American Vampire
Will Eisner Awards 2011 : Best New Series Les créatures de Stephen King (oui, oui vous avez bien lu !) et de Scott Snyder sont de vrais méchants. Dangereux, puissants, cruels... le maître du fantastique a créé une nouvelle race de prédateurs auxquels vous ne saurez résister.
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Les vampires de Twilight ou de True Blood sont des enfants de cœur par rapport à ceux de cette nouvelle série Vertigo. Les créatures de Stephen King (oui, oui vous avez bien lu !) et de Scott Snyder sont de vrais méchants. Dangereux, puissants, cruels... le maître du fantastique a créé une nouvelle race de prédateurs auxquels vous ne saurez résister.
Scénario |
Aaron (Jason)
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Albuquerque (Rafael)
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Alridge (Shawn)
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Bá (Gabriel)
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Bennett (Marguerite)
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Cloonan (Becky)
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Francavilla (Francesco)
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Gillen (Kieron)
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Jones (Joëlle)
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Kalan (Elliott)
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King (Stephen)
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Lemire (Jeff)
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McLeod Chapman (Clay)
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Moon (Fábio)
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Orlando (Steve)
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Rucka (Greg)
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Simone (Gail)
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Snyder (Scott)
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Dessin |
Albuquerque (Rafael)
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Andolfo (Mirka)
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Bergara (Matías)
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Bernet (Jordi)
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Cloonan (Becky)
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Del Duca (Leila)
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Fawkes (Ray)
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Francavilla (Francesco)
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Guedes (Renato)
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Isanove (Richard)
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Kudranski (Szymon)
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Lotay (Tula)
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Milazzo (Ivo)
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Mitten (Christopher)
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Richardson (Afua)
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Shalvey (Declan)
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Trakhanov (Artyom)
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Zezelj (Danijel)
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Couleurs | |
Traduction | |
Editeur
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Collection
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Genre
/
Public
/
Type
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Date de parution | 16 Février 2011 |
Statut histoire |
Série en cours
10 tomes parus
Dernière parution :
Plus de 3 ans
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Les avis
Sur le conseil d'une connaissance et avec la réédition en intégrale (5 tomes) je me suis plongé, il y a quelques temps dans la série Américan Vampire d'autant plus que les nom au scénario m'intriguaient : Snyder (que je connaissais déjà pour son run sur Batman) et Stephen king lui même . En réalité seul la première histoire a été co écrite par King... Et j'avoue avoir été plutôt déçu par celle ci...elle est extrêmement classique et finalement sans intérêt. N'importe qui aurait pu l’écrire. Sauf que... Snyder a continué la série et qu'il n'a pas fait de l'antagoniste (présenté dans l'histoire de King ) le personnage central (certes une grande partie de l'histoire tournera autour de lui) mais on intéressera à une autre galerie de personnages notamment Pearl... qui est nettement meilleur. J'ai adoré le premier cycle, vraiment j'ai suivi avec beaucoup d’intérêt l’évolution de ses personnages, leur lien ambiguës , et ils se revèle finalement plus humain et plus complexe que ce à quoi je pouvais m'attendre. Toutefois le cycle n'est pas sans défaut et de nombreuses petites histoires viennent parasiter la lecture (notamment le tome 1 de l'intégrale). Et puis il y a le second cycle qui non seulement n'a pas su se renouveler, mais nous donne une fin vraiment très décevante. (Je n'en dirais pas plus). J'ai eu beaucoup de mal à le suivre, le scénario est brouillon, les ficelles trop grosses, les rebondissements sans réelle surprise...bref une vraie déception. Le dessin quant à lui est plutôt bon, simple mais pas simpliste, efficace et R. Albuquerque y insère sa propre patte qui le rend reconnaissable et agréable, mais je trouve que les personnages féminins se ressemblent beaucoup (trop). Il y a toutefois une évolution graphique entre les deux cycles , même si je préfère la simplicité du premier, le dessin du second cycle est plus doux, moins brut probablement dû à l'utilisation d'un lavis directement sur les planches mais il a son charme. Pour conclure American Vampire est une série inégale, mais pour laquelle j'ai (étonnamment) une affection particulière et surtout pour son personnage principal que je trouve particulièrement soigné. Ce n'est pas l'aventure du siècle mais.... je m'y replongerai avec grand plaisir, d’ailleurs c'est ce que je vais probablement faire dès la fin de cette critique...
American Vampire est un autre moyen de nous montrer le rêve américain et surtout sa puissance. C'est comme la comédie musicale American Graffiti. Il s'agit en effet d'explorer le mythe des vampires dans l'Ouest américain depuis la conquête jusque dans les années 60. L'un des scénaristes n'est autre que Stephen King lui-même. C'est déjà un gage de qualité quant à l'écriture. On est à mille lieux d'un Twilight par exemple car les vampires sont terrifiants. On ne fera pas dans le romantisme. le dessin est assez dynamique. Les dialogues sont parfois pompeux mais on fait avec. De nombreux flash-back viennent parfois polluer le récit. Là encore, il faudra s'accrocher. Ma réelle note est 2.5 étoiles sans conseil d'achat car je m'attendais à mieux.
