Scott Pilgrim
La vie de Scott Pilgrim est géniale. Il a vingt-trois ans, il joue dans un groupe de rock, il est « entre deux boulots », et il sort avec une mignonne petite lycéenne. Tout est fabuleux jusqu’au moment où une livreuse en rollers nommée Ramona Flowers, sérieusement atomique et dangereusement trendy, commence à traverser ses rêves et à le croiser à des fêtes.
Auteurs canadiens BDs adaptées en film Canada Les petits éditeurs indépendants Oni Press
La vie de Scott Pilgrim est géniale. Il a vingt-trois ans, il joue dans un groupe de rock, il est « entre deux boulots », et il sort avec une mignonne petite lycéenne. Tout est fabuleux jusqu’au moment où une livreuse en rollers nommée Ramona Flowers, sérieusement atomique et dangereusement trendy, commence à traverser ses rêves et à le croiser à des fêtes. Mais le chemin qui mène à Mlle Flowers n’est pas couvert de pétales de roses. Ses sept ex-petits amis maléfiques barrent la route du véritable bonheur de Scott. Pourra-t-il vaincre les méchants et gagner le cœur de cette fille sans chambouler intégralement sa précieuse petite vie ?
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Date de parution | 12 Mars 2010 |
Statut histoire | Série terminée (réédition en couleurs en cours) 6 tomes parus |
Les avis
Oui, en réfléchissant bien, je met le maximum à Scott Pilgrim. Et pourtant je sens que cette BD ne fait pas l'unanimité, mais je conçois parfaitement : c'est le genre qu'on aime ou qu'on déteste. Comme beaucoup, j'ai découvert Scott Pilgrim avec le film (qui est aussi adoré/détesté j'ai l'impression), et j'ai décidé de voir ce que valait la BD. Et pour la première fois, je suis extrêmement content de ce qu'a fait le film, et pour autant je trouve la BD "différente". Bien évidemment, en 6 tomes il se passe beaucoup plus de choses qu'en 1h30, mais l'auteur à fait quelque chose que j'apprécie tout particulièrement : il s'est fait plaisir. Et ça se sent dans les pages, entre les décors de son Toronto qu'il connait bien (et qu'il donne envie de visiter), entre les personnages qui sentent plusieurs fois le vécu (d'ailleurs on en trouve certaines sources à la fin des albums), et puis avec toute cette référence pop-culture ! C'est ce que le film a extrêmement bien retranscrit, je trouve : le côté pétillant de Scott Pilgrim, avec des intrigues souvent très simple et prétexte à des bastons complètement surréalistes, et le tout rehaussé d'innombrables références, aux jeux-vidéos, au cinéma, à la culture musicale ... C'est renforcé par un humour présent quasiment partout, et qui me fait bien souvent hurler de rire. Il y a une joie communicative dans cette BD, où les mésaventures de Scott et son passage progressif à l'âge adulte sont mis en scène à la fois pour notre plaisir, mais aussi avec quelques passages bien mieux sentis sur l'évolution des personnages. On a quelques passages bien plus sérieux, mais qui ne font jamais basculer le tout dans une BD de réflexion pour autant. C'est délicieusement crétin d'un bout à l'autre. Mais la raison pour laquelle j'ai mis culte, c'est que finalement, qu'on aime ou non, cette BD est incroyablement novatrice. Oser aller à ce stade là de mélange pop culture/romance/initiation, tout en conservant son esprit d'un bout à l'autre (ce que ratent souvent les shonen je trouve), c'est rare. Et précieux ! Je me marre toujours autant à la lire, j'adore toujours autant tout les personnages qui la composent. Je suis encore ému devant certaines petites phrases, et je suis toujours autant fan du dessin. Vraiment, je pense qu'on a là une BD qui marque (pas toujours en bien cependant), mais quand j'en parle (et que j'entends les autres en parler), je suis certain que cette BD laisse peu de gens indifférent. Et moi, j'ai adoré !
