Trick Power Battle

Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)

Dans cette nouvelle série destinée aux jeunes lecteurs, vivez, aux côtés d'une bande de jeunes casse-cous, au cœur d'une immense ville, vaste skate park pour nos héros


Albums jeunesse : 6 à 10 ans Auteurs italiens Le skateboard Séries avec un unique avis

La folie du skate n'en finit plus d'enflammer les kids et les ados du monde entier. Dans cette nouvelle série destinée aux jeunes lecteurs, vivez, aux côtés d'une bande de jeunes casse-cous, au cœur d'une immense ville, vaste skate park pour nos héros Dans cette nouvelle série destinée aux jeunes lecteurs, vivez, aux côtés d'une bande de jeunes casse-cous, au cœur d'une immense ville, vaste skate park pour nos héros

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 24 Août 2010
Statut histoire Série abandonnée 2 tomes parus

Couverture de la série Trick Power Battle © Soleil 2010
Les notes
Note: 1/5
(1/5 pour 1 avis)
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17/09/2010 | Ro
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Par Ro
Note: 1/5
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Yeah ! Cette BD est pour vous les Kids ! Et si vous mourez un jour, que ce soit après un pop shove-it ou un 360 flip ! Yo ! Hu hu... J'aime l'accroche de cette BD... A part ça, il apparaît qu'il s'agit là d'une série purement commerciale, voire publicitaire. Après quelques recherches (j'y connais rien en skate), j'ai appris que les Trick Power étaient une marque de jouets importée d'Italie qui profite d'une certaine mode des skates chez "les kids et les ados" en proposant des mini skates avec lesquelles faire des figures avec les doigts. Le dessin est tellement typé animation que j'ai cru qu'il s'agissait de l'adaptation d'un dessin animé de la télé. Visiblement, ce n'est pas le cas. Sans doute que la marque Giochi Preziosi qui vend ces jouets n'avait pas ou pas encore le budget et s'est rabattu sur la BD pour son plan marketing. Les décors sont réduits au minimum mais aussi corrects que ceux des médiocres bandes dessinées Disney d'origine italienne qui parsèment régulièrement le journal de Mickey. Les personnages, eux, sont dans un style rappelant fortement celui de Jamie Hewlett (Gorillaz). Ca pourrait ne pas être laid si ces derniers ne donnaient pas en permanence l'impression de prendre la pose, sourcils toujours froncés comme s'ils étaient en plein combat. Leur comportement parait tellement artificiel qu'on a bien du mal à entrer dans une quelconque histoire. La narration graphique n'est pas mieux tant elle accumule les enchaînements abrupts et les changements de rythme. L'histoire, pour sa part, est complètement stéréotypée. Ça commence avec les gentils poursuivis par les méchants qui trouvent refuge dans une boutique mystérieuse où un vieil homme aux allures de sorcier mandarin va leur transmettre les fameux Trick Power magiques. Combien de fois a-t-on déjà vu une telle entame ? Gremlins, l'Histoire sans Fin ou encore récemment la BD Sam Catch... Heureusement, les auteurs admettent le cliché puisqu'avec ironie, ils surnomment eux-mêmes le vieux sorcier monsieur Miyaghi (Karate Kid). Puis le récit tourne à l'histoire de fantômes, avec des quais médiévaux et un vieux galion de pirates qu'on trouve on ne sait comment dans cette ville en principe moderne mais que personne n'avait visiblement visité avant les héros de la série. La magie fait amplement son entrée en jeu tandis que les méchants s'emparent d'une pierre qui leur donne des pouvoirs destructeurs. Explosions, fuites, combats, gentils héros qui s'en sortent, et basta pour le scénario. A ce stade-là, ce n'est plus une intrigue, c'est une suite d'images déjà vues et d'illustrations de gamins en tenue cool enchaînant d'improbables figures de skates. Le genre de BD qu'on imaginerait offerte en cadeau bonus quand on achète une boite d'un jouet de type Action Man. Difficile donc d'imaginer qu'il puisse venir à l'idée de payer pour "lire" ça...

17/09/2010 (modifier)