Des amis m'ont offert le dernier Liberge et mon dieu, qu'est-ce qui leur a pris?
Quelle déchéance!!! Lui qui fit preuve de tant de finesse et de discrétion dans son Monsieur Mardi Gras Descendres, le voilà revenu empli de boursouflure et de prétention mal dosée...
Cet album m'est littéralement tombé des mains, le dessin accuse sérieusment le coup, et ne tient la route que par des effets de manche et des camailleux ronflants et une narration à la Mckean mal digérée...
C'est amusant comme, à intervalle régulier, on voit appraitre ce genre de tentative désastreuse, destinée à plaire à un public féru mais snobinard vaguement appaté par l'aspect mi-underground mi-tape a l'oeil...
Vivement le dernier Mardi Gras, mais pour celui là : passez votre chemin.
houla... alors là, ca a pris un tres mauvais tournant. le nouvel opus est reellement tres mauvais. Le scenario devient indigent et les dessins sont tres fouillis, laids et illisibles.
Apres un debut prometteur c'est la debacle... à eviter.
c'est un peu difficile de ne juger cette bd que sur l'affectif ou une queconque impression vaseuse à l'emporte piece.
Je veux bien admettre qu'elle ne puisse pas plaire aux plus jeunes d'entre nous, par trop habitués au clinquant, mais son influence et son aura dans la sphere bd et sf en generale sont telles que sa lecture est un passage obligé pour tout amateur qui se respecte.
La descendance de l'incal est vaste, et enormement d'auteurs lui doivent beaucoup.
L'incal marque la quintessance de la revolution de la narration bd de la amorcé dans les années 70, et ce style narration predomine actuellement dans la majeure partie de la production du neuvieme art.
Parmis les innombrables rejetons de Moebius et Jodorowsky on peut citer notamment Otomo et le celebre cowboy: Georges Lucas
J'ai lu cette serie avec plaisir, mais je suis tres loin de la mettre au niveau maximum.
L'esthetique de cette serie dispose d'atouts indeniables dans le decorum, l'espace et la mise en couleur est assez aguicheuse. Mais je trouve que les personnages manquent graphiquement singulièrement de corps et de force. Le scénario est assez palpitant, mais n'offre rien de bien nouveau et est meme assez attendu. Bajram suit a la lettre les preceptes des paradoxes temporels qu'on retrouve dans les classiques de la litterature sf (tout ce qui arrive depend aussi des voyages dans le passés à venir) aussi il s'embourbe un peu dans son envie de rendre les choses implacables. La fin de 3 eme tome offre un denouement assez lourdingue de par son deroulement tres attendu. Le 4eme tome lui manque totalement de finesse. Les personnages sont dans une étape comptemplative tres caricaturale("la terre, c'est beau"), tout cela est assez naif, et au final bien creux.
Voici une petite perle disparue.
Alfonso Font fait partie de la virtuose et feconde ecole espagnole.
Le prisonnier des Etoiles demeure son oeuvre la plus reussie et selon moi, l'apogée du talent de Font, non par l'originalité de son histoire, qui est un aventure rocambolesque, rondement menée, mais par l'excellence de son execution. Paru en Noir et blanc, cet album nous gratifie d'une centaine de pages d'une qualité graphique exeptionnelle. L'oeil averti saura detecter bon nombre d'hommages et de references disseminés avec humour et delectation par l'auteur, soucieux de remercier ceux qui l'ont influencés.
Cet ouvrage est malheureusement introuvable dans les circuits de vente traditionnels, mais si d'aventure vous croisez son chemin dans les bacs des soldeurs, n'hesitez pas une seconde.
A noter que ce volumineux album a donné lieu, par la suite à une prequel et dont l'interet est plus contestable.
Ce site oblige à considérer une série dans son ensemble... Or Thorgal est une série en dents de scie. Certains épisodes sont des chez d’œuvres absolus, (Alinoé, Au delà des ombres, les archers...) lorsque d'autres sombrent dans le convenu...
Mais la plupart sont des mécaniques parfaitement huilées comme sait si bien le faire Van Hamme pour des séries bien plus putassieres.
Cependant Thorgal se distingue aussi par le dessin.
Rosinski est un monument.
Plus personne ne dessine comme Lui à l'heure actuelle.
A une époque où il est de bon ton de faire lisse pour être apprécié, lui privilégie l'émotion et l'évocation dans un style plus impressionniste que codifié. Rosinski est un dessinateur, dans l'excellence de ce que cela veut dire.
Certes certains opus sont traités plus à la va vite que d'autres, mais il serait malhonnête de ne pas considérer l'énormité des sommités que représente Rosinski et Van hamme dans ce contexte créatif.
