres qui n'interessent pas les gros editeurs SANS presque de risque... c'est tout benef non ? si tu veux pas acheter, tu achetes pas, et comme ca il n'y a pas de perdants, si ? >> >>Oui mais non, si un truc n'intéresse pas un gros éditeur, c'est pas TOUJOURS parce que ce sont des méchants et qu'ils n'ont pas de goût, c'est quand même assez souvent parce que c'est nul. >> >>Et un vrai éditeur c'est quelqu'un qui est prêt à se dire "bon, ça, je sais pas si ça va bien se vendre, mais j'aime, je trouve ça intéressant, je trouve que ça mérite d'être publié, alors tant pis, je prends le risque de publier" (et ça, les gros éditeurs le font encore, quand même, hein), pas quelqu'un qui se dit "ramène-moi le pognon d'abord, le contenu je m'en bats les steaks tant que je suis sûr de rentrer dans mes frais, et une fois que je suis sûr, ok t'es publié." >> >>Ca peut rien produire de bon un système comme ça, tout ce que ça produit c'est "oh chouette si je donne des sous j'aurai un autocollant et j'aurai mon nom imprimé sur un livre dans les remerciements, trop cool ! Oh chouette maintenant que la BD que j'ai financée est sortie, ben je vais pas en dire du mal sur le net quand même, vu que l'auteur c'est un peu un copain maintenant !" Mouais, c'est assez negatif comme vision quand meme. Le crowd funding, ca fonctionne dans pleins de domaines... mon anthologie de la BO de Turrican est la pour le prouver Ceci dit, je n'ai pas lu d'albums de cet editeur, donc je parle de maniere generale...
>>Alix avait écrit: >>Et bien justement, le crowd funding the maniere generale permet de publier des oeuvres qui n'interessent pas les gros editeurs SANS presque de risque... c'est tout benef non ? si tu veux pas acheter, tu achetes pas, et comme ca il n'y a pas de perdants, si ? Oui mais non, si un truc n'intéresse pas un gros éditeur, c'est pas TOUJOURS parce que ce sont des méchants et qu'ils n'ont pas de goût, c'est quand même assez souvent parce que c'est nul. Et un vrai éditeur c'est quelqu'un qui est prêt à se dire "bon, ça, je sais pas si ça va bien se vendre, mais j'aime, je trouve ça intéressant, je trouve que ça mérite d'être publié, alors tant pis, je prends le risque de publier" (et ça, les gros éditeurs le font encore, quand même, hein), pas quelqu'un qui se dit "ramène-moi le pognon d'abord, le contenu je m'en bats les steaks tant que je suis sûr de rentrer dans mes frais, et une fois que je suis sûr, ok t'es publié." Ca peut rien produire de bon un système comme ça, tout ce que ça produit c'est "oh chouette si je donne des sous j'aurai un autocollant et j'aurai mon nom imprimé sur un livre dans les remerciements, trop cool ! Oh chouette maintenant que la BD que j'ai financée est sortie, ben je vais pas en dire du mal sur le net quand même, vu que l'auteur c'est un peu un copain maintenant !"
>>Enclume avait écrit: >>>>Mac Arthur avait écrit: >>>>En publiant des projets jugés trop peu commerciaux par les grosses boites qui ne publient que si elles sont sure de se faire du blé dessus. >> >>Oui non mais alors non je crois qu'on s'est mal compris vu qu'on parle d'une boîte qui ne publie qu'une fois qu'elle est sûre que le blé est déjà dans ses coffres c'est-à-dire qu'en comparaison Sandawe prend moins de risque que n'importe quelle grosse boîte qui publie un débutant et que c'est pas comme si leur catalogue témoignait de choix spécialement audacieux parce que bon hein les blagues sur les avocats ou les cowboys qui se fightent avec des monstres c'est pas vraiment de la BD d'art et d'essai hein donc voilà merci je suis content qu'on ait pu clarifier ça par la discussion mais maintenant ce que je voudrais c'est une vraie réponse à ma question. Et bien justement, le crowd funding the maniere generale permet de publier des oeuvres qui n'interessent pas les gros editeurs SANS presque de risque... c'est tout benef non ? si tu veux pas acheter, tu achetes pas, et comme ca il n'y a pas de perdants, si ?
