Préalablement, je tiens à préciser que je n'ai jamais été particulièrement intéressé par le football. A ce titre, cette qualité ne me semble absolument pas nécessaire pour apprécier cette BD, d'autant qu'elle a pour cadre une approche commerciale de ce sport d'une autre époque, voire même désuète, qui peut laisser doucement rêveur au regard de l'actualité que nous en renvoit les médias aujourd'hui.
J'ai découvert la vedette en tranches découpées dans de vieux magazines Spirou, et je dois admettre que j'ai longtemps déploré de ne pouvoir en lire la suite au regard de la qualité de l'ensemble de l'ouvrage : celui-ci nous plonge, avec un humour décapant, dans les tribulations d'un club de foot en difficulté très attachant, depuis le zinc du bar où se retrouve ses éthyliques supporters jusqu'aux antichambres des magouilleurs politicards.
C'est un très bon album, qui allie un humour permanent à une analyse sociale très fine, impliquant de grandes qualités d'observateur chez l'auteur, qui livre aux lecteurs un premier tome très agréable et bien ficelé, cela jusqu'à la dernière case.
J'ai été assez surpris de lire des critiques aussi dures une fois achetés et lus les deux premiers albums de cette série.
Bien conscient de ne pas connaître l'intégralité de l'œuvre, j'ai pour autant été charmé de retrouver un type de bande dessinée classique, très agréable et surtout confortable à lire, avec un dessin très soigné, marque d'un travail de recherche et d'un souci du détail évident.
Familier des scénarios de François Rivière, j'ai adoré retrouver l'ambiance caractéristique des ouvrages auxquels il collabore.
Je pense sincèrement que Victor Sackville est à conseiller aux amateurs nostalgiques du genre, de la même façon qu'il est toujours agréable de visionner un vieux Gabin lorsqu'on a été sensibilisé à ce type de cinéma : ici également, un rythme lent, privilégiant l'esthétisme et les petits rebondissements de la balade, plutôt que l'émotion vive à tout prix.
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Nous accordons une attention particulière au bien-être de nos collaborateurs à la diversité, l’inclusion et l’égalité des chances, mais aussi à leur épanouissement, en encourageant l’expression des talents artistiques.
La Vedette
Préalablement, je tiens à préciser que je n'ai jamais été particulièrement intéressé par le football. A ce titre, cette qualité ne me semble absolument pas nécessaire pour apprécier cette BD, d'autant qu'elle a pour cadre une approche commerciale de ce sport d'une autre époque, voire même désuète, qui peut laisser doucement rêveur au regard de l'actualité que nous en renvoit les médias aujourd'hui. J'ai découvert la vedette en tranches découpées dans de vieux magazines Spirou, et je dois admettre que j'ai longtemps déploré de ne pouvoir en lire la suite au regard de la qualité de l'ensemble de l'ouvrage : celui-ci nous plonge, avec un humour décapant, dans les tribulations d'un club de foot en difficulté très attachant, depuis le zinc du bar où se retrouve ses éthyliques supporters jusqu'aux antichambres des magouilleurs politicards. C'est un très bon album, qui allie un humour permanent à une analyse sociale très fine, impliquant de grandes qualités d'observateur chez l'auteur, qui livre aux lecteurs un premier tome très agréable et bien ficelé, cela jusqu'à la dernière case.
Victor Sackville
J'ai été assez surpris de lire des critiques aussi dures une fois achetés et lus les deux premiers albums de cette série. Bien conscient de ne pas connaître l'intégralité de l'œuvre, j'ai pour autant été charmé de retrouver un type de bande dessinée classique, très agréable et surtout confortable à lire, avec un dessin très soigné, marque d'un travail de recherche et d'un souci du détail évident. Familier des scénarios de François Rivière, j'ai adoré retrouver l'ambiance caractéristique des ouvrages auxquels il collabore. Je pense sincèrement que Victor Sackville est à conseiller aux amateurs nostalgiques du genre, de la même façon qu'il est toujours agréable de visionner un vieux Gabin lorsqu'on a été sensibilisé à ce type de cinéma : ici également, un rythme lent, privilégiant l'esthétisme et les petits rebondissements de la balade, plutôt que l'émotion vive à tout prix.