U-Boot
Quel lien entre un sous-marin allemand en mission secrète dans les années 1943, une expédition cartographique en Amazonie et un étudiant vénitien de 2059 ?
Les sous-marins
En mai 1951, une expédition de cartographes anglais partent reconnaître le tracé de l'Amazone, situé entre le comptoir d'Obidos et la ville de Manáos. Ils découvrent la carcasse rongée d'un sous-marin allemand de la Seconde Guerre mondiale, un U-Boot, échoué en pleine jungle et rongé par le temps et la corrosion. Ce sous-marin prit la mer en mars 1943 à destination du Brésil, avec son capitaine et ses 46 hommes d'équipage semble avoir fait l'objet d'une malédiction... En 2054, fasciné par l'histoire mystérieuse de ce submersible, Pietro Campinello, un jeune étudiant vénitien, va, à ce sujet, faire une découverte macabre et scandaleuse qui va lui coûter la vie.
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Date de parution | 28 Avril 2011 |
Statut histoire | Série terminée 4 tomes parus |
Les avis
J'avais repoussé la lecture de cette série car je m'étais fait avoir par les couvertures qui me laissaient penser à un récit historique de guerre et d'action dans un sous-marin de la seconde guerre mondiale, un sujet qui peut être intéressant comme il peut être ennuyeux et déjà vu. Mais c'est en feuilletant les albums que j'ai découvert qu'ils mélangeaient en fait des portions se déroulant durant la seconde guerre mondiale certes, mais aussi de la pure science-fiction voire du fantastique. C'est une histoire qui s'étale sur plus d'un siècle, avec une narration qui saute sans arrêt d’événements se déroulant au milieu du XXe siècle à d'autres se déroulant au milieu du XXIe sur une Terre d'anticipation où d'immenses corporation dominent le monde. Ces sauts chronologiques d'une époque à une autre sont déroutants en première lecture mais on finit par s'y faire, même s'ils me sont parus parfois un peu caricaturaux. En effet, on a l'impression parfois que la narration suit le processus intellectuel de l'auteur qui raconte quelque chose dans le futur et immédiatement après va nous montrer la chose dans le passé qui a eu pour conséquence cette chose, puis revenir à un autre futur, et sauter peu de temps après encore à une autre époque, comme pour bien insister et faire comprendre au lecteur que tout ça c'est un puzzle dont chaque pièce va finir par s'imbriquer. Du coup, ça devient parfois redondant, avec des flash-back inutiles comme ceux à Peenemünde ou encore beaucoup de redites, de personnages qui réexpliquent en détail des choses qu'on a déjà bien compris auparavant. Ce que je reproche à cette série, c'est son manque de subtilité. A la manière de cette narration anti-chronologique qui frise parfois le ridicule sans jamais l'atteindre, les dialogues sont très pesants, comme si les personnages mouraient d'envie d'en dire un maximum, de détailler les caractéristiques de leurs véhicules ou de leurs armes, ou de faire de longs discours avant de se prendre une balle dans la tête. J'ai eu aussi l'impression en cours de lecture de quelques facilités, de protagonistes qui réussissent un peu trop facilement à atteindre leurs objectifs ou de retournements de situation trop artificiels. Mais à chaque fois que j'ai eu ce sentiment pour un tome précis, il s'est avéré que dans le tome suivant l'auteur donnait l'explication de pourquoi ça s'était passé ainsi. Et finalement, ok, ça tient la route. Ce qui tient vraiment la route en tout cas, c'est le dessin. Il est un petit peu raide, mais alors quel soin du détail, de la précision et quel