« La nage, c’est pour les poissons. Moi je suis un oiseau ». C’est en ces termes qu’un pingouin décide par tous les moyens d’apprendre à voler et de braver les railleries de ses congénères. Malheureusement, la pratique s’avère beaucoup plus compliquée que la théorie.
Cet album de 35 pages aborde avec humour la curieuse obsession d’un pingouin bien décidé à devenir le « premier pingouin volant ». Les situations sont souvent cocasses mais les gags, en une planche, assez inégaux. On sourit parfois, on rit rarement. Graphiquement, Pierre Wazem maîtrise parfaitement le dessin et les couleurs. « La joie de lire », petit éditeur suisse, affiche clairement sa ligne éditoriale : « Editeur jeunesse recherche lecteurs de 18 mois à l’adolescence ». Ce petit opus, fort sympathique, pourrait ennuyer les plus grands.
J'ai acheté cet album pour ma bien aimée qui est esthéticienne. Je m'attendais à y lire quelques anecdotes croustillantes dont elle a l'habitude de me raconter le soir en rentrant du boulot.
On est très loin du compte. Les petites histoires d'Anne Guillard tournent désespérément autour du même sujet : le poil! C'est plutôt sympa dans les premières pages mais on fait malheureusement très vite le tour de la question. L'album est agrémenté de fausses pubs, de tests de personnalité et de diverses situations autour de l'épilation.
Le dessin est minimaliste et je me suis ennuyé ferme au bout de quelques pages.
Le poil, c'est pas forcément mon truc...
Je ne vais pas décrire une nouvelle fois les personnages des Carroulet.
Je viens de lire "Nicotine crime", troisième tome de la série, sorti au seuil. Le ton est toujours aussi vif. On suit avec grand plaisir la vie de cette famille un peu beauf sur les bords et surtout les aventures de Bébert, l'aîné, qui collectionne les bêtises. Dans ce tome, la maman essaie d'arrêter de fumer et ceci donne lieu à des situations assez cocasses qui font (presque toujours) mouche.
A noter que ce tome est sorti dans un format plus grand et en couleur (les autres étant en noir et blanc).
J'ai relu tout récemment les 5 tomes des "Passagers du vent" avec un vrai grand plaisir. J'avais un souvenir assez peu précis de Hoel, Isa... et du récit de Bourgeon.
Une quinzaine d'années après, je pense avoir pu apprécier à sa juste valeur toute la magie de cette histoire.
Les personnages sont attachants et les femmes (une fois n'est pas coutume) loin d'être les potiches de service jouent ici un rôle primordial. On suit Isa, vers la fin du 18ème siècle, à la recherche d'une véritable identité, d'un premier amour et surtout dans son combat contre l'esclavagisme. Bourgeon signe ici une véritable oeuvre de référence traitant de la condition noire autant en Afrique qu'en Europe.
De plus, les décors sont somptueux et terriblement réalistes. On peut ressentir la moiteur des villages africains et presque entendre le craquement du "Marie-Caroline", négrier.
Le cinquième et dernier tome de la série "Le bois d'ébène" clôt de façon magistrale ce récit. Les dernières planches sont vraiment somptueuses et émouvantes.
Un (très) grand classique des années 80.
Je viens de relire l'intégralité des tomes sortis à ce jour et j'en profite donc pour laisser un avis. Que dire de plus...
XIII fait partie des séries indispensables à tout amateur de bd. On pourra évidemment regretter une certaine baisse de qualité au fil des tomes propre en général à toute oeuvre de ce style.
Néanmoins, ne serait-ce que pour les 5 premiers tomes, XIII est une bd à lire absolument. On suit avec plaisir l'évolution du héros et la recherche de son passé, la multitude de personnages secondaires (très détaillé d'ailleurs dans le tome 13 - The XIII Mystery: l'enquête).
A l'heure où j'écris ces quelques lignes, on parle d'une possible reprise du dessin par Giraud....
A suivre...
Diego est un chien qui parle. Ce n'est pas très original...Cependant il utilise ce don uniquement à bon escient pour ne pas choquer son entourage. Son entourage, c'est le gardien du chenil où il passe la plupart de sa vie en attendant désespérément son maître idéal.