Comme beaucoup ici, je suis venu à cette BD par le film de 2010, que je n’ai vu que récemment. J’avais entendu le battage autour de l’œuvre originale à l’époque, et j’ai été curieux. Et bon, c’est publié par Oni Press, comme Wasteland, Sixth Gun, Courtney Crumrin, Queen & Country ; bref, pas mal de trucs que j’aime (et recommande par ailleurs). Donc le film, que j’ai trouvé sympathique mais pas fabuleux. En même temps, partir de 6 fois 160 pages pour faire 90 minutes, ils ont dû abandonner un paquet de trucs en chemin. Et là, déception cruelle. Ma première constatation à la lecture de plus en plus rapide (et distraite) de la ré-édition (en V.O., mais je ne pense pas que cela change grand chose) : il y a plutôt plus dans le film ! Un problème fondamental de rythme ! Il y a du matériel pour un film léger de 90 mn (et encore, ils ont inventé des choses), pas pour 1400+ pages de ‘nouvelle graphique’. Avec un peu de recul (le temps d’une glace face à la mer après le repas), je pense avoir trouvé la source de ma mauvaise opinion : l’auteur (O’Malley) a réussi à accumuler tous les travers du manga. Car finalement, ce comic est très nipponisant : le trait, l’usage de codes du jeu vidéo (japonais), et la base du scenario. Les 7 ex maléfiques. O’Malley lui-même avoue dans ses notes qu’il lorgnait du côté shonen de la Force avec ce truc (shonen : DragonBleach Piece. En gros). Et malheureusement, il hérite des défauts de son modèle. Notre brave (enfin, pas tant que ça) Scott a l’épaisseur d’une limande (modèle pré-pubère, avec les deux yeux du même côté). C’est « le meilleur combattant de la province », pour des raisons qui ne sont pas évoquées, et difficilement imaginables. Son « charme voyou et suave » ne transparaît jamais à l’écran. A se demander ce que lui trouvent les filles. D’ailleurs, l’essentiel de l’intéressant se passe hors écran. Le « voyage et l’évolution de Knives Chau en tant que personne » (je cite les notes de l’auteur) n’a malheureusement pas été retranscrit. Dommage. La vie des personnages en dehors de la trame principale ressemble à du remplissage, et ne sert que très peu leur construction. Les péripéties relèvent des problèmes de premier monde, façon Beverly Hills ou Hélène et les garçons. Et pourtant, la culture évoquée dans cette BD devrait me parler, j’ai grandi dans l’ambiance groupe de garage, concerts minables et tout et tout. Mais c’est juste plat. L’avancée de la trame principale, c'est-à-dire la baston, est, et bien, bizarre. Trop d’action pour un héro-malgré-lui décalé, trop peu pour du bastonnage assumé. L’arrière-train entre deux gares. Défaut là encore commun de la production japonaise, l’auteur n’a clairement aucune idée de la direction que va prendre le récit. Et ça se sent. Sauf qu’il n’a pas l’excuse du rythme de production effréné imposé par le marché nippon. Reste l’ambiance, férocement accrochée aux années 90 et à Toronto. Qui me laisse une impression mitigée. L’essentiel des éléments culturels sont soit intemporels (les basses Rickenbaker n’ont pas trop évolué visuellement en 20 ans, un troquet est un troquet), soit revenu à la mode (le retro-gaming a déjà réhabilité l’esthétique pixelisée). Et comme je ne connais pas Toronto … Malgré l’évident travail documentaire de l’auteur, les décors me laissent froid. Enfin, je dis évident en lisant les notes de la ré-édition. Sinon, vu la précision de son trait, ça n’était pas forcément la peine de s’épuiser les yeux sur des photos de bâtiments. Le dessin des personnages est simpliste mais attachant. Les grands aplats de couleurs qui flashent accentuent le côté mignon de l’ensemble. Il y a des trouvailles (We are Sex Bob-omb!), mais pas assez vu la longueur de la chose. Comme je l’écrivais en préambule, je suis partial pour les productions d’Oni Press. Ceci dit, Scott Pilgrim m’a beaucoup rappelé Blue Monday, une autre tentative de l’éditeur de taper dans le retro-cool un poil branchouille, et qui m’a plongé dans le même ennui. Scott Pilgrim me fait l’impression d’un sous produit de Beck, manga qui hurle son amour pour la pop-culture occidentale. Et côté documentation graphique, Beck au moins a des grattes de toute beauté, ses couvertures sont un vrai jeu de piste dans le top 100 des albums rock. Quitte à regarder vers les productions indépendantes, l’aspect tranche de vie branchée m’avait fait largement meilleure impression dans The Devil’s Panties, qui ne se verra probablement, et malheureusement, jamais édité en France. Au total, Scott Pilgrim tient globalement de la barbe-à-papa : vite consommé malgré son volume, pas nourrissant, mais on se souvient de la jolie couleur.
