Au cours de mes multiples lectures, je me suis souvent posé cette question: quel est le facteur déterminant qui peut, presque à lui seul, faire d’une bande dessinée sinon un chef-d’œuvre, tout au moins une excellente série ? Le dessin ? Le scénario ? Certes, ils y contribuent. Mais, à mon goût, ce qui compte vraiment dans la Bande Dessinée, c’est la Narration ! Et qui dit Andréas dit virtuose du récit ! Ce raconteur de génie exploite à merveille toutes les ressources et les spécificités de son Art.
Arq n’échappe pas à la règle. Depuis le contenu de la case, en passant par l’architecture de la planche jusqu’à l’articulation de la série, le maestro s’appuie sur ses qualités de conteur pour nous inviter dans son imaginaire, certes, pas toujours facile d’accès. Cependant, c’est toujours par cette grande inventivité narrative qu’il s’assure, malgré la complexité du scénario, notre coopération attentive. Et c’est là la récompense, le fruit du plaisir pour le lecteur. Dénouer les fils, déchiffrer les indices, honoré que l’auteur fasse appel à son intelligence. Ravi de pouvoir échafauder moult histoires virtuelles, qui viendront mourir au détour d’une page, au détour d’une case ou à la faveur d’un détail et donner naissance à dix mille autres (j’exagère là !).
Graphiquement, j’ai toujours apprécié le style géométrique du trait et les belles couleurs d’Andréas. On retrouve tout cela dans Arq avec un superbe passage en couleurs directes à partir du tome 7. Cerise sur le déjà succulent gâteau, il devrait passer en N&B pour les 6 derniers volumes. Rappelez-vous le sublimissime Cromwell Stone. Je m’en lèche déjà les babines !
Merci Monsieur Andreas.
Etouffée par une mère qu’elle déteste, Lucille se sent seule et souffre d’anorexie.
Arthur (plus tard Wladimir) a un père alcoolique et notoirement violent. Pourtant, il l’aime mais sans pouvoir lui dire.
Ils vont se rencontrer, fuir ensemble, s’aimer …et renaître.
Avec maestria, Ludovic Debeurme nous invite à suivre les vies chahutées de ces deux adolescents. Pas de parti pris, pas de psychanalyse poussée des personnages. Il fait simplement de nous les témoins d’une histoire touchante, laissant à chacun le soin de faire sa propre interprétation. Les sentiments y sont justes, sans excès, sublimés par la pureté du trait, et l’absence de case rend le dessin aéré. Un tout qui va à l’essentiel : l’émotion.
Les 512 pages quant à elles ne sont pas de trop et nous aident à apprivoiser les deux héros, nous laissant tout le temps de les appréhender jusqu’à en devenir très proches.
Une oeuvre magnifique.
Emerveillé par le dessin, franchement déçu par le scénario.
Déçu par un scénario qui montre et démontre plus que de raison. Je joue alors le jeu, certain d’être entraîné vers de multiples fausses pistes savamment orchestrées, feignant de ne rien voir venir et prêt à recevoir au détour d’une page le coup de massue fatidique; fiévreux, espérant le retournement de situation magistral qui va me laisser ébahi et hagard après avoir refermé le chef d’œuvre…Las, la déception est à la hauteur de l’attente. Les leurres s’avèrent être de (très) grosses ficelles qui soutiennent un scénario somme toute classique. Cela reste malgré tout une assez bonne histoire magnifiquement mis en peinture par Monsieur Rosinski mais le constat est là: je ne la relirai pas.
Un 3/5 du bout des lèvres.
Winshluss revisitant un épisode de l’Evolution au travers des aventures N&B et sans paroles d’un petit singe facétieux, voilà ce que nous réserve cette petite merveille.
J’ai tout adoré dans ce magnifique album ! Un dessin très détaillé, une narration fluide et rythmée, des gags visuels très efficaces, quelques clins d’œil parsemés de-ci de-là et au final une petite réflexion sur la condition humaine. Même la couverture est très belle !
Un immense coup de cœur !
Un très grand moment de plaisir que cet album !
Je ne connaissais pas Emmanuel Guibert. J'ai lu coup sur coup "le capitaine écarlate" et "la fille du professeur" et je dois dire que j'ai pris une grande claque dans la gu..le ! (et j'en redemande !). Quelle beauté et quelle légéreté dans les dessins ! Tant d'expression et de relief dans les visages avec juste quelques nuances de couleurs...sublime!