Je n'ai pas ri aux éclats mais souvent souri grâce aux situations plutôt cocasses racontées par Coyote. Diego se retrouve, à travers de courtes histoires, aux côtés d'un dealer, d'une prostituée, dans un cirque...
Ce n'est pas de la très grande BD mais assez pour passer un agréable moment.
Après quelques avis positifs recueillis ça et là, je me suis lancé dans la lecture de "Ripple". Je m'attendais à une histoire assez glauque. Je ne fus, sur ce point, pas du tout déçu...
"Ripple" raconte la passion dévorante d'un peintre pour son modèle. Le sujet peut sembler des plus banals sauf que... Le modèle en question est d'une laideur extrême. Et cette jeune fille grosse, laide, narcissique exerce un pouvoir terrible sur l'homme qui devient en quelques jours son esclave sexuel.
L'histoire n'est pas sans rappeler un film de Cédric Kahn, "L'ennui" avec Charles Berling et Sophie Guillemin.
L'auteur tente bien d'expliquer les raisons de la dérive du peintre, de son addiction. Néanmoins, même avec la meilleure volonté du monde, je n'ai pas pu lui trouver la moindre excuse et n'ai pas compris les raisons profondes de cette passion dévorante.
Sa descente aux enfers est inéluctable et je ne suis parvenu ni à le comprendre ni à lui trouver de circonstances atténuantes.
"Ripple" est une oeuvre négative où la laideur est le principal sujet.
Je n'ai pas du tout accroché.
L'histoire de "Lucy" se déroule au milieu du 19ème siècle pendant la période de la ruée vers l'or.
Clyde Morgan au départ peu intéressé par les mines de l'ouest part de Boston pour y retrouver un ami d'enfance en perdition. Une fois là-bas, Clyde va devoir trouver de quoi payer son billet retour...
Le scénario est on ne peut plus classique pour l'instant... Pour l'instant car ceci est un premier tome et beaucoup de questions restent en suspens. Notamment, qui est cette fameuse "Lucy"?
J'ai apprécié le dessin de Malès, dans un style totalement différent que L'Autre Laideur l'Autre Folie, qui se prête assez bien à l'ambiance western de cet album.
Concernant le scénario j'attends le tome 2 pour me faire une idée plus précise.
J'avais longtemps hésité avant d'acquérir cette BD. Et puis finalement, j'ai franchi le pas il y a quelques jours. Quelle bonne surprise...
Un écrivain "has been", Aloys Clark, qui n'a jamais réellement connu le succès, se retrouve aigri et en manque total d'inspiration. Sa vision du monde littéraire est on ne peut plus pessimiste jusqu'à ce qu'il retrouve dans sa bibliothèque un ouvrage écrit par un auteur totalement inconnu. Cet ouvrage raconte le parcours d'un homme et de son séjour à l"Amélie". Aloys Clark décide alors de marcher sur les traces de l'auteur...
Jean-Claude Denis nous livre une histoire remplie d'émotions. On a plaisir à suivre le parcours d'Aloys Clark en quête d'inspiration et qui souhaite redonner un sens à sa vie d'auteur.
Le format de la collection "Aire Libre" se prête très bien à ce récit. On a vraiment la sensation que l'auteur prend tout son temps, ce qui rend l'histoire encore plus passionnante.
Quel plaisir de retrouver dans cette nouvelle série de Plessix les personnages ô combien attachants du "Vent dans les saules".
Les pérégrinations de Rat, Crapaud, Taupe... sont tout simplement merveilleuses.
Dans ce nouvel album Rat le casanier fait la rencontre d'un Rat bourlingueur et avide de voyages et de sensations nouvelles. Evidemment, Crapaud est dans les parages et ne va pas pouvoir s'empêcher de faire de nouvelles bêtises.
A l'heure où les BD pour enfants font débat, il est vraiment agréable de découvrir cette histoire. Ici, l'univers peut paraître un peu édulcoré, sans relief, sans vraiment de lien avec la société dans laquelle nous vivons. Mais quel grand bol d'air frais...
Les aventures de ces petits animaux nous parlent d'amitié, de voyages, de nature, de quelques fondamentaux de la Vie qu'on aurait tendance à oublier un peu trop facilement.
Le dessin de Plessix est une pure merveille, minutieux, extrêmement précis et rempli de petits détails.
