Le Troisième Testament - Julius
Les origines du Troisième Testament.
Au temps de Rome et de l'Empire Romain Auteurs canadiens Glénat Les meilleures séries terminées en 2018 Les prix lecteurs BDTheque 2010 Prequel
Nous remontons aux sources de la légende, sur les traces du prophète oublié Julius de Samarie. Cet homme aurait reçu la parole de Dieu et l'aurait cachée aux yeux des hommes. Voilà ce que racontent d'obscures légendes médiévales. La réalité est plus fantastique encore. Nous sommes trente ans après la mort du Christ. Julius s'appelle encore Julius Publius Vindex. Il est général, légat de Rome, persécuteur de juifs et de chrétiens.. Comment cet homme, qu'on nomme "le boucher d'Alexandrie", va-t-il devenir le prophète de la légende ? Au moment où la Judée s'apprête à se soulever contre Rome dans une guerre qui va changer le monde à jamais, quel sera le rôle de Julius dans l'avènement du messie qu'annoncent les écritures depuis le commencement des temps ?
Scénario | |
Dessin | |
Couleurs | |
Editeur
|
|
Genre
/
Public
/
Type
|
|
Date de parution | 28 Septembre 2010 |
Statut histoire | Série terminée 5 tomes parus |
Les avis
Il n'est jamais évident de faire une "suite" à une série à succès. Ici, mission réussie. Je me rappelle précisément le jour où j'ai acheté le premier tome du préquel du Le Troisième Testament, j'étais dubitatif devant la couverture avec ce casque romain, qui d'ailleurs reviendra sur chaque album. Et bien j'avais tort, dès les premières planches, j'ai été happé par l'intrigue avec ce délicieux cocktail de péplum, de fantastique et d'ésotérisme. Une intrigue classique mais bien charpentée, on va suivre l'épopée de deux hommes qui au départ tout oppose, Julius Publius Vindex général dans l'armée romaine, le boucher d'Alexandrie, et d'un juif qui va devenir l'esclave de Julius. Un récit qui va vite changer de direction, nos deux lascars vont s'associer malgré eux et partir à la recherche du troisième testament. Ce qui m'a captivé dans cette quête, c'est le souffle épique et le lyrisme qui s'en dégage tout en explorant le fanatisme, la guerre, les croyances et les relations humaines. Des personnages principaux qui au départ peuvent paraître stéréotypés mais qui vont évoluer d'une manière diamétralement opposée. Un final quelque peu attendu pour qui a lu Le Troisième Testament mais cela n'enlève en rien à son pouvoir d'attraction. Les deux séries peuvent se lire indépendamment. Un premier tome dessiné par Robin Recht au trait puissant et à la mise en page réalisée par Alex Alice, très beau. Le reste de la série sera dessinée par Thimotée Montaigne, une transition qui se fait naturellement, Alex Alice est toujours au storyboard, superbe. J'avoue avoir une préférence pour le trait de Montaigne. Une cohérence graphique qui apporte un ton mystique à cette formidable odyssée. Une relecture d'une traite, il faut dire que je suis friand de ce genre de récit.
Après le succès plus ou moins mérité de la série Le Troisième Testament, Dorison et Alice remettent le couvert avec ce Julius. Qui n’est pas exactement la suite – et qui peut d’ailleurs se lire sans connaître la série précédente. Ici l’on ne traverse pas l’Europe dans tous les sens, mais on fait quand même quelques kilomètres !, dans une dérive asiatique qui permet aux dessinateurs de donner libre court à leur talent. Concernant le dessin justement, j’avoue ne pas aimer le changement de dessinateur en cours de série, même si Recht (que j’avais découvert avec Totendom) et Montaigne ont un style assez proche : la transition n’est pas trop brutale. En tout cas, je préfère quand même le trait de Montaigne, plus clair, avec de superbes planches – je comprends le choix d’Alice (lui-même excellent dessinateur). Pour ce qui est de l’intrigue, elle se laisse lire, mais c’est quand même sans réel enthousiasme que je l’ai suivie. Peut-être l’impression d’avoir déjà vu ou lu ce genre de choses, je ne sais pas. Mais cela commence à être un peu rebattu ces histoires mêlant fantastique et ésotérisme (Dorison, Istin et d’autres épuisant le filon). J’ai trouvé que le troisième album (pourtant le plus beau esthétiquement) tendait vers l’overdose d’aventures improbables, une surenchère qui ne m’a pas du tout convaincu. Quant au quatrième tome, le changement de personnalité du Sar Ha Sarim (plus que celle de Julius) est elle aussi difficilement crédible. Bref, ça se laisse lire, mais quelques tics, et des difficultés à conclure cette idée du « Troisième testament », malgré un dessin plutôt réussi, voilà une série qui peine à tenir le rythme. Il est temps de passer à autre chose.