L'histoire de Sfar,quant à elle, ne reste pas en marge. Une aventure romanesque abracadabrante à la fois vive et fluide. Un humour "so british" omniprésent, tour à tour dans les dialogues, les situations ou l'exubérance des personnages. J'ai même senti, par instants, un agréable petit arrière goût de "Monty python".
Bref, que du bonheur ! D'ailleurs j'y retourne !
Bon, je sens que je vais me faire lyncher !!
Allons-y quand même:
Je n'ai jamais vraiment réussi à accrocher à cette BD et il a fallu que je me fasse violence pour finir les quatre tomes. J'en entends déjà murmurer: "alors pourquoi t'as acheté tous les volumes ? Fada !"
Parce que tous les avis sur cette série étaient dithyrambiques j'ai fait l'acquisition de l'intégralité d'un coup. Et, bien m'en a pris, car si je m'étais limité au premier tome, j'aurais mis 1/5.
Alors pourquoi 3/5 ?
Parce que je ne peux pas mettre 2,5. Et que 2/5 serait une insulte au travail des auteurs.
Je n'aime pas les dessins (ce qui ne veut pas dire qu'ils sont mauvais, je ne me permettrais pas !)
Je trouve le scénario limite cliché. Et même si beaucoup s'extasient sur le final, je dois avouer que j'ai senti le coup venir.
Je n'arrive pas à trouver les personnages attachants. A la fin de chaque tome, je n'ai jamais ressenti cette furieuse envie de me jeter sur le suivant pour retrouver les héros.
Enfin je suis loin d'être un fana de l'Héroic-Fantasy.
Le seul point vraiment positif pour moi est la richesse du monde inventé par Loisel et Le Tendre.
Si vous êtes un dingue du genre je vous conseillerais d'oublier mon avis et de vous ranger aux impressions de la majorité sinon gardez votre argent pour vous procurer les 5 tomes de "De capes et de crocs" ou les 4 de "Universal war one" qui sont pour moi des références BD (et qui n'ont rien à voir avec l'héroic fantasy, je vous le concède !).
P.S.: je suis actuellement en train de lire le premier tome de légendes des contrées oubliées et je trouve que, dans le même style, cette série est bien plus convaincante.
Voilà, le vilain petit canard a donné son avis ! A bientôt !
Génial !!!
Des dessins superbes...
Des couleurs sublimes...
Des dialogues jubilatoires...
De l'humour et de la finesse...
Un scénario poétique et théatral...
...Et un adorable petit lapin.
C'est vraiment un régal !!!
Courrez acheter tous les tomes d'un coup, vous ne le regretterez pas !
Bonne lecture !
A lire aussi du même scénariste la série Garulfo, c'est encore du très très bon !
Fan de littérature SF, j'avoue qu'après la lecture du premier tome je suis resté sur une impression de "ouais, bof" tant j'avais la sensation de relire une histoire de SF de série B. Et puis, je me suis fait violence et j'ai fait l'acquisition du tome 2 (grâce, il faut le dire, à la qualité des dessins et des couleurs). Et là, la mayonnaise à commencé à prendre. Les personnages de la série ont pris de la profondeur au fil des tomes et l'histoire à gagné en complexité tout en tenant parfaitement la route. Bref, me voilà maintenant mordu de cette série qui, si elle ne s'avère pas vraiment originale pour les amateurs de SF, demeure extrèment bien racontée et superbement illustrée avec une colorisation qui rend parfaitement l'esprit SF.
A consommer sans modération !
Bonne lecture !
P.S:J'attends le tome 5 pour (éventuellement) classer cette série culte.
Fan inconditionnel de la série à ses débuts, je dois avouer que depuis cinq ou six tomes l'irresitible tandem Blutch-Chesterfield commence à me décevoir. Le petit caporal devient de moins en moins charismatique quant au gros sergent bourru il perd de plus en plus de son tempéramment. De plus les scénarios de Cauvin commencent à m'ennuyer. Peut-être faudrait-il penser à mettre un terme à la série...dans un superbe bouquet final tant qu'à faire. Mais bon ce serait se montrer difficile pour ne pas trouver son bonheur dans les 45 tomes parus. Je conseille en particulier: "les cavaliers du ciel", "vertes années", "blue rétro", "l'or du Québec", "Bull run", "les bleus en folie" ...
Bonne lecture !!!
