J'ai plutôt bien aimé Plageman cette sorte de héros anti-beauf mais qui est lui-même ridicule ;)
Effectivement l'humour est assez premier degré mais j'adore cette idée du super "donneur de leçons" limite imbu de lui-même qui se retrouve à chaque fois dans des situations embarrassantes du fait de sa confiance en lui exacerbée.
Coté dessins, ça me rappel un peu par certains cotés le style fluide glacial et les couvertures sont effectivement très sympa
Au final c'est une série plutôt originale, facile d'accès, à conseiller donc pour tout le monde !
"De cape et de Crocs" est une série qui pour moi, souffle le chaud et le froid.
De prime abord, je n'étais pas trop attiré par les dessins qui sont selon moi dans la moyenne basse de la production actuelle ; en revanche les couleurs chaudes flattent l'oeil et ont fini par me convaincre de lire les premières pages ; et là j'ai pu me délecter des dialogues ciselés d'Alain Ayroles... un délice! Bon j'achète les deux premiers tomes pour voir !
Et là, pour la première fois, je me suis trouvé accro a une BD, j'ai tout de suite acheté le volume suivant !... Bref cette série était culte pour moi... jusqu'à tome V et là je dois avouer que le scénario devenant un peu plus abracadabrantesque, j'y ai perdu du plaisir. Je me suis donc dit "c'est pas grave, le suivant sera meilleur"... Mais non ! De plus le dessin ne s'améliorant pas, il ne reste plus que les dialogues... qui sont bien faibles pour motiver l'achat d'une BD, aussi bons soient-ils !
Tout le monde m'a dit "c'est vrai il y a une baisse de régime mais le 7 est meilleur !" alors je l'ai acheté : re-déception ! Le scénario ne veut plus rien dire. Comme les héros sont dans un univers magique, il suffit de faire apparaître la chose la plus rocambolesque qui soit pour arranger l'histoire...
Cette série est donc à la fois mon meilleur souvenir de BDphile mais aussi ma plus grosse déception (de peu devant le dernier Peter Pan de Loisel !... Mais 3 volumes ratés valent plus cher qu'un seul ;) )
En un mot DOMMAGE !
Je trouve que l’univers se rapproche de celui de la Caste de Méta-Barons tant au niveau de l’histoire : nous sommes dans une ville futuriste post-apocalyptique et ultramoderne, ici aussi les castes sont bien marquées et, autre point commun, les personnages principaux ont un caractère bien marqué et parfois à la limite du caricatural ; qu’au niveau de l’ambiance (assez crue et gore par moment), des couleurs et du dessin (qui je le concède n’est tout de même pas au niveau de celui de Monsieur Gimenez).
Même si le scénario est une fois de plus basé sur l’histoire d’une élite qui opprime le peuple (sous prétexte de religion) qui se fera renversée (du moins le croit-on) par une pauvre petite fille des rues, l’intrigue se met assez bien en place et notre curiosité est piquée au vif et on se demande comment évoluerons les relations entre les différents protagonistes…
Certes l'histoire avance gentiment mais je me suis laissé prendre par l'ambiance plutot pessimiste et le destin de notre jeune héroïne.
PS : Pour moi la scène de sexe tant décriée sert ici beaucoup plus l’histoire (pour expliquer la psychologie de l’héroïne) que dans certaines autres BDs ou elle ne sont que prétextes à « affrioler » le lecteur (et dont les avis ne mentionnent nullement ces scènes inutiles).
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Plageman
J'ai plutôt bien aimé Plageman cette sorte de héros anti-beauf mais qui est lui-même ridicule ;) Effectivement l'humour est assez premier degré mais j'adore cette idée du super "donneur de leçons" limite imbu de lui-même qui se retrouve à chaque fois dans des situations embarrassantes du fait de sa confiance en lui exacerbée. Coté dessins, ça me rappel un peu par certains cotés le style fluide glacial et les couvertures sont effectivement très sympa Au final c'est une série plutôt originale, facile d'accès, à conseiller donc pour tout le monde !
De Cape et de Crocs
"De cape et de Crocs" est une série qui pour moi, souffle le chaud et le froid. De prime abord, je n'étais pas trop attiré par les dessins qui sont selon moi dans la moyenne basse de la production actuelle ; en revanche les couleurs chaudes flattent l'oeil et ont fini par me convaincre de lire les premières pages ; et là j'ai pu me délecter des dialogues ciselés d'Alain Ayroles... un délice! Bon j'achète les deux premiers tomes pour voir ! Et là, pour la première fois, je me suis trouvé accro a une BD, j'ai tout de suite acheté le volume suivant !... Bref cette série était culte pour moi... jusqu'à tome V et là je dois avouer que le scénario devenant un peu plus abracadabrantesque, j'y ai perdu du plaisir. Je me suis donc dit "c'est pas grave, le suivant sera meilleur"... Mais non ! De plus le dessin ne s'améliorant pas, il ne reste plus que les dialogues... qui sont bien faibles pour motiver l'achat d'une BD, aussi bons soient-ils ! Tout le monde m'a dit "c'est vrai il y a une baisse de régime mais le 7 est meilleur !" alors je l'ai acheté : re-déception ! Le scénario ne veut plus rien dire. Comme les héros sont dans un univers magique, il suffit de faire apparaître la chose la plus rocambolesque qui soit pour arranger l'histoire... Cette série est donc à la fois mon meilleur souvenir de BDphile mais aussi ma plus grosse déception (de peu devant le dernier Peter Pan de Loisel !... Mais 3 volumes ratés valent plus cher qu'un seul ;) ) En un mot DOMMAGE !
Les Ames d'Hélios
Je trouve que l’univers se rapproche de celui de la Caste de Méta-Barons tant au niveau de l’histoire : nous sommes dans une ville futuriste post-apocalyptique et ultramoderne, ici aussi les castes sont bien marquées et, autre point commun, les personnages principaux ont un caractère bien marqué et parfois à la limite du caricatural ; qu’au niveau de l’ambiance (assez crue et gore par moment), des couleurs et du dessin (qui je le concède n’est tout de même pas au niveau de celui de Monsieur Gimenez). Même si le scénario est une fois de plus basé sur l’histoire d’une élite qui opprime le peuple (sous prétexte de religion) qui se fera renversée (du moins le croit-on) par une pauvre petite fille des rues, l’intrigue se met assez bien en place et notre curiosité est piquée au vif et on se demande comment évoluerons les relations entre les différents protagonistes… Certes l'histoire avance gentiment mais je me suis laissé prendre par l'ambiance plutot pessimiste et le destin de notre jeune héroïne. PS : Pour moi la scène de sexe tant décriée sert ici beaucoup plus l’histoire (pour expliquer la psychologie de l’héroïne) que dans certaines autres BDs ou elle ne sont que prétextes à « affrioler » le lecteur (et dont les avis ne mentionnent nullement ces scènes inutiles).