Tant je suis resté dubitatif devant tant de succès pour la série mère "Le 3ème Testament" dont je ne comprenais pas le tant d'attrait devant un tel scénario assez artificiellement construit et très peu naturel, ajouté au dessin entre Marini pour le dynamisme et Chabbert pour quelques vues surprenantes en plongées ou contre-plongées, mais qui dans les deux cas de figures, était largement inférieur tant à celui de Marini qu'à celui de Chabbert, bref, après lecture de cette série mère, je n'y ai vraiment pas trouvé grand chose de bon qui vaille davantage qu'un pénible 2 étoiles pour un dessin souvent imprécis ou inachevé, et un scénario vraiment bof avec un dernier tome à mon sens complètement raté par une fin improbable d'une trame qui a finalement dépassé les capacités intellectuelles de son auteur. C'est donc avec un certain à priori plutôt suspicieux que j'ai appréhendé la lecture du premier tome de cette nouvelle série Julius, et des suivants, par pure curiosité. Et bien, mon avis change ! On dirait que le scénariste s'est recadré (il était temps) et le dessin, en changeant de dessinateurs (principalement Montaigne) est à mon sens devenu plus "stable" et homogène (je me comprends), sans fulgurance, mais sans réelle prise à défaut. Du bon boulot bien fait. Du coup, sans renier pour ma part et à mes yeux l'échec du premier volet ("le 3ème testament" 4 tomes), je trouve ce second volet "Julius" assez interressant et original. Vrai cote 3,7/5
En 2010, Alice et Dorison s'attellent à une suite en forme de préquel qui doit impérativement se hisser au même niveau que Le Troisième Testament originel, afin de ne pas décevoir les attentes de nombreux fans. Elle évolue cette fois dans l'Empire romain, sous le règne de Néron, époque presque aussi fascinante et aussi riche que le Moyen Age ; c'est là que tout a commencé, et le récit fait de son héros, Julius de Samarie, un personnage détestable dans le tome 1, mais aussi intéressant que Marbourg, dont le rôle dans l'avènement du Messie en Judée, s'avère crucial. Son caractère évolue considérablement, et j'ai bien aimé cette attitude dans les tomes 3 & 4, il devient carrément mystique, de même que son interaction avec le "Sar ha Sarim" révèle les doutes et les failles des 2 hommes. Ca semble très bien parti, dès le tome 1, où Dorison et Alice se contentent cette fois du scénario en reprenant les recettes de la série mère. Le développement est amené avec virtuosité, les dessins de Robin Recht imitent à la perfection le graphisme d'Alice, même si ce dessin ne me renverse pas ; le tome 2 prend un peu plus son temps et marque le pas même, certaines pages semblant s'étirer inutilement, c'est peut-être pour ça que dans les dernières pages du tome 4, ça va un peu vite. Le dessin de Montaigne ne démérite pas et s'accorde bien à l'ensemble, il s'améliore grandement dans le tome 3 pour devenir carrément plus ferme, plus épais, plus puissant, avec des images superbes dans les perspectives, certains gros plans et les plans aériens. La vue sur Babylone, les jardins suspendus, les scènes de la chute d'eau, le temple en montagne, la vue sur Césarée, la double page en 3 cases étirées... tout ceci donne une sacrée gueule à cet ensemble graphique. Il est certain qu'à l'issue de cette nouvelle tétralogie, le lecteur aura une vision globale de cette légende épique entamée en 1997, de sa genèse à sa conclusion, mais ce prequel garde sa propre identité tout en ayant un lien direct avec la série-mère. Mais alors est-ce que c'est vraiment fini ? la potentialité d'un nombre d'albums indéfinis me chagrine un peu, alors que Le Troisième Testament n'a fait l'objet que de 4 albums... Cette perspective ainsi que quelques autres petits éléments me font considérer que la série reste quand même un cran en-dessous de son modèle, et pour tout ça, je maintiens ma note.
