Note réelle 3,5
Une belle bd qui ramène un peu de fraîcheur dans le monde actuel et on en a besoin. Si je n'attribue pas les quatre étoiles, c'est parce que j'ai trouvé les personnages trop gentillets, avec des réactions pas forcément crédibles à chaque fois, mais je répète bien que cette belle histoire fait du bien à lire.
La narration est fluide et tout se lit aisément.
Le dessin et les couleurs sont superbes, fourmillant de détails, et la colorisation douce colle bien à ce type de récit.
un achat bien sûr conseillé.
Voilà une histoire qui m'a fait voyager. J'aime cette ambiance celtique version adulte (pas dessin nez rond). Le cahier des charges m'a semble rempli : légendes celtiques, des morts, des rites, des dolmens, des objets mystiques, des prophéties et j'en passe. Pour distiller son intrigue, Istin nous garde en haleine un suspense jusqu'à la fin du 6ème tome, c'est bien fait.
Cependant je note un bémol, et pas des moindres, sur l'ensemble de ma lecture : le rythme est lent, certainement dû a un dessin, certes réussi techniquement, mais trop statique, pas assez dynamique.
Je note également un peu de mal à rentrer dans l'histoire, avec de nombreux aller-retour dans les glossaires finaux pour apprendre et se situer à mesure que le récit avance. Par contre je note des cadrages et des scènes d'actions bien faits, des doubles planches magnifiques.
Enfin, je pense qu'il y a un tome de trop sur les 6 albums formant un récit entier. La série à rallonge sentait le plein nez et heureusement que les auteurs n'ont pas rajouté d'autres sous intrigues qui auraient alourdi la narration.
Ca reste bien quand même.
Je serais comme souvent plus indulgent que l'ensemble des avis précédents. Certes ce n'est pas la bd du siècle mais tout n'est pas à jeter. L'auteur a voulu retranscrire l'histoire d'un garçon qui a du mal à rentrer dans une société faite de règles.
C'est vrai que l'on part pour 200 pages de routine scolaire avec pour seules actions une institutrice qui tente de cadrer un enfant turbulent. Mais il y a un petit quelque chose qui m'a plu, le dessin peut-être. Détaillé dans l'ensemble, fluide, il permet quand même une lecture rapide et pas casse tête.
Le contraste entre ''l'école des couleurs'' et la palette gris-verte accentue la difficulté entre l'enfant compliqué et l'espoir pour cette institutrice d'arriver à l'intégrer dans une société.
Je ne conseille pas l'achat quand même, parce qu'il n'y a pas grande matière, mais j'ai quand même apprécié le dessin de ce jeune auteur.
Je remercie Erik d'avoir mis cette bande dessinée dans la bdtheque, cela m'évite de le faire. Revenons a l'ouvrage. Il s'agit d'un thriller psychologique, avec son lot de suspens, de sang, de personnage principal aussi perdu que le lecteur. Ce qui fait en général la différence dans ces cas là c'est la fluidité de la narration. Et là par contre malheureusement les séquences peuvent être effectivement mal agencées. C'est dommage car tout cet album correspond à la ligne de cette collection.
Le dessin de Sentenac continue de progresser, il va bien pour servir le récit.
Je conseille cette bande dessinée aux amateurs du genre. La surprise finale reste quand même bien.
Mouais ... cette série aurait pu être culte si elle ne s'était pas autant étirée sur la longueur ... Hier je me suis tapé onze heures de lecture et je ne suis pas entièrement satisfait pour plusieurs raisons.
D'une part la série prévue en 6 tomes est clairement un succès donc on sent la série à rallonge passé le tome 7, ensuite je n'ai pas toutes les réponses a mes questions concernant certains mondes parallèles, bref 12 tomes pour voir "un monde à reconstruire" ou une autre " attaque extraterrestre". Dans un cas comme dans l'autre on peut repartir pour 12 ou 25 tomes, mais ça marche... tant mieux pour les auteurs mais la suite sera sans moi.
Chapeau quand même à l'ensemble du travail, à la recherche documentaire et à l'imagination de Christophe Bec pour oser nous montrer peut-être ce qui se trame aux plus hautes instances mondiales.
Dessin très bon, bien repris en cours de route avec du grand spectacle comme j'aime.
L'achat n'est malheureusement pas conseillé pour les raisons évoquées ci-dessus.