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Arq
Au cours de mes multiples lectures, je me suis souvent posé cette question: quel est le facteur déterminant qui peut, presque à lui seul, faire d’une bande dessinée sinon un chef-d’œuvre, tout au moins une excellente série ? Le dessin ? Le scénario ? Certes, ils y contribuent. Mais, à mon goût, ce qui compte vraiment dans la Bande Dessinée, c’est la Narration ! Et qui dit Andréas dit virtuose du récit ! Ce raconteur de génie exploite à merveille toutes les ressources et les spécificités de son Art. Arq n’échappe pas à la règle. Depuis le contenu de la case, en passant par l’architecture de la planche jusqu’à l’articulation de la série, le maestro s’appuie sur ses qualités de conteur pour nous inviter dans son imaginaire, certes, pas toujours facile d’accès. Cependant, c’est toujours par cette grande inventivité narrative qu’il s’assure, malgré la complexité du scénario, notre coopération attentive. Et c’est là la récompense, le fruit du plaisir pour le lecteur. Dénouer les fils, déchiffrer les indices, honoré que l’auteur fasse appel à son intelligence. Ravi de pouvoir échafauder moult histoires virtuelles, qui viendront mourir au détour d’une page, au détour d’une case ou à la faveur d’un détail et donner naissance à dix mille autres (j’exagère là !). Graphiquement, j’ai toujours apprécié le style géométrique du trait et les belles couleurs d’Andréas. On retrouve tout cela dans Arq avec un superbe passage en couleurs directes à partir du tome 7. Cerise sur le déjà succulent gâteau, il devrait passer en N&B pour les 6 derniers volumes. Rappelez-vous le sublimissime Cromwell Stone. Je m’en lèche déjà les babines ! Merci Monsieur Andreas.
Lucille
Etouffée par une mère qu’elle déteste, Lucille se sent seule et souffre d’anorexie. Arthur (plus tard Wladimir) a un père alcoolique et notoirement violent. Pourtant, il l’aime mais sans pouvoir lui dire. Ils vont se rencontrer, fuir ensemble, s’aimer …et renaître. Avec maestria, Ludovic Debeurme nous invite à suivre les vies chahutées de ces deux adolescents. Pas de parti pris, pas de psychanalyse poussée des personnages. Il fait simplement de nous les témoins d’une histoire touchante, laissant à chacun le soin de faire sa propre interprétation. Les sentiments y sont justes, sans excès, sublimés par la pureté du trait, et l’absence de case rend le dessin aéré. Un tout qui va à l’essentiel : l’émotion. Les 512 pages quant à elles ne sont pas de trop et nous aident à apprivoiser les deux héros, nous laissant tout le temps de les appréhender jusqu’à en devenir très proches. Une oeuvre magnifique.
La Vengeance du Comte Skarbek
Emerveillé par le dessin, franchement déçu par le scénario. Déçu par un scénario qui montre et démontre plus que de raison. Je joue alors le jeu, certain d’être entraîné vers de multiples fausses pistes savamment orchestrées, feignant de ne rien voir venir et prêt à recevoir au détour d’une page le coup de massue fatidique; fiévreux, espérant le retournement de situation magistral qui va me laisser ébahi et hagard après avoir refermé le chef d’œuvre…Las, la déception est à la hauteur de l’attente. Les leurres s’avèrent être de (très) grosses ficelles qui soutiennent un scénario somme toute classique. Cela reste malgré tout une assez bonne histoire magnifiquement mis en peinture par Monsieur Rosinski mais le constat est là: je ne la relirai pas. Un 3/5 du bout des lèvres.
Smart monkey
Winshluss revisitant un épisode de l’Evolution au travers des aventures N&B et sans paroles d’un petit singe facétieux, voilà ce que nous réserve cette petite merveille. J’ai tout adoré dans ce magnifique album ! Un dessin très détaillé, une narration fluide et rythmée, des gags visuels très efficaces, quelques clins d’œil parsemés de-ci de-là et au final une petite réflexion sur la condition humaine. Même la couverture est très belle ! Un immense coup de cœur !
La fille du professeur
Un très grand moment de plaisir que cet album ! Je ne connaissais pas Emmanuel Guibert. J'ai lu coup sur coup "le capitaine écarlate" et "la fille du professeur" et je dois dire que j'ai pris une grande claque dans la gu..le ! (et j'en redemande !). Quelle beauté et quelle légéreté dans les dessins ! Tant d'expression et de relief dans les visages avec juste quelques nuances de couleurs...sublime! L'histoire de Sfar,quant à elle, ne reste pas en marge. Une aventure romanesque abracadabrante à la fois vive et fluide. Un humour "so british" omniprésent, tour à tour dans les dialogues, les situations ou l'exubérance des personnages. J'ai même senti, par instants, un agréable petit arrière goût de "Monty python". Bref, que du bonheur ! D'ailleurs j'y retourne !