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Le pingouin volant
« La nage, c’est pour les poissons. Moi je suis un oiseau ». C’est en ces termes qu’un pingouin décide par tous les moyens d’apprendre à voler et de braver les railleries de ses congénères. Malheureusement, la pratique s’avère beaucoup plus compliquée que la théorie. Cet album de 35 pages aborde avec humour la curieuse obsession d’un pingouin bien décidé à devenir le « premier pingouin volant ». Les situations sont souvent cocasses mais les gags, en une planche, assez inégaux. On sourit parfois, on rit rarement. Graphiquement, Pierre Wazem maîtrise parfaitement le dessin et les couleurs. « La joie de lire », petit éditeur suisse, affiche clairement sa ligne éditoriale : « Editeur jeunesse recherche lecteurs de 18 mois à l’adolescence ». Ce petit opus, fort sympathique, pourrait ennuyer les plus grands.
Valentine
J'ai acheté cet album pour ma bien aimée qui est esthéticienne. Je m'attendais à y lire quelques anecdotes croustillantes dont elle a l'habitude de me raconter le soir en rentrant du boulot. On est très loin du compte. Les petites histoires d'Anne Guillard tournent désespérément autour du même sujet : le poil! C'est plutôt sympa dans les premières pages mais on fait malheureusement très vite le tour de la question. L'album est agrémenté de fausses pubs, de tests de personnalité et de diverses situations autour de l'épilation. Le dessin est minimaliste et je me suis ennuyé ferme au bout de quelques pages. Le poil, c'est pas forcément mon truc...
Les Carroulet
Je ne vais pas décrire une nouvelle fois les personnages des Carroulet. Je viens de lire "Nicotine crime", troisième tome de la série, sorti au seuil. Le ton est toujours aussi vif. On suit avec grand plaisir la vie de cette famille un peu beauf sur les bords et surtout les aventures de Bébert, l'aîné, qui collectionne les bêtises. Dans ce tome, la maman essaie d'arrêter de fumer et ceci donne lieu à des situations assez cocasses qui font (presque toujours) mouche. A noter que ce tome est sorti dans un format plus grand et en couleur (les autres étant en noir et blanc).
Les Passagers du vent
J'ai relu tout récemment les 5 tomes des "Passagers du vent" avec un vrai grand plaisir. J'avais un souvenir assez peu précis de Hoel, Isa... et du récit de Bourgeon. Une quinzaine d'années après, je pense avoir pu apprécier à sa juste valeur toute la magie de cette histoire. Les personnages sont attachants et les femmes (une fois n'est pas coutume) loin d'être les potiches de service jouent ici un rôle primordial. On suit Isa, vers la fin du 18ème siècle, à la recherche d'une véritable identité, d'un premier amour et surtout dans son combat contre l'esclavagisme. Bourgeon signe ici une véritable oeuvre de référence traitant de la condition noire autant en Afrique qu'en Europe. De plus, les décors sont somptueux et terriblement réalistes. On peut ressentir la moiteur des villages africains et presque entendre le craquement du "Marie-Caroline", négrier. Le cinquième et dernier tome de la série "Le bois d'ébène" clôt de façon magistrale ce récit. Les dernières planches sont vraiment somptueuses et émouvantes. Un (très) grand classique des années 80.
XIII
Je viens de relire l'intégralité des tomes sortis à ce jour et j'en profite donc pour laisser un avis. Que dire de plus... XIII fait partie des séries indispensables à tout amateur de bd. On pourra évidemment regretter une certaine baisse de qualité au fil des tomes propre en général à toute oeuvre de ce style. Néanmoins, ne serait-ce que pour les 5 premiers tomes, XIII est une bd à lire absolument. On suit avec plaisir l'évolution du héros et la recherche de son passé, la multitude de personnages secondaires (très détaillé d'ailleurs dans le tome 13 - The XIII Mystery: l'enquête). A l'heure où j'écris ces quelques lignes, on parle d'une possible reprise du dessin par Giraud.... A suivre...
Diego de la S.P.A.
Diego est un chien qui parle. Ce n'est pas très original...Cependant il utilise ce don uniquement à bon escient pour ne pas choquer son entourage. Son entourage, c'est le gardien du chenil où il passe la plupart de sa vie en attendant désespérément son maître idéal. Je n'ai pas ri aux éclats mais souvent souri grâce aux situations plutôt cocasses racontées par Coyote. Diego se retrouve, à travers de courtes histoires, aux côtés d'un dealer, d'une prostituée, dans un cirque... Ce n'est pas de la très grande BD mais assez pour passer un agréable moment.
