Kookaburra Universe

La jeunesse du Space-Sniper Dragan Preko personnage central de la serie Kookaburra, suivie de celle de Taman-Kha et de Skullface.
Institut Saint-Luc, Liège Kookaburra La BD au féminin Lanfeust Mag Prequel
Space-Sniper n'est pas un metier de heros. Meme dans le futur, meme dans l'espace! Une cible, une balle! Et pas toujours pour des missions defendables. Les Space-Sniper n'ont pas d'existence officielle mais font partie integrante des plans de guerre des armees de l'Alliance. Bien sur ils peuvent refuser des missions mais ont ils le choix? Des enfants echoues sur une planete à l'hiver eternel et le jeune Dragan Preko à leur tete. Dragan le grand frere le protecteur. Mais pour la premiere fois de sa jeune vie, Dragan est inquiet. Au fond de lui il sent un danger. Un grand danger! Les enfants sont ils vraiment sur Zimus la planete à l'hiver eternel
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Date de parution | Septembre 2002 |
Statut histoire | Une histoire par tome 16 tomes parus |
Les avis

Bon, je dois avouer que j'ai abordé cette série à reculons. L'impression trop nette que Crisse cherchait à profiter pécuniairement de sa série phare... Alors même que cette série Kookaburra a été délaissée trop longtemps et ne progresse qu'à pas de gnome. Mais bon, voilà on ne se refait pas et mon attrait pour l'univers de Crisse a fini par me pousser à ouvrir le premier tome. Pour les pressés, il est difficile de se faire une idée avec une courte explication de texte. Chaque album est le fruit d'un scénariste et d'un dessinateur et d'un coloriste différent. Alors forcément, la qualité recherchée varie d'un album à l'autre. La créativité aussi. L'intérêt en fonction de notre attrait et de nos centres d'intérêts à la série mère varie aussi. Globalement, je pense que les fans de Kookaburra devraient lire ces albums qui apportent des éclairages nouveaux sur certains faits amenés parfois comme un cheveux sur la soupe dans la série mère, ou alors pas assez développés. Kookaburra universe apporte les réponses à nombre de nos questions. Ne pas faire d'avis par album me semble proche de l'aberration pour cette ''série''. Tome1 3/5 Et je me suis fait avoir...Plonger dans l'enfance des héros de la série mère m'a conquis. Le scénario est bien mené, bien ficelé, alternant séquence action et émotion, amenant des éléments nouveaux et permettant de comprendre certains éléments de la série mère. Pas de redite cependant, mais une bonne dose d'imagination, même si cet album n'est pas le plus original : normal, Drago est le héro central de l'histoire et nous sommes habitués à sa compagnie. Alors, le scénario est sympa, se laisse lire sans problème, m'a plu, même si au fond de moi je continuais à douter de la l'intérêt réel de la série. Alors, je le dis tout de suite, j'ai déjà lu le tome 2 et là j'y ai trouvé un vrai intérêt. Coté dessin, Mitric poursuit son oeuvre. Son trait est précis, racé, dynamique. Quel que soit l'environnement (les étoiles, l'intérieur d'un vaisseau spacial, les plaines enneigées, il s'en sort à merveille. Je reste malgré tout toujours légèrement sceptique sur ses visages où je trouve que tout les mâles tendent à avoir un gros nez :o . Et cette très bonne impression est surement aidée par la très bonne mise en couleur de Patrick Noël. Les couleurs sont variées, lumineuses, constratées et ne recherchant pas la réalité, l'utilisation de l'informatique m'a laissé ici complètement indifférent. Tome 2 4/5 La série "Kookaburra Universe" dérivée de Kookaburra a su m'interpeler et même plus, me séduire avec ce deuxième tome. Découvrir un personnage secondaire aussi important que Taman Kha fut un vrai bonheur. Découvrir l'origine des filles de Lilith, leur monde, leurs coutumes, leurs pensées (c'est un comble non ?!) fut un régal. La dualité de Taman avec son frère est le petit plus qui apporte beaucoup à cet album. La fin, qui rappelle finalement le serpent qui se mort la queue est parfaitement venue et ne fait que conforter tout ce qui a été dit précédemment de manière fort intelligente. Le développement de l'enfance de Taman Kha est bien mené et se termine de belle manière. Un album si bien mené que j'ai regretté de ne pas pouvoir accompagner plus Taman dans son histoire. Et puis, je pourrai rajouter que les personnages ont de vrais caractères qui rajoutent à la crédibilité, à l'intensité et à l'intérêt de ce tome. Ben quoi, j'ai pris du plaisir à la lecture de cet album j'ai le droit de le dire non ? Et puis le dessin m'a aussi énormément plu. Encore plus précis, mais plus aérien, plus fin, et aussi dynamique que celui de Mitric, Christian Paty a su adopter et adapter le style original en l'améliorant. Les hommes sont moins gros nez entre autre chose que je n'aime habituellement pas chez Mitric ! Un deuxième tome en parfaite harmonie graphique donc avec la série. Cette harmonie est surement confortée par le fait que le même coloriste est à la manœuvre. Patrick Noël assure là encore la mise en couleur et c'est toujours aussi réussi. Coloré, lumineux, contrasté, varié... sans que l'usage de l'informatique ne donne des couleurs trop mortes et plates et sans que cela ne tombe dans un excès de couleurs saturées comme la maison Soleil nous y a trop souvent habitué. Des couleurs maîtrisées