Grotesque

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Trois hommes. Trois îles. Trois destins surréels qui s'accomplissent pendant la dernière nuit de l'année. Désirs et visions qui se tressent aux frontières de la réalité. Sous le signe de l'Homoblicus.


Auteurs italiens Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis

"En somme, existons-nous vraiment ?" demanda l'homme à la tête de téléphone. "Je n'en sais rien. Peu importe. L'important, c'est que quelqu'un puisse nous imaginer." répondit Lundi. Trois hommes. Trois îles. Trois destins surréels qui s'accomplissent pendant la dernière nuit de l'année. Désirs et visions qui se tressent aux frontières de la réalité. Sous le signe de l'Homoblicus.

Scénario
Dessin
Traduction
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 21 Janvier 2008
Statut histoire Série terminée 4 tomes parus

Couverture de la série Grotesque © Vertige Graphic/Coconino Press 2008
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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04/02/2011 | PAco
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Par PAco
Note: 2/5
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C'est le graphisme de Sergio Ponchione qui m'a attiré vers cette BD plus étrange que grotesque. Tout d'abord la couverture du premier tome m'a complètement accroché. Que se cachait-il donc à l'intérieur de cet album ? Plonger dans cette couverture, c'était déjà ouvrir pas mal de portes et mettre un pied dans un univers étrange et mystérieux. Allez, je me lance. Et c'est là qu'on commence à perdre pied... Bienvenue dans l'univers BD le plus surréaliste et mystérieux qu'il m'ait été donné de lire... Derrière un graphisme noir & blanc qui oscille entre le Comics américain, du Charles Burns et une touche toute personnelle, Sergio Ponchione compose un album ou 3 histoires s'entremêlent. Trois personnages, trois îles, trois univers, qui semblent pourtant liés, reste à savoir comment. Car le problème c'est que tout cela reste tellement abscons, que malgré la qualité graphique de son travail, Ponchione tue la narration de son histoire, et tout s'enchaîne sans qu'on y comprenne quoi que ce soit. Alors oui, le surréalisme n'est pas vraiment conçu pour des cartésiens, reste qu'un fil conducteur minimum aurait à mon avis poussé le lecteur que je suis à lire la suite de cette série... Là, ça sera sans moi

04/02/2011 (modifier)