amour pour les navires, les avions et costumes et autres uniformes ! C'est vraiment du beau boulot. Je retiendrais plusieurs belles réussites dans cette série : le fameux u-boot et sa navigation dans des mers déchaînées, la Venise à moitié asséchée ou encore le vol du P38 Thunderbolt. Mais il y en a plein d'autres. J'avoue avoir notamment souri sur cette double planche dans le désert d'Arizona dans le tome 3 que j'ai vu comme un clin d'oeil manifeste et très joli à l'univers visuel de Moebius. Au niveau de l'histoire, les deux premiers tomes forment un cycle qui pourrait presque se suffire à lui-même, malgré ce sentiment de facilité sur sa conclusion dont je parle un peu plus haut. Il faut lire le troisième pour voir disparaître ce sentiment mais pour en voir apparaître un autre sur certains passages de ce nouvel album là, comme d'où sort ce fameux Oncle Harry et comment il réussit aussi facilement ce qu'il est venu faire dans les dernières pages. Et là encore, il faut lire le quatrième pour mieux comprendre. Mais je dois dire que je reste sur une frustration, une impression d'inachevé. Car c'est à priori à la fin du 3e tome que les antagonistes de la série ont été éliminés même si pour l'un d'entre eux, on n'en a pas la certitude. Du coup le 4e tome ne fait finalement qu'apporter quelques explications et développements supplémentaires, mais j'ai l'impression qu'il n'y a pas de véritable fin satisfaisante à cette série dans son ensemble. J'aurais facilement imaginé un 5e tome pour véritablement apporter un point final à cette histoire.
Avec un certain retard je découvre les quatre tomes de U-Boot et je dois avouer que c'est une réelle bonne surprise. En effet je m'attendais à un truc de sous-mariniers avec aventures au fond des mers, dépressurisation, nous reste-t-il assez d'air ? J'en passe et des trucs déjà vus ailleurs. Au final c'est une bonne surprise, nous sommes plongés dans une histoire se déroulant sur trois principales époques différentes et c'est bigrement bien ficelé. Un petit bémol tout de même, c'est vrai qu'il faut s'accrocher un minimum, voire, comme je l'ai fait, procéder à une deuxième lecture pour bien comprendre les tenants et aboutissants de l'ensemble. Alors oui c'est parfois un peu facile, du moins cela semble l'être, mais j'ai trouvé assez habile le procédé qui consiste à, non seulement mélanger les époques mais du coup le style, les ambiances selon le temps du récit. Le dessin de Mr Delitte est quoi ? Si nous faisons abstraction de l'histoire, disons superbe. Oui allez encore un bémol, les visages particulièrement de son héroïne Jude ne sont pas terribles, mais tout le reste est quand même assez chiadé. Et puis j'y reviens mais cette histoire qui mêle SF, histoire et manipulation génétique est franchement originale et m'a fait passer un très bon moment de lecture. Donc je me permets d'aller à l'encontre de la plupart des avis précédents en mettant un franchement bien et en conseillant l'achat.
Arrivé au terme de cette série, j’admets qu’elle n’est pas si mal, malgré un scénario mal goupillé. L’avantage avec Jean-Yves Delitte, c’est qu’il travaille à un rythme effréné et que le lecteur impatient n’a jamais à attendre très longtemps pour lire la suite de ses histoires et leur conclusion. Le récit débute par une planche qui se solde d’emblée par la mort d’un personnage dans l’explosion d’une tour à New York, puis cède la place à des flashbacks se déroulant à trois époques différentes. En mars 1945, un U-Boot allemand est chargé de transporter un nazi très antipathique accompagné