Novembre 2004, j'avais 18 ans et je découvrais Corbeyran à travers Asphodèle et Le Territoire. Je découvrais à ce moment là les BD grand public ado-adute et je m'apercevais qu'il existait autre chose que "Tintin" ou Astérix. A ce moment, je regardais les parutions et je n'avais pas du tout d'attrait pour "Elle ne pleure pas, elle chante" ... la couverture, les dessins ni le sujet ne m'interpellaient ...
C'est suite à la rencontre de Thierry Murat lors d'un festival en octobre 2016 que je me lance dans cette histoire. Je ne regrette pas d'avoir acheté cette BD ni d'avoir mis autant de temps à la lire. Un certain recul et maturité sont nécessaire pour en apprécier le contenu.
Corbeyran sait très bien écrire, le sujet est grave et est traité avec justesse afin de faire passer les sentiments de l'héroïne face à la haine ressentie envers son père. La psychologie est très travaillée, l'intime est très bien retranscrit.
Le dessin accompagne bien cette histoire, même si je reconnais avoir eu du mal à y rentrer, mais ça laisse le soin d'accompagner le texte sans une surcharge de décor inutile.
Achat conseillé.
Un tres bon polar rural servi par un dessin splendide. L'histoire de ces 3 adolescentes en fugue sert de pretexte a planter une enquete policiere. Makyo distille les elements petit a petit et le suspense monte crescendo. A noter la lourdeur des dialogues des 3 filles qui les rendent chacune tres credibles. Un seul petit regret, la fin est vite expediee.
Comme je le disais plus haut, le coup de crayon de Sicomoro est magnifique. Les couleurs et la campagne sont tres bien rendues, c'est tres bien.
Je conseille l'achat pour tout amateur de polar rural made in bd francobelge.
Cette BD est complètement dispensable. Il m'en ressort 2 sentiments à la fin de la lecture, du sang et de la violence gratuite. Coté formes féminines on est aussi bien servi.
Malgré une bonne mise en route, ce slasher passe complètement à côté de la plaque car il met en avant un excès de violence et d'hémoglobines totalement absurde et abruti (je suis même surpris que la censure ne soit pas passée par là).
Côté profondeur psychologique des protagonistes, il n'y a rien. On sait que ça ce genre n'est pas fait pour ça, mais quand même un minimum de crédulité aurait été le bienvenu (notre ami vient de se faire massacrer mais c'est pas grave, l'important c'est d'aller à la fête de l'année), bref c'est pas top top.
Je ne vois pas en fait ce que Christophe Bec a essayé de nous dire dans cette histoire, ni la symbolique, bref c'est pas top top.
Ce qui est bien fait : le clin d'oeil au film Duel, et le dessin. Malgré sa justesse, cela ne suffira pas à faire monter la note.
Typiquement le genre de serie moderne grand public. Apres la lecture des 5 tomes, beaucoup de questions restent sans reponses, et Bec part dans tous les sens avec beaucoup de lieux differents. J'espere qu'il sait ou il va, qu'il ne va pas se laisser depasser par son scenario et que les reponses vont arriver petit a petit. J'ai confiance. Mis a part ca, l'histoire est bien faite, malgre de nombreux cliches dans les personnages, le scenariste sait accrocher et tenir son public en haleine.
Le dessin reste bien fait, avec des plans tres hollywoodiens, c'est tres realiste, mais sans originalite.
Messieurs, on attend la suite.
Un one-shot dans la lignée des 2 autres titres de cette collection signés Christophe Bec, Sunlight et Bikini Atoll, sauf que c'est Sylvain Runberg qui se colle au scénar'.
Cette BD propose un huis-clos sur un bateau et reprend le thème des sirènes qui emmènent les humains à leur perte. C'est un pur divertissement fantastique dont on sait déjà que personne ne sortira bien vivant ou mort de cette histoire.
Je ne connaissais pas le dessinateur, il propose une patte très réaliste et une mise en scène réussie, beaucoup de détails dans les dessins.
Personnellement je conseille l'achat car j'adore ce type de BD, là où les héros sont plongés entre la réalité et le cauchemar, sans entrer dans le mystique (ou à petite dose). Quand c'est bien fait, tous les amateurs du genre y trouveront leur compte.
