Lord of Burger

Note: 2.4/5
(2.4/5 pour 5 avis)

« Ici, on fait de la cuisine, Monsieur, pas du cirque ! »


Auteurs italiens Bouffe et boisson Christophe Arleston Gobelins, l'École de l'Image La BD au féminin

Quand on gère un restaurant 3 étoiles, on n'a pas le droit à l'erreur. Et le grand Alessandro Caprese n'est pas un chef facile... Ce n'est pas son assassin qui dira le contraire. Suite au meurtre de leur père, Ambre et Arthur héritent d'une dette de plusieurs millions d'euros. Dès lors, pas d'autre choix que de reprendre en main le restaurant familial. Mais le truc d'Ambre c'est la sculpture et celui d'Arthur, le fast-food. Tant pis, il faudra se retrousser les manches, car la fortune dépend du fameux guide rouge et de ses critiques. Et l'inspecteur doit justement arriver d'un moment à l'autre... (texte : Glénat)

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 24 Mars 2010
Statut histoire Série terminée 4 tomes parus

Couverture de la série Lord of Burger © Glénat 2010
Les notes
Note: 2.4/5
(2.4/5 pour 5 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

29/11/2010 | Spooky
Modifier


L'avatar du posteur bamiléké

Je ne suis vraiment pas un bon lecteur pour les scénarii d'Arleston. Une fois encore je suis complétement passé à côté de cette série que je trouve ennuyeuse et superficielle. Les auteurs surfent sur le succès des innombrables émissions TV consacrées à la cuisine en y introduisant le burger ultime pour plaire aux ados qui mangent dans les fast food. Je n'ai même pas cherché à comprendre l'intrigue tellement les personnages hyper glamour proposés ne m'intéressent pas. Pour être dans le sens du vent, le graphisme est du manga ce qui n'est vraiment pas à mon goût. J'ai vite décroché vraiment pas mon truc, désolé.

04/12/2022 (modifier)
Par Gaston
Note: 3/5
L'avatar du posteur Gaston

Je commence mon avis en parlant de l'édition de cette série. La première édition du premier tome était en petit format avec 96 pages. Ensuite, le format est passé au format normal de 48 pages et en fait les deux premiers tomes de la nouvelle édition forment le tome 1 original. Donc il se pourrait que des gens (par exemple, le type qui s'occupe des achats à ma bibliothèque) se trompent et achètent le premier tome de la première édition ET le second tome sans se douter qu'ils achètent en fait la seconde partie d'une histoire deux fois. Ce genre de truc me met en colère ! Maintenant, l'histoire. Elle n'est pas très originale et copie plein de trucs des mangas. J'ai déjà vu pire dans le genre, mais le dessin est de style sous-manga que je n'aime pas du tout. Le scénario contient du bon et du moins bon. Il y a des idées assez originales comme l'émission de cuisine et le mystérieux cousin, mais je n'aime pas trop l'exagération des personnages. Surtout la fille qui est pratiquement une déesse avec ses couteaux, mais dans ce domaine, là encore, j'ai vu pire. Encore une fois avec Arleston, j'ai envie de savoir la suite sans pour autant trouver la lecture de la série indispensable. Il manque quelque chose pour en faire une œuvre passionnante. Peut-être un peu plus d'originalité ?

20/12/2011 (modifier)
Par Tetsuo
Note: 2/5

C’est pas mauvais loin de là, mais je n’ai pas du tout accroché. L’histoire se lit bien, on suit les tribulations d’une famille de cuistots dont le père, le grand Alessandro Caprese, est un chef 4 étoiles. Ce dernier est assassiné, et ses enfants, Ambre et Arthur, prennent les rênes du restaurant… plus facile à dire qu’à faire ! Bon c’est un peu trop too much pour moi, dans les blagues, les cadrages, le fil conducteur de l’histoire, les mimiques des personnages… ça va à 3000 à l’heure, même pas le temps de se faire chauffer des pâtes entre deux pages. Les rebondissements s’enchainent avec à chaque fois un épisode encore plus rebondissant, bref nos héros mettent la main à la pate ! Côté dessin, Barbucci reprend la série à partir du 3e tome et même si l’illustration n’est pas mauvaise dans les 2 premiers, on sent la patte de Barbucci, un dessin plus chaud, des couleurs moins fades, personnellement je préfère, mais c’est juste une affaire de goût. Je pense sans trop m’avancer que dans la suite de l’histoire, les héros vont nous faire des burgers (ah oui parce que le restaurant se met à faire des burgers à la suite d’un concours de cuisine à la télé) de fous et ça va sauver le restaurant. Je le répète c’est pas mauvais, c’est juste pas pour moi.

24/11/2011 (modifier)
Par Erik
Note: 3/5
L'avatar du posteur Erik

J'ai dévoré les 3 tomes d'un coup. Mon verdict : 3 étoiles au guide Michelin (euh pardon... de bdthèque) ! Il y a tout ce qu'il faut dans ce thriller culinaire d'un genre nouveau : de l'action, de l'humour, du suspense et même des recettes de cuisine ! Tout se met en place dès le premier tome par la disparition d'un grand chef de restaurant. Ses deux enfants qui ont suivi des voies différentes vont devoir s'unir pour continuer l'oeuvre. Cela ne sera pas facile aux milieux de diverses trahisons. Ils ne pourront pas compter non plus sur une mère placée en maison de repos. L'humour est présent pour gommer les côtés dramatiques de l'histoire. On entre réellement dans le milieu de la haute gastronomie. Cela se présente un peu comme un manga français avec des personnages très expressifs qui râviront tous les publics. J'ai franchement passé un excellent moment de détente avec des répliques marrantes. Les rebondissements et les coups de théâtres dans ce restaurant de renommé font qu'on a envuie de découvrir la suite. Il y a encore bien des mystères qui restent à éclaircir. Lord of Burger mérite une lecture qui va jusqu'au bout. On sera vite pris dans l'engrenage... euh, je veux dire... dans l'ambiance des cuisines.

28/07/2011 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
L'avatar du posteur Spooky

Je me demande dans quelle mesure cette BD a été influencée par le film d'animation de Pixar Ratatouille. Oh, je ne parle pas du tout de copie, mais plutôt d'influence. On est dans le milieu de la grande restauration, on a une histoire d'héritage filial, des personnages archi-nuls en cuisine qui doivent reprendre au pied levé une enseigne prestigieuse... Il y a donc un goût (ahah) de déjà-vu dans cette nouveauté, qui est clairement très influencée par le manga. Sans doute les co-scénaristes ont-ils intégré ceci dans leur intrigue, car beaucoup d'éléments me semblent typiques. Pas seulement les personnages qui déconnent d'un coup au milieu d'une situation sérieuse, mais aussi le style de l'histoire, le découpage... Le mélange, à mon avis, va dérouter de nombreux lecteurs, qu'ils soient amateurs de mangas ou de BD franco-belge... Parce que c'est extrêmement mièvre. je ne suis même pas sûr qu'un adolescent apprécierait. Il y a cependant une vanne qui m'a fait hurler de rire, sans doute pour des raisons personnelles, le portable de la fille qui se met à sonner -la chanson Womanizer de Britney Spears - au moment où elle discute avec une sorte de Yoda au féminin. Le dessin, je l'ai dit, est très orienté manga. Malheureusement il ne sort pas du tout du lot.

29/11/2010 (modifier)