Ripple - Une prédilection pour Tina
Après quelques avis positifs recueillis ça et là, je me suis lancé dans la lecture de "Ripple". Je m'attendais à une histoire assez glauque. Je ne fus, sur ce point, pas du tout déçu... "Ripple" raconte la passion dévorante d'un peintre pour son modèle. Le sujet peut sembler des plus banals sauf que... Le modèle en question est d'une laideur extrême. Et cette jeune fille grosse, laide, narcissique exerce un pouvoir terrible sur l'homme qui devient en quelques jours son esclave sexuel. L'histoire n'est pas sans rappeler un film de Cédric Kahn, "L'ennui" avec Charles Berling et Sophie Guillemin. L'auteur tente bien d'expliquer les raisons de la dérive du peintre, de son addiction. Néanmoins, même avec la meilleure volonté du monde, je n'ai pas pu lui trouver la moindre excuse et n'ai pas compris les raisons profondes de cette passion dévorante. Sa descente aux enfers est inéluctable et je ne suis parvenu ni à le comprendre ni à lui trouver de circonstances atténuantes. "Ripple" est une oeuvre négative où la laideur est le principal sujet. Je n'ai pas du tout accroché.
Lucy
L'histoire de "Lucy" se déroule au milieu du 19ème siècle pendant la période de la ruée vers l'or. Clyde Morgan au départ peu intéressé par les mines de l'ouest part de Boston pour y retrouver un ami d'enfance en perdition. Une fois là-bas, Clyde va devoir trouver de quoi payer son billet retour... Le scénario est on ne peut plus classique pour l'instant... Pour l'instant car ceci est un premier tome et beaucoup de questions restent en suspens. Notamment, qui est cette fameuse "Lucy"? J'ai apprécié le dessin de Malès, dans un style totalement différent que L'Autre Laideur l'Autre Folie, qui se prête assez bien à l'ambiance western de cet album. Concernant le scénario j'attends le tome 2 pour me faire une idée plus précise.
Quelques Mois à l'Amélie
J'avais longtemps hésité avant d'acquérir cette BD. Et puis finalement, j'ai franchi le pas il y a quelques jours. Quelle bonne surprise... Un écrivain "has been", Aloys Clark, qui n'a jamais réellement connu le succès, se retrouve aigri et en manque total d'inspiration. Sa vision du monde littéraire est on ne peut plus pessimiste jusqu'à ce qu'il retrouve dans sa bibliothèque un ouvrage écrit par un auteur totalement inconnu. Cet ouvrage raconte le parcours d'un homme et de son séjour à l"Amélie". Aloys Clark décide alors de marcher sur les traces de l'auteur... Jean-Claude Denis nous livre une histoire remplie d'émotions. On a plaisir à suivre le parcours d'Aloys Clark en quête d'inspiration et qui souhaite redonner un sens à sa vie d'auteur. Le format de la collection "Aire Libre" se prête très bien à ce récit. On a vraiment la sensation que l'auteur prend tout son temps, ce qui rend l'histoire encore plus passionnante.
Le Vent dans les Sables
Quel plaisir de retrouver dans cette nouvelle série de Plessix les personnages ô combien attachants du "Vent dans les saules". Les pérégrinations de Rat, Crapaud, Taupe... sont tout simplement merveilleuses. Dans ce nouvel album Rat le casanier fait la rencontre d'un Rat bourlingueur et avide de voyages et de sensations nouvelles. Evidemment, Crapaud est dans les parages et ne va pas pouvoir s'empêcher de faire de nouvelles bêtises. A l'heure où les BD pour enfants font débat, il est vraiment agréable de découvrir cette histoire. Ici, l'univers peut paraître un peu édulcoré, sans relief, sans vraiment de lien avec la société dans laquelle nous vivons. Mais quel grand bol d'air frais... Les aventures de ces petits animaux nous parlent d'amitié, de voyages, de nature, de quelques fondamentaux de la Vie qu'on aurait tendance à oublier un peu trop facilement. Le dessin de Plessix est une pure merveille, minutieux, extrêmement précis et rempli de petits détails. Un vrai bonheur.