Dante's Inferno
De retour des croisades, un Dante Alighieri réimaginé en guerrier sacré trouve Béatrice, sa bien-aimée, assassinée. Alors que Lucifer tente de s'emparer de l'âme de Béatrice pour en faire son épouse, seul Dante a la force et le courage d'enfoncer les portes de l'Enfer pour la sauver.
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De retour des croisades, un Dante Alighieri réimaginé en guerrier sacré trouve Béatrice, sa bien-aimée, assassinée. Alors que Lucifer tente de s'emparer de l'âme de Béatrice pour en faire son épouse, seul Dante a la force et le courage d'enfoncer les portes de l'Enfer pour la sauver. Inspirée du jeu vidéo à succès d'EA, cette bande dessinée donne un souffle inédit à un grand poème classique, grâce au scénario de Christos Gage et aux dessins gothiques de Diego Latorre.
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Date de parution | 25 Août 2010 |
Statut histoire | Série abandonnée (initialement prévue en 2 tomes) 1 tome paru |
Les avis
Alors comment dire… Je ne connais absolument pas le film, le jeu ou tout autre support qui se référerait à ce récit. Je n’ai rien compris au récit. Le seul repère serait l’œuvre mythique de Dante : l’Enfer que ce récit reprend dans le voyage que semble effectuer notre héros. Car l’histoire tient en quelques mots, un guerrier trop fort qui part sans sa promise, le diable se pointe et emmène la promise aux enfers parce que le guerrier aurait fauté, bam vla ti pas qu’il traverse l’enfer pour récupérer son amour. Prévenons le lecteur de suite, il n’aura traversé à la fin du premier tome que 3 cercles. Graphiquement le style surprend ! Mis à part les traits de visages il n’y a que des hachures du flou et des vagues colorées. Si la technique maîtrisée des visages montre une jolie palette, le choix de laisser tout le reste dans des flous et du trait vif abstrait montre une sacrée confiance vis-à-vis du lecteur pour la bonne compréhension. Hélas je n’ai pas le niveau et n’ai donc rien compris, j’ai vu des corps plus ou moins fantomatiques de toutes les couleurs voleter et discuter de façon puérile dans un coin sympa qui semble être les enfers. Chacun peut se parler et communiquer sans présence physique. Alors graphiquement on peut dire que certaines planches prises isolément sont belles, mais elles sont plutôt rares pour mon goût et surtout ne veulent rien dire par rapport au scénario. En réalité le vide complet général reflète bien le néant scénaristique dans lequel nous sommes plongés. J’espère qu’on va pas se taper le purgatoire voire le paradis parce que là aussi il y en a des cercles décrits par Dante ! Bref, je suis passé à côté de cet étrange objet graphique dont je resterai désormais à l’écart.
J’ai fait le jeu vidéo et même si je ne l’ai pas fini, je peux dire que ce comics reste fidèle au jeu. C’est un vrai bonheur que de se retrouver chez mon pote cornu où le chauffage n’est jamais en panne. C’est en plus une découverte pour moi vu que je ne connais pas l’œuvre originale de Virgile dont s’est inspiré le jeu, un récit intéressant avec quelques réflexions sur les travers humains. Le style graphique de Diego Latorre est plutôt bon, même très bon, mais pour le coup j’aurais plutôt vu la patte d’un Olivier Ledroit et ses fabuleuses couleurs directes. La colorisation informatique et très artificielle de Latorre installe une ambiance un peu glaciale et inconsistante. C’est pourquoi je n’ai mis que trois étoiles, car le jeu est lui bien plus palpable et réel, il n’y a pas cette espèce de transparence qui règne sur le comics, fait exclusivement dû au dessin. Le choix du lettrage rouge pour Satan est très original, une bonne trouvaille que voilà.
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