PS: Le site ne permettant pas de ne pas donner de note, je choisis une note qui tient compte de ce qu'il y a de mieux dans la série. Je n'ai pas envie que quelques albums récents, et réalisés sous une lassitude évidente, viennent éclipser l'excellence de certains autres.
Bon bon bon...
Que penser de cela, c'est certes illustratif, c'est certes plein de jolies couleurs... Mais quiconque connaît le travaille de Brian Froud et Alan Lee ne sera pas dupe. Civiello est un plagieur de premier ordre. Un plagieur virtuose, mais un plagieur quand même...
Du coup, L'histoire (assez convenue) est rendue relativement illisible par le brouhaha créé par la surenchère graphique.
Voici une oeuvre intrigante.
boilet nous a habitué a des introspections audacieuses sur lui meme, mais rarement avec ce degré de poesie.
Son dessin n'a jamais été plus seduisant, presque chaleureux, malgré l'omnipresence du support photographique.
C'est un livre qui se lit d'une traite, sans que l'on soit certain d'etre dans une histoire. C'est un moment, un temps suspendu, une petite perle.
Alerté par l'enthousiasme debridé des habitués de ce lieu, je m'en suis aller emprunter l'ouvrage à la bibliotheque locale.
Je comprends maintenant pourquoi ce livre m'avait echappé à sa sortie:
C'est tres laid! je ne comprends pas l'engouement pour ce type de graphisme. ok: y a des couleurs chotoyantes, mais quel cache misère! Rien ne tient debout... c'est crasseux, et bancal, limite fanzineux par moment.
L'histoire quant à elle se laisse certe lire, car la narration est proprette, mais je n'ai pas non plus adheré a l'humour "ado".
mon coeur balance...
amateur de polar et de Brunschwig (celui ci m'a rarement decu) je me suis pricipité sur le premier tome de Makabi... et j'avoue etre decu.
je ne sais pas a quoi cela tient, probablement au graphisme qui n'est pas vraiment bon. Pourtant, oui, il y a des rebondissement toute les deux pages, oui c'est bien raconté... mais... je n'ai pas reussi a m'attacher aux personnages. bref je n'ai pas cru a ce que l'on m'a raconté, et dieu sait que je partais d'un apriori favorable...
J'attendrai donc plus d'elements pour parfaire mon opinion.
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Tonnerre Rampant
Des amis m'ont offert le dernier Liberge et mon dieu, qu'est-ce qui leur a pris? Quelle déchéance!!! Lui qui fit preuve de tant de finesse et de discrétion dans son Monsieur Mardi Gras Descendres, le voilà revenu empli de boursouflure et de prétention mal dosée... Cet album m'est littéralement tombé des mains, le dessin accuse sérieusment le coup, et ne tient la route que par des effets de manche et des camailleux ronflants et une narration à la Mckean mal digérée... C'est amusant comme, à intervalle régulier, on voit appraitre ce genre de tentative désastreuse, destinée à plaire à un public féru mais snobinard vaguement appaté par l'aspect mi-underground mi-tape a l'oeil... Vivement le dernier Mardi Gras, mais pour celui là : passez votre chemin.
Le Serment de l'Ambre
houla... alors là, ca a pris un tres mauvais tournant. le nouvel opus est reellement tres mauvais. Le scenario devient indigent et les dessins sont tres fouillis, laids et illisibles. Apres un debut prometteur c'est la debacle... à eviter.
l'Incal
c'est un peu difficile de ne juger cette bd que sur l'affectif ou une queconque impression vaseuse à l'emporte piece. Je veux bien admettre qu'elle ne puisse pas plaire aux plus jeunes d'entre nous, par trop habitués au clinquant, mais son influence et son aura dans la sphere bd et sf en generale sont telles que sa lecture est un passage obligé pour tout amateur qui se respecte. La descendance de l'incal est vaste, et enormement d'auteurs lui doivent beaucoup. L'incal marque la quintessance de la revolution de la narration bd de la amorcé dans les années 70, et ce style narration predomine actuellement dans la majeure partie de la production du neuvieme art. Parmis les innombrables rejetons de Moebius et Jodorowsky on peut citer notamment Otomo et le celebre cowboy: Georges Lucas
Universal War One
J'ai lu cette serie avec plaisir, mais je suis tres loin de la mettre au niveau maximum. L'esthetique de cette serie dispose d'atouts indeniables dans le decorum, l'espace et la mise en couleur est assez aguicheuse. Mais je trouve que les personnages manquent graphiquement singulièrement de corps et de force. Le scénario est assez palpitant, mais n'offre rien de bien nouveau et est meme assez attendu. Bajram suit a la lettre les preceptes des paradoxes temporels qu'on retrouve dans les classiques de la litterature sf (tout ce qui arrive depend aussi des voyages dans le passés à venir) aussi il s'embourbe un peu dans son envie de rendre les choses implacables. La fin de 3 eme tome offre un denouement assez lourdingue de par son deroulement tres attendu. Le 4eme tome lui manque totalement de finesse. Les personnages sont dans une étape comptemplative tres caricaturale("la terre, c'est beau"), tout cela est assez naif, et au final bien creux.