J'ai commencé (malheureusement) par le film, qui est absolument génial soit dit en passant, film qui m'a évidement donné envie de lire le comics, chose que j'ai faite dès que j'ai pu et je n'en suis pas déçu. Cette histoire ne commence pas forcément de manière exceptionnelle, Scott un ado (jeune adulte) un peu geek avec tous ses problème d'ado, une copine, un groupe de musique, en gros pas grand chose de très intéressant. Et puis arrive cette fille Ramona Flowers et là tout bascule dans un concentré de déjanté, un foutoir mêlant univers de jeux vidéo, comics, fantastique et humour. Je ne suis pas forcément fan du dessin mais on s'y fait en se prenant à l'histoire. Réellement un très bon comics, et le film est lui aussi très bon (comme beaucoup de film d'Edgar Wright : Shaun of the dead et Hot fuzz). Yatz
J'avais déjà entendu parler de cette BD sans m'y intéresser, je pensais que c'était encore un truc pour adolescent boutonneux ennuyeux à mourir... Bon après il y a eu l'adaptation en film par Le Grand.... Le Sublime.... Edgar Wright !!!!! Bref, j'adore ce directeur donc le film a quelque peu éveillé ma curiosité.... mais en fait non, pas plus que ça, je suis un peu passé à côté surement dû aux à priori que j'avais déjà sur la BD. Et puis voilà les vacances de La Toussaint et... je me fais chier, mais alors méchamment ! Je passe mon temps à rien glander chez moi, et là... Je repense à ce film... Je regarde les trailers sur le net... Et ben merde, ça m'a l'air d'être terrible !!! Accordant plus d'importance à l'œuvre originale j'achète le premier tome et mon impression se renforce ! Au niveau des dessins... Franchement j'étais réticent aux premiers abords, mais finalement une fois dépassée la couverture (qui est pas vraiment représentative de ce que fait l'auteur) c'est plutôt joli ! Le noir et le blanc est bien utilisé je trouve, ça peut paraitre très simplifié mais franchement ça donne finalement du caractère et un côté "mignon" aux personnages. Je trouve que c'est très ressemblant à ce que fait Marjane Satrapi (Persepolis...) et aussi, comme l'a dit Ro, à Jamie Hewlett, notamment pour les fringues et l'attitude "bad-ass" qu'on donne. Je ne vois pas du tout par contre où ça fait "manga" ??? Le découpage est classique mais ça marche bien et, du coup la lecture reste fluide. Pour les plans, c'est du bon ! Ils sont originaux et on comprend pourquoi Wright (qui est un metteur en scène talentueux) a choisi de faire cette adaptation. Donc l'histoire tourne autour de Scott Pilgrim, une branloutte de 23 ans, sans travail, bassiste dans un groupe un peu bidon, un peu nerd sur les bords, vivant avec son ami et coloc' gay, Wallace Wells. Bref, c'est un type "normal" (il me fait quelque peu penser à un de mes frères...). Il vient de sortir (en fait, ça fait un an) d'une relation houleuse avec une fille et essaye de se remettre en forme en sortant avec une lycéenne de 17 ans (mon Dieu, mais elle est mineure, mais que fait police secours ?). Mais bon... Juste à ce moment là, il rencontre une autre fille, et là, c'est le coup de foudre direct.... De ce fait, il fait connaissance avec cette muse et entame une relation avec, laissant, au passage, tomber l'autre minette... A première vue, l'histoire a l'air d'être une simple histoire d'amour comique teintée d'un petit peu d'humour "geek" mais.... Ouais