De la bd grand spectacle qui amène de nouveaux éclairages sur la série mère culte tout en se gardant une identité propre. Les dessins explosent littéralement chaque pages et les personnages sont suffisamment nuancés pour ne pas être caricaturaux et capter notre attention. Du très bon pour le genre.
Quoi une suite au magnifique Troisième Testament? Un préquel plus exactement ou Alice, qui ne dessine plus! et Dorison s'attachent à nous conter le rôle d'un personnage aperçu dans le premier cycle, Julius de Samarie. Le fan que je suis tremble mais se rassure très vite, en effet au dessin un autre "monstre", Robin Recht que j'avais découvert sur Totendom. Ici son dessin s'est éclaircit et voilà quelqu'un qui lui aussi sait de quoi il parle quand il s'agit de mettre en images un scénario plus qu'envoutant. Quoi, il aurait eu un frère? Nous en sommes au troisième tome, Montaigne à pris le relais pour le dessin, et l'histoire avance dans des contrées magnifiques, ah les plans dans la mine, dans le désert et cette arrivée à Babylone. J'attends avec grande impatience le quatrième opus de ce cycle et il est bien possible que ces deux tétralogies obtiennent le mention de culte.
Tome 1 Grandiose ce nouveau cycle du troisième testament. Pourtant, j'ai eu peur en débutant la lecture : cela commencait comme "Quo Vadis", le roman de Henryk Sienkiewicz (le triomphe d'un général à Rome, l'idée de brûler la Rome éternelle , faire porter la responsabilité aux chrétiens....) puis se transformait en "Ben-Hur" avec la déchéance de Julius, le tout sur un fond de naissance du christianisme, sans oublier la fille naïve... bref que du déjà vu. Mais le scénario de Dorison et d'Alex Alice vient tellement apporter de méandres dans ce récit qu'on en oublie les références à ces péplums pour évoluer plus vers une histoire mystérieuse que vers une aventure classique. Et que dire des dessins de Robin Recht à la fois si proche de l'ambiance défini par Alex Alice dans le précédent cycle mais aussi très personnel. Quelques scènes font d'ailleurs écho à certaines situations du livre IV du Troisième Testament : le combat sur le pic de Nigmigiv et celui de Julius avec l'énigmatique et imperturbable chrétien. Le dessin de Recht est beaucoup moins sombre que dans Totendom, avec des décors et personnages beaucoup plus travaillés. Je vous invite à dévorer ces 80 premières pages d'une saga qui, avec ce premier volume, sera aussi fascinante que le précédent cycle. Tome 2 Je suis un inconditionnel du « Troisième testament », que je relis régulièrement depuis des années. Aussi, je me suis précipité vers le pré quel dès sa parution. J’avoue que j’ai eu du mal à m’habituer au dessin de Thimothée Montaigne, après celui de Robin Recht , dessinateur du premier volume: un encrage plus épais, un dessin moins fouillé mais au fil des pages, j’ai oublié ces petites imperfections et la comparaison avec le trait de Recht, pour me concentrer sur l’histoire. En effet, grâce aux couleurs de François Lapierre, les différences finissent par s’estomper. En outre, des mises en pages originales et soignées (l’entrée dans Babylone, par exemple) rappellent les mises en scène osées de « Julius #1 » Avec ce second volume, intitulé bizarrement « la révélation 1/2 », nous suivons la quête de Sar Ha Sarim à travers le désert. Certes, nous n’avançons pas beaucoup dans cette recherche du « Troisième testament » mais cette errance dans le désert nous permet de faire le parallèle entre la vie de Jésus et de ce (nouveau ?) Prophète. Le scénario est assez intrigant pour nous donner envie de connaitre la suite. Pour autant, il a fallu que les éditions Glénat lancent un coffret réunissant l’album et le making-of de 108 pages pour me convaincre d’acheter cette deuxième partie (le changement de dessinateur, le changement de pagination, et sans doute un nombre d’albums encore non définis pour clore cette série m’ayant à première vue refroidit), grand collectionneur devant l’éternel et admirateur de crayonnés en noir et blanc que je suis ! Car c’est un supplément de grande qualité édité par Glénat, avec page de gauche le storyboard d’Alex Alice, et page de droite, les recherches et crayonnés de Thimothée Montaigne. Un régal pour les yeux , un must pour les collectionneurs