en somme ! Tome 3 4/5 Moi qui disais justement vouloir accompagner encore plus Taman Kha, me voici servi avec ce troisième tome de la série qui clôt selon toute vraisemblance un diptyque détonant ! Les jumeaux sont une source incroyable d'imagination pour nos auteurs. L'histoire ici comptée est forte, très forte en émotion. Les enjeux sont énormes et l'histoire est traitée de manière superbe. Quand ce n'est pas traité de manière naïve et fleurs roses, quand de vrais drames envahissent chaque page, quand les personnages ont une force de caractère sincère, l'album prend une très très belle tournure. Ben oui, quoi, une fois encore je me suis laissé happer par l'univers de Crisse et par le scénario d'Ange. Une magnifique histoire, pleine d'originalité, de force, d'émotion et de fureur. Les alliances, les trahisons s'emmêlent à foison. L'histoire est plus sombre, plus triste, plus dure. Ce n'en est que meilleur ! Et le dessin est toujours aussi magnifique. Personnellement j'adore le travail de Christian Paty associé aux couleurs de Patrick Noël. Toujours aussi dynamique, toujours aussi vivant, toujours aussi fin, bref toujours aussi maîtrisé. Un ravissement et un excellent moment de lecture qui pour sûr m'a emmené loin de mon univers habituel ! Tout ce que je demande à une bonne BD, un bon scénario et du dépaysement ! Tome 4 3/5 Assurément, cet album est en demi teinte. Premièrement, j'ai trouvé le scénario souvent poussif et je me suis surpris à quelques reprises à trouver que cela trainait en longueur. L'album et le scénario ne parviennent pas à rendre autant d'émotions que les tomes précédents. Je ne suis pas parvenu à rentrer dans cet album. Malgré la perte successive des camarades, on a l'impression d'un certain déjà vu, Entre "predator" et "Rambo"... Après des premières pages poussives et une dégradation de mon intérêt de pages en pages, enfin, on en prend pour notre grade pour le final. Quel retournement ! Cela nous donne une vision vraiment nouvelle de Skullface. Là, bravo pour l'imagination. Mais pas bravo pour le scénario qui une fois encore traine en longueur et se noie dans de longs monologues...Trop de cases pour trop de texte... J'ai l'impression que le mixe de l'action et des sentiments est mal réparti dans cet album. Chaque chose étant trop condensée dans certaines pages et pas assez emmélée. De plus, je n'ai pas apprécié particulièrement les dessins au style beaucoup plus classique que précédemment et beaucoup moins fin. Le trait est plus grossier, les visages apparaissent plus déformés (mais c'est son style et il a le droit ; moi je n'aime pas !), même si la mise en page et les angles de vues sont bien maîtrisés et plutôt sympathiques et agréables. Suffisamment en tout cas pour relever le niveau général du dessin. Et puis les couleurs cette fois ci ne passent plus inaperçues. Trop informatisées, j'ai eu du mal avec elles. Si la Jungle Dakoïd est bien dessinée, si les nuances et les tons sont bons, en revanche, le grain de l'écorce des arbres par exemple manque de vie, de naturel, les éclaboussures d'eau semblent irréelles... Je suis surement un peu dur. D'autres apprécieront surement, mais moi ce n'est pas ma tasse de thé... Tome 5 2,5/5 Je cherche. Je cherche encore un intérêt à cet album là, dans le contexte de cette série là... Cette histoire n'a aucun intérêt autre que d'être une histoire supplémentaire dans l'univers de Kookaburra. On apprend que les méchants sont méchants, que les gentils sont gentils. Aucune surprise de ce coté là. Non, il faut aller chercher plus loin dans la trame de fond du scénario afin d'attraper quelque chose pour alimenter le moteur. Psychologie mauvaise et sans saveur, histoire d'action un peu trop brouillonne. Et cela vient aussi surement du dessin de Ludolullabi. Que je n'appréciais déjà pas à la base en l'ayant découvert par la série World of Warcraft. Dessin souvent extrêmement dynamique, mais oubliant parfois la lisibilité. Son trait est souvent épais, jouant énormément avec les ombres et les grandes zones noires. Il use et abuse de plan serré afin de garder le mystère et finalement on ne voit rien, ne comprend rien et moi ça me gâche mon plaisir. Pourtant, allez, je l'avoue, dans cet album, Ludolullabi a réfréné ses ardeurs. Son dessin m'a surpris en étant plus clair, plus lisible que ce que je connaissais de lui. Certes ses personnages sont toujours anguleux, avec une grosse influence manga, mais ça passe plutôt bien. Ca passe plutôt bien, surement grâce à la très bonne mise en couleur. Bon OK, je n'aime pas habituellement ce genre de mise en couleur, mais avec le dessin de Ludolullabi, ça arrive tout de même à relever le niveau... Je suis méchant. Oui, je n'aime pas ce dessinateur décidément, et je m'en excuse auprès de lui d'être aussi négatif. Mais je sais aussi que d'autres que moi l'apprécient énormément. Il faut de tout pour faire un monde... Tome 6 3,5/5 Nettement mieux. Si nous n'apprenons rien sur un personnage central de la série mère Kookaburra, en revanche, nous plongeons dans la culture Dakoïd. Et nous nous régalons. Le scénario et ces conséquences sont très bien mené et franchement intéressant. Le serment Dakoïd est un bon tome de la série dérivée. Seuls reproches, peut-être ai-je eu du mal à m'attacher réellement aux personnages. Un