Le Pygargue

Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)

Un mystérieux assassin s'en prend au femmes d'une petite ville.


Institut Saint-Luc, Liège Quadrants Serial killers [USA] - Nord Est

Au XIXe siècle, en Nouvelle Angleterre. Nathaniel Phips parcourt la campagne avec son chevalet. Il tient une sorte de petite galerie d'art, en ville, où il vend ses aquarelles et ses huiles. C'est un jeune homme d'une trentaine d'années d'allure sportive. Aimé de tous, c'est ce qu'on appelle un « gentil ». Il s'interpose un jour entre un voleur qui s'en prend à une femme en voyage avec sa fille. Le bandit n'a aucun scrupule à les abattre, sous les yeux de la fillette terrorisée... À la nuit tombée, un inconnu apparaît parfois à New Fordwich, afin de lutter contre le crime et l'injustice. Vêtu d'une cape, d'un grand chapeau et dissimulé sous un masque au nez aquilin, ce justicier ressemble, selon certains témoins, à l'aigle des mers qui niche dans la région : le pygargue...

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 23 Février 2011
Statut histoire Série abandonnée 1 tome paru

Couverture de la série Le Pygargue © Soleil 2011
Les notes
Note: 3/5
(3/5 pour 2 avis)
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24/02/2011 | Miranda
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Par Pierig
Note: 3/5
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Je rejoins entièrement l’analyse faite par Miranda. Cet album se laisse lire mais ne suscite que peu d’intérêt à son égard. La faute à un récit peu original où le lecteur lambda démasque bien (trop) vite l’identité du serial killer (type Jack l’éventreur). Reste un univers pas mal foutu et une personnification de la mort plutôt originale. Côté dessin, le trait de Michel Constant est plutôt plaisant et se marie bien avec les couleurs de tendance brun/ocre. A lire mais achat facultatif.

19/04/2011 (modifier)
Par Miranda
Note: 3/5
L'avatar du posteur Miranda

Le scénario est un poil léger, mais ce n’est qu’un premier tome, l’histoire s’enrichira certainement par la suite. Celle-ci commence de manière intéressante et drôle, mais elle tombe très vite dans une certaine répétition des évènements. De plus j’ai deviné assez vite qui pouvait être le présumé assassin, au final je n’ai pas eu de véritable de surprise. Par contre la façon dont est représentée la mort est assez originale et innovante, mais pour elle aussi les actions se ressemblent et se répètent. L’humour bien que présent, n’arrive pas à émerger totalement et manque d’impact la plupart du temps. J’en viens au graphisme qui s’accorde bien à ce type de récit, agréable et expressif. Il faudra attendre la suite en espérant que le récit s’étoffera un peu de faits imprévisibles.

24/02/2011 (modifier)