d’une mystérieuse cargaison. En 1951, une expédition cartographique retrouve l’épave du sous-marin au cœur de l’Amazonie. En 2059, dans une Venise boueuse, une tueuse élimine tous ceux qui s’intéressent de près à une multinationale… • Dans le premier album, le passage d’une époque à l’autre entretient un suspense efficace même si l’on ne comprend pas encore comment l’auteur va nous ramener à la conclusion que nous connaissons. • Dans le second tome, la boucle semble bouclée et l’on se dit que tout cela est finalement trop simple, trop rapide, pas assez détaillé… • La troisième et dernière partie du récit fait assez habilement rebondir l’histoire en déplaçant le point de vue qui a été porté sur les événements antérieurs, en leur donnant un nouveau sens. C’est cette conclusion en forme de rebondissement qui sauve la série U-Boot de la mention passable. Car le scénario comporte des maladresses, des invraisemblances, des coïncidences incroyables, des ellipses inexpliquées (sans trop entamer le suspense du récit : comment un sous-marin non piloté fait-il pour remonter l’Amazone à contre-courant sur des centaines de kilomètres avant d’aller s’échouer au fin fond de la forêt équatoriale ?). Si on parvient à les admettre dans les scènes d’anticipation, elles passent moins pour celles qui se déroulent dans les temps historiques. Par ailleurs, on pourrait s’attendre qu’une série intitulée U-Boot nous raconte une bonne vieille histoire de sous-marin. Et puis c’est justement la spécialité de l’auteur : la petite ancre que Delitte accole à sa signature signifie qu’il est peintre officiel de la marine belge. Or, il est difficile de définir le style de cette série : fantastique, policier, science-fiction, historique ? Delitte ne tranche pas vraiment et le passage d’une époque à l’autre finit par lasser par son côté systématique et artificiel (à quoi servent les flashbacks sur Peenemünde en 1945 dans le troisième tome ?). Beaucoup de questions restent sans réponse, et le contexte des événements de 2059 est juste évoqué, empêchant une appréhension correcte de l’univers d’anticipation créé par l’auteur. Les personnages quant à eux manquent tous de personnalité, d’abord parce que Delitte ne parvient pas à leur donner des caractéristiques graphiques satisfaisantes qui permettraient de les distinguer du premier coup d’œil, mais aussi parce qu’avant que l’on ait pu s’y attacher, ils tombent comme des mouches dans un récit en forme d’hécatombe. Pourtant, l’histoire est originale, et au terme de la lecture des trois albums, le mélange des genres ne paraît pas si bête ; c’est osé et finalement plutôt cohérent. Le dessin de Delitte est toujours aussi virtuose quand il dessine la mer, le sous-marin, la lagune de Venise ou la base maritime de Peenemünde. J’aime moins ses personnages, un peu raides dans leurs mouvements et aux visages systématiquement burinés (l’influence de l’air marin ?), mais son dessin reste globalement séduisant. Quelques scènes débordant sur une double page sont magnifiques. À mon avis, cette incursion de Jean-Yves Delitte dans un récit complexe d’anticipation n’est pas inintéressante, mais son talent s’exprime mieux à travers des récits plus classiques autour de la marine à voiles tels que Black Crow, ou la série « Black Crow raconte » : Belem, L'Hermione, La Boussole & l'Astrolabe (l'Expédition de La Pérouse). Je donne un 3/5, mais ne conseille pas l’achat de cette série au récit perfectible. Elle mérite toutefois d’être lue car sous ses dehors classiques, elle est déroutante à bien des égards.