manque d'affectif qui malgré tout nous fait lire tout cela avec un certain détachement. La fin, comme bien souvent mélange plus habilement émotion et action. D'ailleurs il y même quelques scènes émotionnelles très riche. Mais cela ne suffit pas mener cet album au summum. Il restera un bon tome, sans plus. La découverte du secret Dakoïd, me fera relire surement Kookaburra avec un œil nouveau. Le dessin est fort bien réalisé. Fin et nerveux. Imaginatif. Les décors sont superbes et nous emportent dans ce monde nouveau avec classe. De plus, dessiner des Dakoïd n'est pas donné à tout le monde. Réussir à apporter du caractère à ces personnages n'est pas chose donnée. Réussir à différencier chacun de ces êtres n'est pas chose donnée. C'est un peu comme réussir à différencier deux chimpanzés (sans dénigrer aucunement les Dakoïd !!!). Et puis, les couleurs sont superbes et contribuent largement à la qualité graphique. Les ambiances sont bien distinctes, il est facile de comprendre en un coup d'œil quand l'on change de zone, de repérer en fonction des tons et des teintes si l'on parle de 'méchants' ou de 'gentils' (tout dépend d'où on regarde !) et la mise en couleur est variée. Jamais d'aplat, mais toutes les zones sont travaillées, les armures Dakoïds présentes maintes nuances et décorations. Bref, vraiment joli. Tome 7 4/5 Après le diptyque sur les filles de Lilith, cet album est sans aucun doute le meilleur ! Nous replongeons dans le cœur de ce qui a fait la série mère Kookaburra, l'origine des enfants de la prophétie. Le scénario est relativement simple, mais le fond est tout de suite prenant avec une entrée en matière et une première page avec une mise en page et des couleurs alléchantes. La suite est parfaitement menée, oscillant entre amour, chasse, mystère, homme noir, seigneur sorcier et drame. Un mélange parfaitement orchestré et réalisé qui m'a fait traverser les pages avec une vitesse impressionnante. Je ne me suis pas vu arriver à la fin ! Suivre l'arrivée et l'origine de Myra est un régal, et là encore, je me dis qu'il va me falloir rapidement relire les premiers tomes de Kookaburra afin de remettre tout cela et découvrir la série avec un œil nouveau. Le trait est fin, dynamique, les cadrages et la mise en scène est parfaite, mais je n'aime pas trop le manque de précision dans les corps et les visages, un peu trop de déformation me donne l'impression d'être à la fête foraine et de me promener dans le labyrinthe aux miroirs déformants… J'ai pourtant apprécié les monstres, vraiment affreux. Les couleurs informatiques sont aussi mitigées, mitigées parce que je les ai remarquées. Mais cependant, elles jouent à plein leur rôle et permettent de vraiment donner de la vie aux décors enneigés de la planète, parce que l'utilisation de la palette entière permet de jolis contrastes et que finalement je les ai vite oubliées. Preuves qu'elles s'intègrent parfaitement à l'histoire et au scénario. Tome 8 2,5/5 Après un album extrêmement intéressant qui nous plongeait de belle manière dans l'origine de l'un des enfants de la prophétie, ici nous avons la même idée de base, découvrir les parents d'un autre enfant. Pourtant le résultat est complètement différent. La manière de raconter est différente, le lieu est différent (une planète enneigée et intimiste, contre une bataille spatiale entre maintes unités) les caractères sont différents, les émotions sont différentes. Et ici, clairement j'ai moins apprécié. Avec un personnage centrale bravache et fièrement militaire, courageux mais avec toute l'arrogance d'une personne hautement intelligente, légèrement prétentieuse mais hyper douée, il est difficile de s'attacher à un tel personnage qui lui-même mais une réelle distance dans ses sentiments. Pourtant, on le vante comme sachant faire régner une ambiance de confiance mutuelle avec son équipage. Mais il sait marquer son rang et tenir ses distances… Il manque une pointe de sentiment dans tout cela. Et puis le dessin correct ne m'a pas passionné. Trop d'imprécisions dans les visages et dans les corps. Pourtant, je ne peux qu'encourager le dessinateur et le coloriste qui montrent malgré tout de belles choses et qui rendent la lecture de cet album plutôt agréable. Sympa uniquement pour le fond de l'histoire qui pourrait se résumer en deux phrases. Pour le reste un manque d'originalité certains. Tome 9 3,5/5 Un album plutôt bon dans la série même si je trouve son intérêt limité. Pourtant je l'ai plus apprécié que le précédent surement parce que le mélange des émotions et sentiments est mieux géré et mieux orchestré. IL y a une plus grande pointe de drame qui donne plus d'humanité de de vie à cet album. Les trois clans engagés dans cet album apportent chacun des éléments bien distincts et ont chacun un intérêt certain. La fin de l'album est surprenante et clos l'album de belle manière. Un scénario bien construit, suffisamment original et des personnages aux caractères intéressants, variés et bien utilisés on provoqués mon intérêt. Peut-être aussi les multiples références ont-elles joué avec mes souvenirs et fait pencher la balance du bon coté ! Le dessin malgré quelques légères imprécisions et des couleurs informatiques trop voyantes sont malgré tout de très bonnes factures et nous plonge avec facilité dans cet univers.