Le Prisonnier des étoiles
Voici une petite perle disparue. Alfonso Font fait partie de la virtuose et feconde ecole espagnole. Le prisonnier des Etoiles demeure son oeuvre la plus reussie et selon moi, l'apogée du talent de Font, non par l'originalité de son histoire, qui est un aventure rocambolesque, rondement menée, mais par l'excellence de son execution. Paru en Noir et blanc, cet album nous gratifie d'une centaine de pages d'une qualité graphique exeptionnelle. L'oeil averti saura detecter bon nombre d'hommages et de references disseminés avec humour et delectation par l'auteur, soucieux de remercier ceux qui l'ont influencés. Cet ouvrage est malheureusement introuvable dans les circuits de vente traditionnels, mais si d'aventure vous croisez son chemin dans les bacs des soldeurs, n'hesitez pas une seconde. A noter que ce volumineux album a donné lieu, par la suite à une prequel et dont l'interet est plus contestable.
Thorgal
Ce site oblige à considérer une série dans son ensemble... Or Thorgal est une série en dents de scie. Certains épisodes sont des chez d’œuvres absolus, (Alinoé, Au delà des ombres, les archers...) lorsque d'autres sombrent dans le convenu... Mais la plupart sont des mécaniques parfaitement huilées comme sait si bien le faire Van Hamme pour des séries bien plus putassieres. Cependant Thorgal se distingue aussi par le dessin. Rosinski est un monument. Plus personne ne dessine comme Lui à l'heure actuelle. A une époque où il est de bon ton de faire lisse pour être apprécié, lui privilégie l'émotion et l'évocation dans un style plus impressionniste que codifié. Rosinski est un dessinateur, dans l'excellence de ce que cela veut dire. Certes certains opus sont traités plus à la va vite que d'autres, mais il serait malhonnête de ne pas considérer l'énormité des sommités que représente Rosinski et Van hamme dans ce contexte créatif. PS: Le site ne permettant pas de ne pas donner de note, je choisis une note qui tient compte de ce qu'il y a de mieux dans la série. Je n'ai pas envie que quelques albums récents, et réalisés sous une lassitude évidente, viennent éclipser l'excellence de certains autres.
Korrigans
Bon bon bon... Que penser de cela, c'est certes illustratif, c'est certes plein de jolies couleurs... Mais quiconque connaît le travaille de Brian Froud et Alan Lee ne sera pas dupe. Civiello est un plagieur de premier ordre. Un plagieur virtuose, mais un plagieur quand même... Du coup, L'histoire (assez convenue) est rendue relativement illisible par le brouhaha créé par la surenchère graphique.
L'Epinard de Yukiko
Voici une oeuvre intrigante. boilet nous a habitué a des introspections audacieuses sur lui meme, mais rarement avec ce degré de poesie. Son dessin n'a jamais été plus seduisant, presque chaleureux, malgré l'omnipresence du support photographique. C'est un livre qui se lit d'une traite, sans que l'on soit certain d'etre dans une histoire. C'est un moment, un temps suspendu, une petite perle.
Spoogue
Alerté par l'enthousiasme debridé des habitués de ce lieu, je m'en suis aller emprunter l'ouvrage à la bibliotheque locale. Je comprends maintenant pourquoi ce livre m'avait echappé à sa sortie: C'est tres laid! je ne comprends pas l'engouement pour ce type de graphisme. ok: y a des couleurs chotoyantes, mais quel cache misère! Rien ne tient debout... c'est crasseux, et bancal, limite fanzineux par moment. L'histoire quant à elle se laisse certe lire, car la narration est proprette, mais je n'ai pas non plus adheré a l'humour "ado".
Lloyd Singer (Makabi)
mon coeur balance... amateur de polar et de Brunschwig (celui ci m'a rarement decu) je me suis pricipité sur le premier tome de Makabi... et j'avoue etre decu. je ne sais pas a quoi cela tient, probablement au graphisme qui n'est pas vraiment bon. Pourtant, oui, il y a des rebondissement toute les deux pages, oui c'est bien raconté... mais... je n'ai pas reussi a m'attacher aux personnages. bref je n'ai pas cru a ce que l'on m'a raconté, et dieu sait que je partais d'un apriori favorable... J'attendrai donc plus d'elements pour parfaire mon opinion.