Premier tome : J'ai trouvé cette introduction passionnante, le découpage scénaristique est original, on évolue dans trois époques différentes, le rythme est très intense, bourré de suspense et une petite touche de fantastique vient renforcer une intrigue qui s’enrichit au fur et à mesure que les pages s'enchaînent. J'attends avec impatience la suite de cette aventure qui ne fait pas dans la longueur et qui m'a captivé du début à la fin ! Deux (tout-petits) reproches, on rencontre beaucoup de personnages qui ont malheureusement souvent la même tête... Deuxième remarque : les couleurs qui sont appliquées sur les ciels des paysages sont souvent les mêmes (merci les calques Photoshop...). Deuxième tome : Mon dieu quelle tristesse, tout ça pour ça?! Finalement la lecture du deuxième tome m'a laissé un goût amer. Delitte nous pond une fin d'aventure ridiculement classique, trop facile... Quel dommage! Le premier tome développait la psychologue des personnages, leurs univers, les époques qu'ils traversaient. La touche de fantastique et le huis clos rendaient l'intrigue passionnante... Encore une fois je suis déçu par un auteur qui parvient à avoir une excellente idée de scenario, à développer une intrigue intelligente et captivante mais qui gâche tout en bâclant la fin. Scénario bâclé, sauts sans intérêt dans les différentes époques, intrigue confuse et finalement beaucoup trop simple, ce deuxième ouvrage se termine ridiculement grâce à la providence d'un personnage qui tombe du ciel. Déçu. Troisième tome : Mouais, comment faire du fric facilement et saloper une idée de base qui était sympa. L'intrigue de ce troisième tome est décevante, j'ai lu cette BD il y a une semaine et je ne me souviens déjà plus du fil conducteur de l’aventure, pas bon signe. Je relis rapidement le résumé... ah oui l'histoire du personnage sans importance qui devient le héros. Mouais pas très intéressant. Pour entrer plus dans le détail, les évènements importants de l’intrigue ne se déroulent plus que dans le futur, les deux époques passées (fin 45 et après-guerre) n'apportent ABSOLUMENT rien. L’originalité de cette histoire est donc transgressée. Le personnage principal n'a aucune personnalité, elle n'est pas attachante. De plus on ne découvre aucun véritable enjeu dans cette aventure, c'est décousu. Où va l'auteur? Le dessin est toujours sympa mais ne suffit pas à remplir une bande dessinée vide d’intérêt. Arrêtons le massacre!
C'est fou comme cet auteur a bien progressé au fil de ces années. Je me souviens d'avoir lu de lui une série baptisée Le Neptune qui était un flot d'inepties cumulant toutes les invraisemblances du genre. Et puis, il y a eu l'excellente série Tanatos dont il était le dessinateur. Cependant, avec U-Boot, Jean-Yves Delitte est le seul maître à bord. On sait qu'il aime la mer ainsi que les navires. On va découvrir en l'occurrence la vie des sous-mariniers de la Seconde Guerre Mondiale dans une histoire purement fantastique. Pour autant, il a réussi à construire une intrigue qui s'affranchit d'un académisme désuet. C'est comme s'il avait emprunté à Christophe Bec la manière de construire une intrigue en introduisant l'angoisse et le fantastique. Celle-ci se situe sur trois niveaux correspondants à trois époques différentes dont l'une située dans notre futur. On pourra regretter que les explorateurs de l'Amazonie de 1951 ressemble sérieusement à des colons anglais du XIXème siècle. Ici, c'est une oeuvre résolument adulte qui ne fera pas dans la dentelle. Arrivé à la fin du premier tome, on ne fera pas le lien entre les trois récits qui se cumulent. Cependant, le second nous offre les pistes qui nous faisaient défaut. Au rayon des critiques, je dirais que les bulles ne sont pas très lisibles. Un autre type de calligraphie aurait été sans aucun doute souhaitable. Le mélange des trois époques va rendre la lecture assez difficile pour la compréhension de l'histoire. Par ailleurs, le dessin semble quelque fois bénéficier d'un graphisme ou d'une approche différente. Et puis, arrivé au troisième tome, le titre perdra toute sa résonance. Bref, la série ne sera malheureusement pas exempte de défauts. Cependant, au final, la lecture sera plutôt agréable pour un divertissement assuré.