« Universe » permet à différents auteurs d’apporter leur touche pour développer l’univers « Kookaburra », tout en conservant l’esprit de la série d’origine. Le résultat est d’un niveau variable selon les albums, mais l’ensemble est plutôt réussi. Ainsi, on va pouvoir en apprendre davantage sur le secret du Sniper, sur le passé de Taman Kha, de Skullface ou encore de l’Enclume, sur la race des Dakoïds … Dans l’ensemble, l’esprit est là et chaque tome apporte un petit quelque chose. Plus particulièrement, j’ai beaucoup apprécié le 6ème tome sur les Dakoïds et j’ai moins aimé le 7ème tome qui porte sur Myra. Au niveau des dessins, on reconnaît, dans la plupart des albums, les graphismes chers aux éditions Soleil. Dans l’ensemble, le résultat, sans être exceptionnel, est bon et on parvient à reconnaître sans problème les différents protagonistes imaginés par Crisse. Encore une fois, la palme revient au 6ème tome dessiné par les frères Péru qui parviennent à un superbe résultat et qui confirment tout leur talent. Cette série est donc à posséder pour ceux qui ont apprécié la série mère. Pour les autres, ils peuvent passer leur chemin.


En général, je ne suis pas grand amateur des séries dérivées ou des reprises qui atteignent rarement le niveau de la série mère. Le premier opus tend a confirmer mes préjugés avec un scénario de Crisse simplet dévoilant un peu du passé du sniper et un dessin de Mitric peu convaincant, trop proche de celui de Crisse (sans parler des couleurs fades). Heureusement, les deux albums suivants (formant une histoire complète) ont étés confiés à Ange et Paty pour imaginer le passé de l’Amazone. Le résultat dépasse ce qu’on pouvait espérer. Le récit est riche et la narration bien rythmée, rendant la lecture très prenante. Le trait de Paty est quant à lui précis et détaillé. On peut toutefois regretter le manque de variation des cadrages. Bref, série dérivée de qualité inégale mais à ne pas bouder!
Tome 1 :
Tomes 2 et 3 :

