Axelle Parker

Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)

Axelle Parker, star du X reconnue est ici dévoilée sous un tout autre angle, celui du rire. Les situations cocasses ne manquent pas dans son métier, mais Axelle s'en tire toujours grâce à son ou ses charmes.


Auteurs italiens L'industrie pornographique Le sexe (pour de rire) Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis

Cet album, premier opus des aventures de la jeune-femme bien qu'adapté à un public averti reste dans la suggestion et sous le signe de l'humour.

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 09 Février 2011
Statut histoire Strips - gags 1 tome paru

Couverture de la série Axelle Parker © Joker 2011
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 1 avis)
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09/02/2011 | Ro
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Par Ro
Note: 2/5
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Voilà une BD racoleuse par nature. Le sujet, des gags mettant en scène une actrice porno, le tout sponsorisé par cette même actrice visiblement désireuse de se faire un peu de pub supplémentaire. D'une certaine manière, cela fonctionne car avant de découvrir cette BD, je n'avais même jamais entendu parler du simple nom de cette dernière. D'un autre côté, maintenant que je le sais, je pense que je vais vite l'oublier. Le sujet des gags est cru tout en restant relativement soft. L'actrice joue de son rôle de star du sexe. Elle est présentée en super femme fatale, professionnelle de la baise et qui aime ça, qui fait tomber tous les hommes, qui assure aussi bien lors de ses tournages et ses exhibitions que dans le vie, et qui n'oublie surtout pas de rappeler dès qu'elle le peut qu'elle est actrice, modèle et Disc-Jockey ("achetez mes films, achetez mes disques, achetez-moi !"). Sans être foncièrement mauvais, les gags tombent à plat car ils sont tous prévisibles ou simplement médiocres. L'ennui vient vite à la lecture. De même, le dessin n'est pas si mal. Certes les décors sont sans intérêt, mais la fille est sexy et les autres personnages plutôt maîtrisés. Mais au-delà de quelques pages, on se lasse rapidement de voir les mêmes courbes rebondies et énormes lèvres pulpeuses répétées planche après planche. D'autant que les cadrages trop rapprochés pour éviter d'avoir à dessiner trop de décor donnent vite un sentiment de claustrophobie. Et tout cela sans parler des très laides couleurs informatiques. Bref, quelque soit le niveau d'implication de l'actrice dans cet ouvrage, et aussi faussement sulfureux que soit son contenu, il n'en ressort pour moi qu'un ouvrage commercial, si ce n'est publicitaire pour l’actrice, à classer au même rang que les trop nombreuses et dispensables BD de supermarché.

09/02/2011 (modifier)