Le personnage de Julius planait littéralement sur l’œuvre originale qu’était « le Troisième testament ». Aussi, le fait de réaliser une anté-suite en prenant ce personnage paraissait opportun. Cette BD impressionne tout d'abord par sa virtuosité esthétique. Les planches de dessins sont d'une rare beauté et d’une finesse exquise. La colorisation semble également très réussie. On notera qu’Alex Alice qui supervise toujours le projet laisse sa place à un véritable disciple qui a tout le talent de son mentor d’où une revendication assumée ... La scène d’ouverture est tout à fait époustouflante dans le fait de se donner dans une dimension presque cosmique. Pourtant, on sera totalement immergé dans cette société romaine. Par ailleurs, chaque personne semble posséder une véritable âme ce qui facilite le fait que le lecteur suit avec plaisir leur parcours et leur évolution au fil des épreuves qu’ils subiront. Le traitement demeure certes classique. Cependant, la mise en scène est d’une fabuleuse maîtrise aussi bien narrative que scénaristique. Pour autant, on regrettera les fautes d’impression calligraphiques absolument impardonnables pour une série aussi médiatisée. C’est à croire qu’il n’y a aucune relecture démontrant ainsi un amateurisme qui n’a pas sa place à ce niveau. On pardonnera cependant… sans doute par charité chrétienne qui est justement ici de mise. On suivra donc avec attention la suite de cette fabuleuse saga qui nous réserve certainement de très bonnes surprises ! Après un premier tome qui joue sur la rivalité entre deux personnages charismatiques, on part pour une quête dans le second opus. Cela ressemble un peu à du Indiana Jones mais au temps de la Babylone antique. Le dessin sera splendide par moment avec un découpage totalement adapté. J'ai bien aimé cette aventure qui nous fait sortir du cadre de l'Empire romain et de la Judée. On retrouve parfaitement le lien avec Le Troisième Testament qui a marqué à tout jamais de son empreinte la bd historique et ésotérique. Bref, cette suite m'a surpris dans la mesure où elle est totalement différente de la première partie en mettant un peu moins l'accent sur Julius et en accentuant le rôle de ce nouveau messie. A la fin de cette lecture, on n'a qu'une envie: découvrir la suite car le résultat est étonnant de maîtrise et de qualité.
Bien qu’étant la préquel du 3e testament, les aventures de Julius peuvent tout à fait se lire indépendamment. Le premier tome est remarquablement construit. Il permet de faire connaissance avec 2 personnages particulièrement intéressants. D’un côté Julius, général romain de retour de la guerre, de l’autre « le chrétien » qu’il ramène comme esclave. Ces deux-là vont partager le premier rôle. Si de prime abord, on a droit à une nouvelle histoire ésotérique sur fond d’origine de la chrétienté, elle sort rapidement du lot. D’abord grâce à ces deux personnages principaux qui sont autant attachants que mystérieux, à la fois détestable et hautement charismatique pour des raisons différentes. Ensuite grâce à la qualité de l’intrigue. La façon progressive dont l’ésotérisme et le fantastique font leur apparition dans la série est parfaitement gérée. Dans le tome 2 l’histoire prend une tournure un peu moins originale. Il y est principalement question du périple de notre « chrétien » et de la bande qui le suit. Tout ça à un coté Jésus et les apôtres un peu trop prononcé, on marche tout droit sans savoir où l’on va juste parce que l’on se sent guidé par dieu. Cela dit les péripéties qui attendent les voyageurs sont plutôt très bien menées et les différentes embûches qu’ils rencontrent pimentent agréablement le récit. Mention spéciale pour les passages dans les jardins de Babylone qui sont magnifiquement mis en images. D’ailleurs le dessinateur a changé entre les tomes 1 et 2 sans que la qualité graphique n’en souffre. Il n’y a aucun souci pour reconnaître les personnages, le style est un peu différent, plus éloigné de celui du 3e testament, mais personnellement il me plait pas mal du tout. Le personnage de Julius change progressivement et devient de plus en plus intéressant. Cela donne envie de connaître la suite. Au final une série bien menée, la lecture est agréable même pour moi qui ne suis, à la base, pas un fan du genre catholic-fantasy j'ai trouvé ici pas mal d'éléments attirants.