J’avais pas mal d’a priori avant de commencer cette BD. Moi, les histoires parallèles pour faire du volume ne m’enchantent pas trop. Mais là je dois me raviser ! Le premier tome est, certes, fort bien dessiné, bien que différent du dessin de Crisse, il n’était donc pas évident de reprendre le flambeau. Cependant, le scénario ne pouvait pas être à la hauteur de la série principale, comment ne pas être un peu déçu, surtout étant donné la date de parution du dernier "Kookaburra" (oui, j’ai découvert cette BD en 2001, donc la série principale était en stand-by). De plus, on ne reconnaît pas vraiment notre cher sniper plein d’humour et tellement indépendant. Mais là, je dois avouer que les tomes 2 et 3 sont excellents. Un dessin très propre et vraiment soigné et surtout un scénario génial. On est scotché à sa BD, captivé par ce duel fraternel impitoyable. De plus, les deux tomes sont graphiquement très réussis et ne font qu’augmenter le plaisir de lire ces BD. Par contre, on devient impatient de lire la suite, donc messieurs les auteur, dessinateur et coloriste …… VITE !

L'origine des personnages qui peuplent le monde du Kookaburra, voilà qui est attrayant, et surtout réussi. Tome 1 : L’histoire d'un homme que l'on croyait presque sans passé, et dont on voit les facettes cachées telles que le sentimentalisme, l'amour envers ses frères et soeurs, et envers Raïsha. En plus on comprend mieux comment un as comme lui est devenu borgne. Le dessin est raffiné et joli. Tome 2 : Taman kha nous y est dévoilée dans toute sa relation fusionnelle avec son frère Mano, dans un monde où l'homme n'est pas le bienvenu. Le scénario est bien léché mais manque un peu d'action (peut-être avec le tome 3). Là aussi le dessin est bien.


Bof... J'ai lu hier soir le tome 1 et j'ai eu l'impression de lire là une sous-série. Le sentiment premier qui m'a frappé, c'est cette impression de lire une BD pour gamins. Le scénario est tout simpliste, bourré d'incohérences et de raccourcis scénaristiques. Tout est fait pour que l'histoire soit simple à raconter, même s'il y a des invraisemblances. On retrouve l'habituel groupe de gamins héros, avec la jolie fille, le beau brun aventureux et le "p'tit génie à lunettes". Et sans se poser de questions, ils parviennent à piloter un vaisseau de plusieurs milliers de tonnes et à le faire se poser en catastrophe sur une planète, ils parviennent ensuite à eux trois à survivre sur une planète de glace et en plus à éduquer plein de petits enfants qui viennent de naître. Puis vient le gentil soldat un peu méchant quand même qui prend le héros sous son aile après l'avoir traité en ennemi sans que le scénario puisse expliquer pourquoi, les affreux pirates avec bien sûr une fille canon à leur tête, un combat au sommet contre la méchante pirate où une unique blessure tombe pile au bon endroit pour dévoiler ce qu'il faut dévoiler, etc. Bref, un scénario qui ne se prend pas la tête et prend le lecteur un peu pour un idiot. De même, au niveau de la mise en page et de la narration, j'ai trouvé ça raté. Les scènes d'action sont dures à suivre, il faut parfois s'accrocher pour suivre certains dialogues ou bien pour trouver l'ordre des cases. Dans les scènes d'actions, on a l'impression qu'il manque des cases pour expliquer comment untel a pu dégainer l'arme qu'il a en main, qu'est-ce qu'il s'est passé pour qu'ils arrivent à cet endroit... Tout est fait pour condenser et ne montrer que le spectaculaire dès que l'action intervient, c'est vraiment trop téléphoné. Alors bon, la lecture n'était pas trop désagréable, mais beaucoup de détails m'ont gâché mon plaisir et en y repensant, j'ai vraiment l'impression que Kookabura, c'est pour adultes et adolescents, et Kookabura junior, c'est pour... les juniors. Le seul ennui, c'est que ça a le prix d'une BD adulte et que ça se classifie comme tel. Addendum : Après lecture du tome 2, finalement, la série remonte un peu dans mon estime. En effet, celui-ci est un peu plus adulte et surtout beaucoup moins manichéen que le premier. Le dessin y est agréable et l'histoire intéressante. Bref, un meilleur avis sur ce tome que sur le précédent, même si ça reste toujours un type de série "additif" par rapport à Kookaburra, et que ce n'est pas le genre de BD que personnellement j'achèterais. Le tome 3 se révèle dans la même lignée. Pas vraiment une histoire ni un dessin que j'adore, mais c'est pas trop mal globalement. Ca se lit. Idem, le tome 4 m'a bien plu sans pour autant marquer plus que cela ma mémoire.