Ca faisait un moment que je n'avais pas lu un album de Jean-Yves Delitte ; depuis Les Brigades du Tigre je crois bien. Le gaillard a un sacré abattage, notamment dans le domaine maritime. Il nous revient donc avec un triptyque en tant qu'auteur complet, avec comme point d'ancrage un sous-marin nazi (coïncidence amusante, je viens de lire un roman ayant aussi cet élément comme point de départ). Il nous promène sur trois époques et trois lieux différents, dont une étant placée dans le futur. Bien sûr les trois segments sont liés ; on sent bien que le mystérieux docteur Mengel, responsable de la "solution finale", est le point commun entre toutes les intrigues. Alors que la série avait été annoncée comme terminée au-delà du deuxième tome fin 2011, voilà qu'un troisième et dernier opus vient boucler finalement l'histoire. Ce n'est pas une mauvaise chose, car ce chapitre final permet de raccrocher à peu près tous les wagons narratifs, point qui avait justement frustré tous ceux qui avaient apprécié cet "U-Boot". Au final cela n'est pas bien grave, mais un problème de communication qui a dû lui porter préjudice. Sur le plan du dessin c'est toujours du beau travail, même si on peut arguer que les personnages manquent un peu de diversité sur le plan physique. Delitte s'éclate visiblement à dessiner son sous-marin sur des pleines pages, et on en prend plein les yeux... Et dans des designs plus futuristes, il se montre largement convaincant.
Voilà une série qui partait vraiment bien et qui malheureusement se termine bizarrement . Prévue au départ en 2 tomes , elle se finit finalement en 3 tomes .Je ne suis pas le seul, a priori, à penser que la fin de cette série est loin du niveau du premier album.On peut même la trouver presque risible tellement elle peut nous paraître simpliste et improbable. Effectivement le premier tome nous plonge à l'intérieur d'un U-Boot ( dont les détails étaient superbement mis en images) où l'on était en présence d'une intrigue sympathique qui nous promenenait entre l'historique, le fantastique et un côté horrifique qui n'était pas pour me déplaire (la scène de la découverte d'une partie de l'équipage horriblement mutilé était vraiment glauque et réaliste). De plus le fait de passer d'une époque à une autre relevait encore plus l'intérêt de cette histoire qui nous faisait espérer un scénario beaucoup plus original que ce qu'il est réellement. Finalement on est en présence de l'histoire revue et corrigée du tristement célèbre Josef Mengele (qui dans cette trilogie s'appelle Mengel), le médecin d'Auschwitz-Birkenau. Je n'en dirai pas plus pour ne pas empêcher d'éventuels lecteurs de se lancer dans cette, quand même, sympathique petite série qui se lit rapidement et dont le dessin, signé Delitte, est toujours aussi remarquable (même si les personnages se ressemblent étrangement d'une série à l'autre). Elle nous permet de ne pas nous ennuyer.
Petite déception au final que cet U-Boot, et ce malgré un premier tome plutôt prometteur. En effet, le deuxième tome est des plus précipités avec un scénario qui n’exploite que très superficiellement les nombreux points d’accroche présents au début (la Venise futuriste, la dimension fantastique, les trois époques, la tueuse mystérieuse, et même l’enquête centrale). Le dessin de Delitte est toujours aussi soigné. L’auteur multiplie les doubles planches et les découpages originaux tout en conservant un grand classicisme. Le trait est précis mais les personnages masculins ont toujours tendance à parfois se ressembler (j’ai un peu le sentiment que Delitte travaille sur base de quatre ou cinq visages-types qu’il tente ensuite de personnifier via l’un ou l’autre artifice). Au final, je ne peux pas encourager l’achat car la série ne tient pas ses promesses. Tout est expédié, sans aucun approfondissement et la conclusion est bien trop facile et elliptique. Cette structure ambitieuse, cet univers prometteur, ces personnages mystérieux méritaient tous un développement plus complexe.
Un premier tome de qualité, la lecture est agréable et passionnante, un récit qui avance sur trois fronts avec la particularité que ces histoires se passent à des époques différentes. Le suspens reste entier et pour l’instant difficile d’imaginer la suite, Jean-Yves Delitte exprime ici tout son talent. Le dessin de Jean-Yves Delitte est très plaisant, précis et dynamique, mais le point faible de notre auteur est certainement le manque de diversité dans le faciès des différents personnages. Quatre étoiles pour un récit captivant et innovant dans sa structure, espérons une suite de la même veine.
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