La Quête de l'Oiseau du Temps
Bon, je sens que je vais me faire lyncher !! Allons-y quand même: Je n'ai jamais vraiment réussi à accrocher à cette BD et il a fallu que je me fasse violence pour finir les quatre tomes. J'en entends déjà murmurer: "alors pourquoi t'as acheté tous les volumes ? Fada !" Parce que tous les avis sur cette série étaient dithyrambiques j'ai fait l'acquisition de l'intégralité d'un coup. Et, bien m'en a pris, car si je m'étais limité au premier tome, j'aurais mis 1/5. Alors pourquoi 3/5 ? Parce que je ne peux pas mettre 2,5. Et que 2/5 serait une insulte au travail des auteurs. Je n'aime pas les dessins (ce qui ne veut pas dire qu'ils sont mauvais, je ne me permettrais pas !) Je trouve le scénario limite cliché. Et même si beaucoup s'extasient sur le final, je dois avouer que j'ai senti le coup venir. Je n'arrive pas à trouver les personnages attachants. A la fin de chaque tome, je n'ai jamais ressenti cette furieuse envie de me jeter sur le suivant pour retrouver les héros. Enfin je suis loin d'être un fana de l'Héroic-Fantasy. Le seul point vraiment positif pour moi est la richesse du monde inventé par Loisel et Le Tendre. Si vous êtes un dingue du genre je vous conseillerais d'oublier mon avis et de vous ranger aux impressions de la majorité sinon gardez votre argent pour vous procurer les 5 tomes de "De capes et de crocs" ou les 4 de "Universal war one" qui sont pour moi des références BD (et qui n'ont rien à voir avec l'héroic fantasy, je vous le concède !). P.S.: je suis actuellement en train de lire le premier tome de légendes des contrées oubliées et je trouve que, dans le même style, cette série est bien plus convaincante. Voilà, le vilain petit canard a donné son avis ! A bientôt !
De Cape et de Crocs
Génial !!! Des dessins superbes... Des couleurs sublimes... Des dialogues jubilatoires... De l'humour et de la finesse... Un scénario poétique et théatral... ...Et un adorable petit lapin. C'est vraiment un régal !!! Courrez acheter tous les tomes d'un coup, vous ne le regretterez pas ! Bonne lecture ! A lire aussi du même scénariste la série Garulfo, c'est encore du très très bon !
Universal War One
Fan de littérature SF, j'avoue qu'après la lecture du premier tome je suis resté sur une impression de "ouais, bof" tant j'avais la sensation de relire une histoire de SF de série B. Et puis, je me suis fait violence et j'ai fait l'acquisition du tome 2 (grâce, il faut le dire, à la qualité des dessins et des couleurs). Et là, la mayonnaise à commencé à prendre. Les personnages de la série ont pris de la profondeur au fil des tomes et l'histoire à gagné en complexité tout en tenant parfaitement la route. Bref, me voilà maintenant mordu de cette série qui, si elle ne s'avère pas vraiment originale pour les amateurs de SF, demeure extrèment bien racontée et superbement illustrée avec une colorisation qui rend parfaitement l'esprit SF. A consommer sans modération ! Bonne lecture ! P.S:J'attends le tome 5 pour (éventuellement) classer cette série culte.
Les Tuniques Bleues
Fan inconditionnel de la série à ses débuts, je dois avouer que depuis cinq ou six tomes l'irresitible tandem Blutch-Chesterfield commence à me décevoir. Le petit caporal devient de moins en moins charismatique quant au gros sergent bourru il perd de plus en plus de son tempéramment. De plus les scénarios de Cauvin commencent à m'ennuyer. Peut-être faudrait-il penser à mettre un terme à la série...dans un superbe bouquet final tant qu'à faire. Mais bon ce serait se montrer difficile pour ne pas trouver son bonheur dans les 45 tomes parus. Je conseille en particulier: "les cavaliers du ciel", "vertes années", "blue rétro", "l'or du Québec", "Bull run", "les bleus en folie" ... Bonne lecture !!!