Je n'ai jamais eu vraiment envie d'ouvrir un album de Kookabura, mais grâce à K. Universe, ya des chances que ça se fasse (les critiques étant meilleures que celles de K. universe...) On m'a offert cette BD et après lecture, bah, c'est pas mal quoi! C'est vraiment le mot. Je suis pas fan du dessin, ni des couleurs, qui me laissent de marbre, mais c'est pas vilain non plus, et le scénar ben... il vaut aussi son 3/5. Un moment agréable, mais pas de quoi fouetter un chat. A lire chez un pote ou à se faire prêter, mais pas à acheter.

Je n'ai lu pour l'instant que le tome 2, qui raconte le passé de TamnKha. Et je le trouve plutôt réussi. D'abord j'apprécie de découvrir cette héroïne qui n'est finalement que peu mise en avant dans la série principale (par rapport au sniper qui joue un rôle équivalent, on en devine beaucoup moins sur son caractère et ses motivations... probablement parcequ'on doit les découvrir plus tard et que ça ajoute un côté mystérieux.) Ensuite, même si l'histoire est un peu prévisible, elle est très agréable à lire : on découvre un nouveau monde, une nouvelle civilisation très différente dans sa forme de celles de l'empire (pouvoirs psychiques, hommes gardés dans des fermes, ...) même si finalement ce sont toujours les mêmes sentiments et motivations qui mènent la société. Et puis les dessins sont très réussis, plus agréables (à mon goût) que ceux de Crisse, mais pas trop différent quand même, ce qui permet de rester dans l'ambiance (les couleurs y sont aussi pour beaucoup je pense). Enfin, cette BD m'a donné envie de relire toute la série, et j'en arrive à la conclusion : même si c'est pour obtenir un résultat de bonne qualité, pourquoi écrire des trucs parallèles ? Vivement la suite de Kookaburra !


Je viens de lire le premier tome. Je dirais que c'est une lecture agréable mais qui ne tient pas du génie non plus. Je ne suis d'ailleurs pas de ceux qui considère la série mère comme un chef d'oeuvre de la bd de science fiction. Des dessins biens réalisés, l'intrigue est correcte pour un premier tome, même avec cette histoire d'oeil un peu tirée par les cheveux comme le souligne l'avis précédent. Dans la suite on aura sûrement le droit aux déboires de sniper du héros et de sa pauvre petite vie bien triste, snif.

Que penser de cet album... Tout d'abord ne vous attendez surtout pas à un Dragan comme dans la série mère, c'est assez déroutant de le voir si poli et gentil mais cela s'explique également par le fait qu'il ne connait que sa "famille", qu'il est sur un monde perdu... etc. La vie parmi les snipers a dû forger son caractère, il a dû en baver, et on obtient le Dragan de Kooka mère mais ça sera confirmé dans un autre tome j'espère. Le scénario est assez gentillet mais il m'a bien plu, ça se tient, même si le coup de l'oeil est un peu gros ; j'ai bien aimé ce petit tome. :D Au niveau du dessin je préfère le dessin de Mitric sur Kooka que celui de Crisse, il se rapproche du style de son parrain mais sans plagier, et avec sa personnalité propre. Seul bémol au niveau des dessin, une colorisation assez mal foutue avec des couleurs trop flashis qui dénaturent le dessin de Mitric, qui est par conséquent un peu moins beau, mais rien de catastrophique. Pour ma note, j'hésite beaucoup : autant j'ai bien aimé ce tome, autant c'est loin de la série mère et les couleurs sont bofs donc 3.5 (Pas mal à tendance Franchement bien) mais c'est tout de même à lire pour ceux qui aiment kookaburra. ;)
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