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Note réelle 3,5 Une belle bd qui ramène un peu de fraîcheur dans le monde actuel et on en a besoin. Si je n'attribue pas les quatre étoiles, c'est parce que j'ai trouvé les personnages trop gentillets, avec des réactions pas forcément crédibles à chaque fois, mais je répète bien que cette belle histoire fait du bien à lire. La narration est fluide et tout se lit aisément. Le dessin et les couleurs sont superbes, fourmillant de détails, et la colorisation douce colle bien à ce type de récit. un achat bien sûr conseillé.
Les Druides
Voilà une histoire qui m'a fait voyager. J'aime cette ambiance celtique version adulte (pas dessin nez rond). Le cahier des charges m'a semble rempli : légendes celtiques, des morts, des rites, des dolmens, des objets mystiques, des prophéties et j'en passe. Pour distiller son intrigue, Istin nous garde en haleine un suspense jusqu'à la fin du 6ème tome, c'est bien fait. Cependant je note un bémol, et pas des moindres, sur l'ensemble de ma lecture : le rythme est lent, certainement dû a un dessin, certes réussi techniquement, mais trop statique, pas assez dynamique. Je note également un peu de mal à rentrer dans l'histoire, avec de nombreux aller-retour dans les glossaires finaux pour apprendre et se situer à mesure que le récit avance. Par contre je note des cadrages et des scènes d'actions bien faits, des doubles planches magnifiques. Enfin, je pense qu'il y a un tome de trop sur les 6 albums formant un récit entier. La série à rallonge sentait le plein nez et heureusement que les auteurs n'ont pas rajouté d'autres sous intrigues qui auraient alourdi la narration. Ca reste bien quand même.
C'est pas toi le monde
Je serais comme souvent plus indulgent que l'ensemble des avis précédents. Certes ce n'est pas la bd du siècle mais tout n'est pas à jeter. L'auteur a voulu retranscrire l'histoire d'un garçon qui a du mal à rentrer dans une société faite de règles. C'est vrai que l'on part pour 200 pages de routine scolaire avec pour seules actions une institutrice qui tente de cadrer un enfant turbulent. Mais il y a un petit quelque chose qui m'a plu, le dessin peut-être. Détaillé dans l'ensemble, fluide, il permet quand même une lecture rapide et pas casse tête. Le contraste entre ''l'école des couleurs'' et la palette gris-verte accentue la difficulté entre l'enfant compliqué et l'espoir pour cette institutrice d'arriver à l'intégrer dans une société. Je ne conseille pas l'achat quand même, parce qu'il n'y a pas grande matière, mais j'ai quand même apprécié le dessin de ce jeune auteur.
50
Je remercie Erik d'avoir mis cette bande dessinée dans la bdtheque, cela m'évite de le faire. Revenons a l'ouvrage. Il s'agit d'un thriller psychologique, avec son lot de suspens, de sang, de personnage principal aussi perdu que le lecteur. Ce qui fait en général la différence dans ces cas là c'est la fluidité de la narration. Et là par contre malheureusement les séquences peuvent être effectivement mal agencées. C'est dommage car tout cet album correspond à la ligne de cette collection. Le dessin de Sentenac continue de progresser, il va bien pour servir le récit. Je conseille cette bande dessinée aux amateurs du genre. La surprise finale reste quand même bien.
Prométhée
Mouais ... cette série aurait pu être culte si elle ne s'était pas autant étirée sur la longueur ... Hier je me suis tapé onze heures de lecture et je ne suis pas entièrement satisfait pour plusieurs raisons. D'une part la série prévue en 6 tomes est clairement un succès donc on sent la série à rallonge passé le tome 7, ensuite je n'ai pas toutes les réponses a mes questions concernant certains mondes parallèles, bref 12 tomes pour voir "un monde à reconstruire" ou une autre " attaque extraterrestre". Dans un cas comme dans l'autre on peut repartir pour 12 ou 25 tomes, mais ça marche... tant mieux pour les auteurs mais la suite sera sans moi. Chapeau quand même à l'ensemble du travail, à la recherche documentaire et à l'imagination de Christophe Bec pour oser nous montrer peut-être ce qui se trame aux plus hautes instances mondiales. Dessin très bon, bien repris en cours de route avec du grand spectacle comme j'aime. L'achat n'est malheureusement pas conseillé pour les raisons évoquées ci-dessus.