bon en fait c'est un peu ça, mais l'humour vaut le détour, ça me refait penser à une autre création de Wright : Spaced. Enfin bon, il y a quand même un hic dans cette relation : pour pouvoir vraiment sortir avec cette fille, Scott devra battre les 7 ex-petits amis maléfiques de celle-ci (bon ça rend mieux en anglais "7 evil exes"). Donc pour résumer l'histoire : on a une belle romance avec un très bon humour parsemé de combats tout droit sortis d'un jeu vidéo. Je pense que cette BD peut plaire à tout le monde pourvu qu'on aime le genre. Un bon récit qui parle de quelque chose par lequel on est tous passé.
2.5 J'avais vu le film et je voulais savoir comment était le comics book. Ce n'est pas que j'ai trouvé exceptionnel (pour moi c'est juste sympa), mais comme plusieurs personnes semblent le considérer comme un chef d'œuvre (incluant ma sœur et son petit ami), je me demandais si j'allais aimer si je lisais le comics. Et ben après avoir lu, mon impression est la même que pour le film : c'est chouette, mais je ne comprends pas comment on peut considérer 'Scott Pilgrim' comme un chef d'œuvre. J'ai l'impression qui me manque des références pour aimer cette série. L'histoire est bonne, mais je ne trouve pas les personnages attachants sauf le colocataire de Scott qui me fait rire. De plus, le film est plutôt fidèle au comics et donc j'ai souvent eu droit à des scènes que je connaissais déjà avec comme seule différence le fait que les personnages ne bougeaient pas. Je n'ai donc eu droit à aucune vraie surprise. Je conseille donc de ne pas voir le film avant pour ne pas avoir la même expérience désagréable.
J'ai d'abord découvert le film sur Scott Pilgrim sorti en 2010, j'avais bien aimé ces batailles du style vieux jeux vidéos et autres allusions, donc j'ais fait quelques recherches pour savoir d'où venait ce film, et j'ai découvert le comic Scott Pilgrim. Pour l'instant je ne peux parler que des 2 premiers, n'ayant pas encore lu la suite. J'ai de suite accroché à se style de comicbook version manga (et donc en noir et blanc) , avec un dessin qui même si parfois semble un peu "bâclé" (c'est pas le bon terme mais là j'en ai pas d'autre) fait parfaitement ressortir les expressions et sentiments des personnages. En parlant des personnages, Scott déjà un jeune homme (23 ans) mais toujours ado et je m'enfoutiste dans ses gestes, un peu geek sur les bords mais paradoxalement qui ne sait pas se servir d'un ordinateur, bassiste dans un groupe. Un jeune d'aujourd'hui quoi... dans lequel on peut facilement se retrouver par certains côtés. Puis on arrive au gros dérapage avec des combats à la tekken, des passages tridimensionnels (ou plutôt subspatiaux) et une fille qui arrive à faire du roller alors qu'on est en hiver et que les rues sont pleines de neige. Personnellement j'adore les trucs loufoques et les ovnis que l'on peut trouver dans la bd et les livres et celui là c'en ai vraiment un. Et j'attends de pouvoir lire les tomes 3 et 4 et la parution des tomes 5 et 6 avec impatience. Donc une BD pas absolument à avoir dans sa bibliothèque mais si vous aimez quand les auteurs se tapent des délires avec leurs personnages n'hésitez pas. Sinon si vous n'aimez pas quand les histoires partent en cacahuètes ce n'est pas la peine de l'acheter (mais lisez la quand même, vous pourriez avoir une douce surprise).
