Phoenix
L'expérience a détruit leurs vies. 30 ans après, le cauchemar recommence !
D'un monde à l'autre La BD au féminin
1983. Une île du Pacifique. Un matin, une lumière intense se répand en une fraction de seconde...La vie des habitants vient de basculer et leurs souvenirs sont comme effacés... 25 ans plus tard, Los Angeles. Jonathan Caldwell a parfois l'impression d'être ébloui par des halos de couleur verte, ses rêves devenus cauchemars semblent bien trop réels... Pour Jonathan, c'est le début d'une succession d'énigmes liées à son passé. Il lui faudra retrouver et agencer les morceaux d'un puzzle incroyablement complexe et dangereux....
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Date de parution | 25 Août 2010 |
Statut histoire | Série terminée (du moins, un premier cycle) 3 tomes parus |
Les avis
Phoenix nous laisse irrémédiablement songer à cet oiseau majestueux, renaissant de ses cendres. Au-delà de cette image mystique, le sujet abordé dans ce premier album est beaucoup plus dramatique. Il s’agit en tout autre chose de la science, non pas celle de tous les jours, plutôt la face plus sombre, une science dont le dessein serait de servir des intérêts moins philanthropiques. Un dérapage ? Des cobayes humains ? Le mystère reste entier, comme pour notre héros cherchant au plus profond de sa mémoire les réponses à toutes ces questions. Récit intense et effrayant à la fois, ce premier tome s’avère d’une efficacité de taille, flirtant un brin avec cette fameuse série des années 60 : La Quatrième Dimension ! Jean-Charles Gaudin, le scénariste, nous en donne pour notre argent, si j’ose m’exprimer ainsi. Un scénario bien ficelé ne divulguant rien sur son issue, un découpage qui rebondit toujours où il faut, avant le moment fatidique, rien n’est laissé au hasard par Jean-Charles Gaudin qui prouve avec virtuosité qu’il est maître de son scénario ! Qui plus est, avec Peynet au dessin, « Phoenix » a des envergures de polar fantastique qui risque bien d’être un ouvrage en la matière. L’assurance du trait donne de la profondeur aux décors, mais plus encore, Peynet arrive avec brio à garder intacte l’ambiguïté des personnages. Il suffit pour comprendre cela de regarder les scènes où tout bascule pour Jonathan ! Ames sensibles, s’abstenir ! Amoureux de la peur et de l’étrange, eux, s’en donneront à cœur joie et garderont même une impression de frisson après lecture !
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