Je poste mon avis après lecture du tome 2 qui vient juste de sortir. Le Troisième Testament premier du nom est une de mes séries favorites, une excellente combinaison entre aventure, enquête ésotérique et fantastique. On retrouve les mêmes ingrédients qui ont fait sa réussite dans cette suite qui fait figure de préquel. Bon je ne vais pas faire un long résumé (lire les autres avis pour ça) et pour faire cours, Le Troisième Testament : Julius se déroule à l’aube de la chrétienté, quelques décennies après la mort du Christ où l’on suit Julius Publius Vindex, légat de Rome et que les lecteurs du Troisième Testament connaissent mieux sous le nom de Julius de Samarie, le fameux prophète disparu. Alors pas besoin d’avoir lu la série d’origine pour commencer Julius mais personnellement je le recommande car comme je l’ai dit plus haut, Julius reprend un peu les mêmes recettes que son aîné, tant au niveau du dessin que de la trame du récit. Le Troisième Testament 1 et 2 sont avant tout un spectacle hollywoodien avec un graphisme soigné et recherché et en plus un scénario qui tient bien en haleine. C’est un peu comme Star Wars dans le sens où il faut d’abord avoir vu la première trilogie, ça permet de ne pas tout révéler et de maintenir la curiosité du lecteur. Pour aborder la BD en elle-même, faute de temps ce n’est pas Alex Alice qui est au dessin pour le tome 1 mais Robin Recht, Alice s’occupant du scénario et Xavier Dorison l’aide dans l'écriture et supervise la cohésion de l’ensemble. Le style de Recht m’a beaucoup plu, tout aussi dynamique que celui d’Alice avec des cadrages inspirés des films de cinéma, son dessin par contre est plus proche d’un Mathieu Lauffray je trouve, avec ce côté parfois un peu crayonné, enfin bref, on est dans la continuité de la première série malgré les années d’écarts et le changement de dessinateur. Mais ça ne m’étonne pas car tout ce petit monde travaille ou travaillait parfois dans le même atelier avec aussi Bajram, Montaigne, qui dessine le tome 2 etc. D’ailleurs le tome 2 démontre le professionnalisme de ces auteurs là car souvent un changement de dessinateurs n’apporte que des emmerdes mais ici c’est encore une réussite, et même mieux, je trouve le graphisme de Montaigne plus plaisant en cela qu’il est un poil plus réaliste tout en gardant les qualités de Recht. Julius reprend les mêmes recettes que Le Troisième Testament, les qualités comme les défauts. Alors personnellement ça ne m’a jamais gêné mais beaucoup reprochent au Troisième Testament le découpage du récit qui traîne parfois en longueur pour finalement tout dévoiler dans l’ultime album (4 tomes dans les 2 séries). Dans Julius, c’est la même chose : le premier tome a mis en place les personnages et dans le second on commence à rentrer dans le concret. Si le premier tome offrait 80 superbes pages, le second est plus classique avec 50 pages, et d’après une interview d’Alice il devrait en être de même normalement pour le 3ème album. On pouvait se poser la question de savoir si Le Troisième Testament Julius serait à la hauteur de son aîné après lecture du premier tome mais maintenant que le deux est sorti, je suis quasiment sûr qu’on se dirige vers une série immanquable encore une fois.
Site réalisé avec CodeIgniter, jQuery, Bootstrap, fancyBox, Open Iconic, typeahead.js, Google Charts, Google Maps, echo
Copyright © 2001 - 2024 BDTheque | Contact | Les cookies sur le site | Les stats du site