Je me suis arrêté au tome 5. En fait mon avis est un peu mitigé et à vrai dire je m'attendais à quelque chose d'un peu plus pêchu. Je ne dit pas que c'est une lecture pour bisounours mais arrivé ou j'en suis je trouve que ça ronronne gentiment. Je m'expliques: Si j'ai bien compris nous avons S. King à l'initiative du scénario et de quelques idées, puis S. Snyder prend le relais pour la suite. Et bien Messieurs, vous nous aviez habituer à plus fort. C'est confus parfois et la galerie de personnages est impressionnante mais les interactions entre les uns et les autres finit par se mordre un peu le queue. Le vilain Skinner s'allit avec les gentils, ceux ci tapent sur d'autres vampires et l'on s'y perd un peu entre toutes les races qui s'affrontent. Alors oui il y a deux ou trois bastons mais rien d'épique et finalement ces American Vampires ne sont que trois, un quatrième arrive péniblement sur la fin et se range du côté des gentils. J'ai connu S. King plus iconoclaste, voila une série qui pourrait sans problème être déclinée en série tv pour ados en mal de sensations mais sans poser de problème à la censure. Un mot du dessin, plutôt sympa, sans être grandiose mais parfaitement dans le style comics. Dans le genre fantastique et un peu gore on préfèrera le très beau Pretty Deadly
Grand amateur de King et lecteur occasionnel de littérature vampirique, j'attendais depuis un moment la sortie de cet American Vampire. Je n'ai pas été déçu par ma lecture, on est typiquement dans une production de King, sur beaucoup de points. Un récit passant sur deux époques, une logorrhée à la limite de la nausée, des personnages aussi nombreux qu'éphémères... Et puis un scénariste original qui est presque évincé des crédits, c'est typique, même si par la suite le nom de King disparaît et que Scott Snyder est désigné comme seul scénariste et auteur de l'univers créé. Effectivement il faut s'accrocher pour finir le premier tome, qui se perd un peu dans des ajours un peu inutiles, mais globalement j'ai apprécié ma lecture. Mais le second est nettement plus fluide, efficace et narrativement maîtrisé. Beaucoup de choses sont résolues, si j'ose dire, ce qui permet de bien boucler la boucle. Surtout grâce au trait de Rafael Albuquerque, à vrai dire. Celui-ci fait preuve d'une belle technique, efficace, et même si certains aspects semblent "surjoués" (encore du King), j'ai trouvé l'ensemble plutôt agréable à l'oeil. Je suis curieux de lire la suite.
J'avoue que je n'ai jamais lu Stephen King. J'avais essayé de lire un recueil de ses nouvelles, mais je me suis ennuyé durant la lecture de la première histoire et donc j'ai rapidement arrêté ma lecture. Je ne sais donc pas si cette série est représentative de son œuvre et j'espère pour King que ce n'est pas le cas. Il y a des idées intéressantes sur les vampires, mais il y a beaucoup trop de personnages. Souvent, je ne savais pas trop qui était quel personnage et pourquoi il faisait ça. Je n'aime pas du tout quand ça m'arrive et cela m'a rendu la lecture énervante. Je n'ai même pas envie de lire le deuxième tome tant la lecture du premier m'a saoulé. C'est dommage parce que le dessin est très beau et ce n'est pas souvent que je fais ce compliment à un comics moderne.
Après la lecture du premier tome. Il faut du temps pour rentrer dans cette histoire afin de cibler les personnages et laisser le temps au récit de se mettre en place. La suite s'apprécie simplement et purement, c'est rythmé, surprenant et plaisant. Pourtant la production ne manque pas de récits de vampires, ce titre a dans ce contexte le mérite de se démarquer par son background et la différenciation de ces créatures en deux souches adverses. Graphiquement c'est en phase avec le scénario, le style est original, le trait est assuré et mis en valeur par une palette de couleurs jamais vu auparavant. L'ensemble est vraiment de qualité. Ce premier tome peut presque être considérer comme une histoire complète mais la dernière page prépare la suite que j'attends de pied ferme.
J’ai plutôt apprécié cette histoire au début, mais au fil des pages mon intérêt a lentement mais sûrement diminué, jusqu’au dernier tiers où la lassitude s’est installée définitivement. Plusieurs défauts sont à l’origine de mon décrochage. Tout d’abord il y a trop de personnages et aucun n’est vraiment attachant, j’ai par moments avancé sans savoir de qui on parlait, un peu larguée par tant de noms et comme le récit est assez bavard et plutôt longuet, le plaisir de lecture s‘est vite fait la malle. Ensuite l’histoire n’est pas très originale, encore une vengeance entre vampires sans réelle originalité, d‘autant que le fait qu'ils aient d'aussi longues dents et griffes est trop exagéré et dégrade son réalisme, qui est un des points forts du récit. La façon de mener l’histoire qui alterne passé (à partir 1880) et présent (1923) est intéressante, ainsi que quelques bonnes répliques assez sarcastiques. Même si la fin reste un peu nébuleuse à mes yeux vu que j’ai décroché avant de l’atteindre et que je n'ai fait que la survoler, ce premier tome peut se lire comme un one shot. C’est un récit typique à réserver aux chevronnés de vampirisme et de Stephen King. Graphiquement c’est réussi, ainsi que la couverture qui attire l’œil. Les perspectives sont bonnes et les personnages se meuvent avec fluidité, les expressions aussi ont un bon rendu. Les couleurs ne sont ni flashies ni glacées, je regrette presque de ne pas avoir accroché au scénario tant visuellement j’ai apprécié.
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