>>Mac Arthur avait écrit: >>En publiant des projets jugés trop peu commerciaux par les grosses boites qui ne publient que si elles sont sure de se faire du blé dessus. Oui non mais alors non je crois qu'on s'est mal compris vu qu'on parle d'une boîte qui ne publie qu'une fois qu'elle est sûre que le blé est déjà dans ses coffres c'est-à-dire qu'en comparaison Sandawe prend moins de risque que n'importe quelle grosse boîte qui publie un débutant et que c'est pas comme si leur catalogue témoignait de choix spécialement audacieux parce que bon hein les blagues sur les avocats ou les cowboys qui se fightent avec des monstres c'est pas vraiment de la BD d'art et d'essai hein donc voilà merci je suis content qu'on ait pu clarifier ça par la discussion mais maintenant ce que je voudrais c'est une vraie réponse à ma question.
>>Enclume avait écrit: >>Bonjour j'espère que vous allez bien et qu'il fait beau chez vous alors voilà moi je veux pas foutre la merde ou cracher dans votre soupe mais j'aimerais savoir comment une maison d'édition fondée sur le principe de la non-prise de risque absolue genre on publie qu'une fois qu'on est sûrs de rentrer dans nos frais en faisant pré-payer tout le monde et qui incite les auteurs à aller faire les mecs trop cool et sympas en ligne pour mendier des sous ce qui évidemment avantage les meilleurs communicants plutôt que les artistes les plus talentueux mais bon dans le fond c'est logique si les mecs vont chez Sandawe c'est qu'ils n'étaient pas assez bons pour être publiés par une vraie boîte et trop orgueilleux pour s'autopublier gentiment mais enfin bref donc dans ces conditions donc comment un éditeur pourrait produire autre chose que du caca finalement hein merci d'avance pour votre réponse merci. En publiant des projets jugés trop peu commerciaux par les grosses boites qui ne publient que si elles sont sure de se faire du blé dessus.
Bonjour j'espère que vous allez bien et qu'il fait beau chez vous alors voilà moi je veux pas foutre la merde ou cracher dans votre soupe mais j'aimerais savoir comment une maison d'édition fondée sur le principe de la non-prise de risque absolue genre on publie qu'une fois qu'on est sûrs de rentrer dans nos frais en faisant pré-payer tout le monde et qui incite les auteurs à aller faire les mecs trop cool et sympas en ligne pour mendier des sous ce qui évidemment avantage les meilleurs communicants plutôt que les artistes les plus talentueux mais bon dans le fond c'est logique si les mecs vont chez Sandawe c'est qu'ils n'étaient pas assez bons pour être publiés par une vraie boîte et trop orgueilleux pour s'autopublier gentiment mais enfin bref donc dans ces conditions donc comment un éditeur pourrait produire autre chose que du caca finalement hein merci d'avance pour votre réponse merci.
>>Michelmichel avait écrit: >>Mouais, après avoir été enthousiaste vis-à-vis de Sandawe, j'ai dernièrement un sentiment beaucoup plus amer envers ce site, qui fait considérablement trainer les projets en longueur, afin d'augmenter la part de financement par les édinautes, tout en diminuant proportionnellement la leur. >>Ainsi, pour des projets sur lesquels j'ai misé, les règles ont changé en cours de route, et la fin du recueil des dons a été décalée de plusieurs mois, voire un an, même si les 75% avaient été atteints. >>C'est ce brusque changement des règles que je ne supporte pas. Au départ les choses étaient claires: une date butoire, 75% atteints d'ici là, c'est ok, sinon bye-bye... >>Maintenant, on ne sait jamais de quoi demain sera fait, peut être que les projets vont encore être décalés de plusieurs mois. >>Ainsi, moi qui fréquentais ce site assidument il y a quelques temps, je n'y vais quasiment plus désormais. C'est dommage, c'est encore la BD qui en patis. Je copie-colle ici une réaction de Ptoma à ton message, MichelMichel " Sandawe a en effet modifié certaines de ses règles après la première et deuxième année d'existence, et cela est légitime car il fallait réajuster les données après avoir tiré les conclusions des ces années d'activités. Encore aujourd'hui il y a des changements légers, mais c'est du cas par cas et toujours dans le sens du projet. Personne n'est lésé en définitive. Puis oui, c'est long, ça tout le monde le sais dès le départ. J'y Suis depuis 6 mois et Sandawe ne cesse d'évoluer et de grandir... cela implique parfois quelques restructurations... c'est le principe même des choses en mouvement: s'adapter. Par contre, tous les projets proposent de beaux bonus que les lecteurs ne retrouveront pas ailleurs... c'est ça aussi Sandawe, un album un peu différent à la fin. - Ptoma-"
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