J'ai bien aimé cette série. Le dessinateur est simplement excellent -- les dégradés, les contrastes qui choquent, les couleurs, tous réunis sont vraiment efficaces pour plonger le lecteur dans l'ambiance. C'est sur, on *sent* l'histoire quand on la lit, on est dedans. Le contraste robot/histoire et le concept du robot qui raconte l'histoire est bien trouvé et sympathique.
En revanche, pour ma part, je suis un adepte du concept. Okay -- on sait tous que le méta-baron est surpuissant, mais pourquoi resservir du "Il a tué 70k personnes en 3 minutes" à toutes les sauces? Personnellement je trouve que le gigantisme est de trop au niveau des nombres. Il est vrai que cela pourrait exprimer le fait que notre société est trop attachée aux nombres et à leur valeur et ce, dans tous les domaines (du compte en banque aux notes des enfants, en passant par la taille du sexe) mais quand même.
Pour moi, il s'agit la d'un moyen facile d'exprimer le gigantisme des choses. Voyez Starwars, est-il mentionné partout que l'Empire possédait des milliers de mondes et des dizaines de milliers de star destroyers ? Non, pourtant on sent pertinemment le concept de l'Empire.
D'autre part, il est clair qu'il y a une très grande contribution personnelle de la part du scénariste. Il me fait penser à l'auteur de l'anime "Evangelion" : il a lui même dit "Tout ce que je raconte dans cette histoire, c'est ma vie" et idem, il y a une tres forte présence de l'image des parents et de l'épreuve, idem pour le sexe et l'inceste. Tout comme Shinji éprouve du désir pour Rei, qui n'est autre que le 'clone' de sa mère, Aghnar va enfanter avec sa propre mère.. L'importance du sexe, idem... Le personnage principal qui acquiert les pouvoirs d'un Dieu, idem.
La différence étant que Evangelion est désespéré, tandis que le Méta-Baron est un peu désespéré au niveau du personnage, mais la BD en elle même pète un maximum, ce qui me laisse penser que le scénariste vit totalement dans son trip et assouvit son rêve à travers le Méta-baron.
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La Caste des Méta-barons
J'ai bien aimé cette série. Le dessinateur est simplement excellent -- les dégradés, les contrastes qui choquent, les couleurs, tous réunis sont vraiment efficaces pour plonger le lecteur dans l'ambiance. C'est sur, on *sent* l'histoire quand on la lit, on est dedans. Le contraste robot/histoire et le concept du robot qui raconte l'histoire est bien trouvé et sympathique. En revanche, pour ma part, je suis un adepte du concept. Okay -- on sait tous que le méta-baron est surpuissant, mais pourquoi resservir du "Il a tué 70k personnes en 3 minutes" à toutes les sauces? Personnellement je trouve que le gigantisme est de trop au niveau des nombres. Il est vrai que cela pourrait exprimer le fait que notre société est trop attachée aux nombres et à leur valeur et ce, dans tous les domaines (du compte en banque aux notes des enfants, en passant par la taille du sexe) mais quand même. Pour moi, il s'agit la d'un moyen facile d'exprimer le gigantisme des choses. Voyez Starwars, est-il mentionné partout que l'Empire possédait des milliers de mondes et des dizaines de milliers de star destroyers ? Non, pourtant on sent pertinemment le concept de l'Empire. D'autre part, il est clair qu'il y a une très grande contribution personnelle de la part du scénariste. Il me fait penser à l'auteur de l'anime "Evangelion" : il a lui même dit "Tout ce que je raconte dans cette histoire, c'est ma vie" et idem, il y a une tres forte présence de l'image des parents et de l'épreuve, idem pour le sexe et l'inceste. Tout comme Shinji éprouve du désir pour Rei, qui n'est autre que le 'clone' de sa mère, Aghnar va enfanter avec sa propre mère.. L'importance du sexe, idem... Le personnage principal qui acquiert les pouvoirs d'un Dieu, idem. La différence étant que Evangelion est désespéré, tandis que le Méta-Baron est un peu désespéré au niveau du personnage, mais la BD en elle même pète un maximum, ce qui me laisse penser que le scénariste vit totalement dans son trip et assouvit son rêve à travers le Méta-baron.