L'Escadrille des Têtes Brûlées

Note: 3.25/5
(3.25/5 pour 4 avis)

La véritable histoire de Gregory Boyington et de ses "Moutons Noirs". Buveur et amateur de femmes, il rassemble autour de lui des fortes têtes dans l’escadrille VMF 214, basée dans le Pacifique Sud, et choisit le surnom de « Black Sheep » (les « Brebis galeuses »). Il y est surnommé « Pappy » parce qu'il a, à l'époque, 30 ans soit 10 de plus que la moyenne de ses pilotes. Son escadrille revendique 96 victoires aériennes dont 22 sont attribuées à « Pappy ».


1939 - 1945 : La Seconde Guerre Mondiale Aviation Chine Les petits éditeurs indépendants [Seconde Guerre mondiale] La Guerre du Pacifique et le conflit sino-japonais

Steve et Frank, deux jeunes pilotes de chasse, s'engagent dans l'American Volunteer Group pour combattre l'invasion japonaise en Chine. C'est là qu'ils rencontreront ce personnage extraordinaire qu'est Greg Boyington. Avant d'accomplir ses fameux exploits dans le Pacifique, c'est en effet d'abord avec les Tigres Volants que Boyington va commencer sa courte mais intense carrière guerrière. Ces jeunes pilotes vont pratiquement arrêter à eux seuls l'offensive japonaise, mettant fin à l'invincibilité de l'armée impériale. Boyington devra malheureusement quitter le théâtre des opérations pour se soigner, mais il reviendra bientôt sur le front du Pacifique pour y constituer la plus formidable machine de guerre formée avec si peu d'hommes.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Octobre 2010
Statut histoire Une histoire par tome 6 tomes parus

Couverture de la série L'Escadrille des Têtes Brûlées © Zephyr BD 2010
Les notes
Note: 3.25/5
(3.25/5 pour 4 avis)
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25/10/2010 | Mac Arthur
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Par Marcdu95
Note: 4/5 Coups de coeur expiré

Comme beaucoup de lecteurs au vu des critiques parue sur cet ouvrage, l’expression « Têtes Brûlées » m’a attiré presque malgré moi, la référence à la célèbre série TV faisant office d’accroche. C’est donc avec un regard très critique dans un premier temps que j’ai feuilleté (puis acheté) l’album « Un nommé Boyington », et je ne regrette pas cet achat. Enfin une bande dessinée qui respecte avec brio la réalité des matériels utilisés dans cette période de l'Histoire, des recherches sérieuses semblent avoir été faites par les auteurs : les avions sont ceux (modèles précis) qui volaient dans cette période en Chine, les décorations, camouflages et signes des unités sont justes ! Quel boulot ! En outre, le style graphique est dynamique, très lisible, les scènes aériennes parfaitement crédibles, la mise en couleurs venant donner à l’ensemble une atmosphère qui rend le tout très cohérent. Les personnages, à mon sens, sont bien campés, les avions très bien dessinés. S’il est une critique qui m’empêche de mettre la note maximum, c’est que cette bande dessinée est trop vite lue, hélas. Mais trop de texte aurait peut-être troublé le caractère dynamique de l’ensemble? Mention spéciale pour la couverture qui contribue parfaitement au charme de l’ouvrage.

04/11/2010 (modifier)