Elle ne pleure pas, elle chante
Novembre 2004, j'avais 18 ans et je découvrais Corbeyran à travers Asphodèle et Le Territoire. Je découvrais à ce moment là les BD grand public ado-adute et je m'apercevais qu'il existait autre chose que "Tintin" ou Astérix. A ce moment, je regardais les parutions et je n'avais pas du tout d'attrait pour "Elle ne pleure pas, elle chante" ... la couverture, les dessins ni le sujet ne m'interpellaient ... C'est suite à la rencontre de Thierry Murat lors d'un festival en octobre 2016 que je me lance dans cette histoire. Je ne regrette pas d'avoir acheté cette BD ni d'avoir mis autant de temps à la lire. Un certain recul et maturité sont nécessaire pour en apprécier le contenu. Corbeyran sait très bien écrire, le sujet est grave et est traité avec justesse afin de faire passer les sentiments de l'héroïne face à la haine ressentie envers son père. La psychologie est très travaillée, l'intime est très bien retranscrit. Le dessin accompagne bien cette histoire, même si je reconnais avoir eu du mal à y rentrer, mais ça laisse le soin d'accompagner le texte sans une surcharge de décor inutile. Achat conseillé.
La Porte au Ciel
Un tres bon polar rural servi par un dessin splendide. L'histoire de ces 3 adolescentes en fugue sert de pretexte a planter une enquete policiere. Makyo distille les elements petit a petit et le suspense monte crescendo. A noter la lourdeur des dialogues des 3 filles qui les rendent chacune tres credibles. Un seul petit regret, la fin est vite expediee. Comme je le disais plus haut, le coup de crayon de Sicomoro est magnifique. Les couleurs et la campagne sont tres bien rendues, c'est tres bien. Je conseille l'achat pour tout amateur de polar rural made in bd francobelge.
Blood Red Lake
Cette BD est complètement dispensable. Il m'en ressort 2 sentiments à la fin de la lecture, du sang et de la violence gratuite. Coté formes féminines on est aussi bien servi. Malgré une bonne mise en route, ce slasher passe complètement à côté de la plaque car il met en avant un excès de violence et d'hémoglobines totalement absurde et abruti (je suis même surpris que la censure ne soit pas passée par là). Côté profondeur psychologique des protagonistes, il n'y a rien. On sait que ça ce genre n'est pas fait pour ça, mais quand même un minimum de crédulité aurait été le bienvenu (notre ami vient de se faire massacrer mais c'est pas grave, l'important c'est d'aller à la fête de l'année), bref c'est pas top top. Je ne vois pas en fait ce que Christophe Bec a essayé de nous dire dans cette histoire, ni la symbolique, bref c'est pas top top. Ce qui est bien fait : le clin d'oeil au film Duel, et le dessin. Malgré sa justesse, cela ne suffira pas à faire monter la note.
Carthago
Typiquement le genre de serie moderne grand public. Apres la lecture des 5 tomes, beaucoup de questions restent sans reponses, et Bec part dans tous les sens avec beaucoup de lieux differents. J'espere qu'il sait ou il va, qu'il ne va pas se laisser depasser par son scenario et que les reponses vont arriver petit a petit. J'ai confiance. Mis a part ca, l'histoire est bien faite, malgre de nombreux cliches dans les personnages, le scenariste sait accrocher et tenir son public en haleine. Le dessin reste bien fait, avec des plans tres hollywoodiens, c'est tres realiste, mais sans originalite. Messieurs, on attend la suite.
Sonar
Un one-shot dans la lignée des 2 autres titres de cette collection signés Christophe Bec, Sunlight et Bikini Atoll, sauf que c'est Sylvain Runberg qui se colle au scénar'. Cette BD propose un huis-clos sur un bateau et reprend le thème des sirènes qui emmènent les humains à leur perte. C'est un pur divertissement fantastique dont on sait déjà que personne ne sortira bien vivant ou mort de cette histoire. Je ne connaissais pas le dessinateur, il propose une patte très réaliste et une mise en scène réussie, beaucoup de détails dans les dessins. Personnellement je conseille l'achat car j'adore ce type de BD, là où les héros sont plongés entre la réalité et le cauchemar, sans entrer dans le mystique (ou à petite dose). Quand c'est bien fait, tous les amateurs du genre y trouveront leur compte.