« Page 45 » est une petite librairie indépendante de comics située dans le centre de Nottingham… sans doute la meilleure du genre dans toute l’Angleterre, et une vraie mine d’or pour le fan de BD expatrié que je suis… pourtant, une belle journée ensoleillé de l’année 2004, un drame se produit : le vendeur me vantât les qualités d’une nouveauté avec une telle ferveur que je l’achetai sans même réfléchir, malgré le coté flashy, presque manga, de la couverture. C’est ainsi que je fis connaissance de Scott Pilgrim. Et ma déception fut à la hauteur du discours dithyrambique du vendeur ! Je n’ai tout simplement pas du tout accroché à ce basculement soudain dont Ro parle ci-dessous. L’histoire vire au grand n’importe quoi, et je me suis tout simplement senti trop vieux (ou trop con ?) pour ce genre de délire « manga-isé ». Je n’ai jamais compris l’engouement des critiques pour cette série, et son adaptation en film me laisse pantois. Inutile de vous dire que j’ai immediatement revendu mon tome 1, et que la superbe librairie « Page 45 » a perdu un peu de son aura.
Annoncé au moment de sa parution française comme un chef d'oeuvre déjà en cours d'adaptation en film mais aussi en jeu vidéo, ce comics avait attiré ma curiosité. Il faut admettre que son contenu est original. Le décor : Toronto. Les personnages : des adolescents et des jeunes adultes assez cools, la plupart colocataires, vivant de petits boulots ou encore étudiants. Le héros : Scott Pilgrim, 23 ans, un peu geek mais alignant les conquêtes féminines, sans emploi mais touchant de la guitare dans un groupe rock amateur. Cela commence comme un roman graphique pour jeunes, sur un rythme léger et avec une bonne part d'humour. Puis tout à coup, le fantastique fait irruption et ça part en drôle de délire. Scott tombe amoureux d'une fille qui utilise ses rêves comme raccourcis pour faire ses livraisons. Dès lors, il va devoir affronter, à la manière de combats de manga ou de jeu vidéo, les sept anciens petits amis maléfiques de sa nouvelle copine, ces derniers se transformant en pièces de monnaie quand ils sont terrassés. Bizarre... Tout cela est raconté sur un ton anodin, comme s'il n'y avait rien d'étonnant à ce que la petite vie d'un canadien urbain soit ponctuée de batailles chorégraphiées et d'autoroutes sub-spatiales. D'autant qu'à côté de cela, l'accent est mis sur la petite vie amoureuse du héros, notamment le fait qu'il plait aux filles et qu'il a beaucoup de mal à rompre avec elles. On évolue dans une atmosphère presque onirique, qui ne semble pas se prendre au sérieux sans pour autant s'orienter clairement vers l'humour. C'est déstabilisant pour le lecteur mais comme c'est raconté de manière fluide et agréable, cela passe bien. Le dessin est tout aussi coulant, pas exceptionnel mais plaisant. Les personnages ont parfois des bouilles et des styles vestimentaires rappelant les Gorillaz de Jamie Hewlett, en plus présentables. C'est sympa. C'est frais. Le format manga des albums, petits, souples et bon marché, joue également dans ce sens. Il est juste dommage qu'il manque un fil directeur à ce récit pour accrocher le lecteur. Les combats successifs avec les ex de la copine de Scott rythment l'intrigue mais il n'y a rien d'autre que le charisme des personnages et l'ambiance attrayante de l'ensemble pour donner envie de poursuivre la lecture. Dans mon cas, ayant acheté les deux premiers tomes, je ne suis pas particulièrement empressé de lire la suite. Peut-être par curiosité, pour voir si l'auteur est en mesure d'aller encore plus loin dans l'originalité...
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