Do androids dream of electric sheep?
Adapté au cinéma (Blade Runner), un des plus grands chefs d'oeuvre de la science-fiction enfin publié en bande dessinée dans une édition soignée.
Adaptations de romans en BD Après l'apocalypse... BDs controversées Blade Runner Boom! Studios Emmanuel Proust Éditions Robots Romans de science-fiction adaptés en BD
Dans un futur post-apocalyptique, l'espèce humaine a colonisé la planète Mars pour s'y protéger des radiations. Seuls quelques hommes vivent encore sur Terre, la plupart des habitants étant remplacés par des androïdes. Rick Deckard, chasseur d'androïdes, a un rêve : remplacer son mouton électrique par un vrai… Sa rencontre avec la belle Rachel bouscule ses convictions, et va le conduire à s'interroger sur sa propre humanité.
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Date de parution | 14 Mars 2011 |
Statut histoire | Série terminée 6 tomes parus |
Les avis
Je ne suis pas franchement emballé par ce récit, en fait en l'empruntant dans ma médiathèque je pensais lire une version BD du film "Blade Runner". Or en fait c'est ici une adaptation qui se veut la plus fidèle possible du roman de P.K.Dick paru en 1968. Bien que grand amateur de SF je n'avais pas lu ce roman, Dick ne faisant pas partie de mes auteurs de prédilection. Dans cette BD j'ai été gêné par le dessin qui oscille entre deux styles, à savoir le comics pur et un trait qui voudrait s'en éloigner mais au final cela donne un truc un peu bâtard. Pour ma part je ne me permettrais pas de juger le respect ou non de l’œuvre originale mais dans cette BD les choses passent plutôt bien. Le démarrage est correct et les différents éléments se mettent en place de manière assez fluide, mon seul bémol et que j'ai retrouvé tout au long de l'histoire c'est le côté pas assez déglingué du décor. De même et là encore je fais référence au film il y avait ce côté grouillant, cosmopolite des scènes se passant en extérieurs. Mon ressenti à l'issue de ma lecture est donc très mitigé, disons que cette BD même si elle se veut une adaptation fidèle du roman peut venir en complément du roman et du film. Je ne conseille pas l'achat mais juste un emprunt pour les fans de P.K.Dick.
Une adaptation d'un roman que je n'ai jamais lu donc je ne peux pas faire de comparaison. J'avais emprunté les 6 tomes, mais je m'ennuyais tellement que j'ai arrêté ma lecture au tome 2. Tout d'abord, je trouve qu'il y a trop de texte. Je n'ai rien contre le fait qu'il y a beaucoup de texte quand c'est justifié et j'aimais bien lorsque c'était pour expliquer comment fonctionne ce monde futuriste, mais là il y avait des encadrés pour expliquer les actions des personnages et cela devient vite lourd. De plus, j'ai eu l'impression que l'histoire était bonne, mais je n'arrêtais pas de m'ennuyer et de trouver les personnages sans intérêt. Comme si j'aurais eu plus de plaisir si j'avais lu le roman original et non son adaptation bd. Et puis finalement je n'aime pas du tout le dessin. Je comprends que certains aiment, mais pour moi c'est typiquement le genre de dessin qui me laisse complètement indifférent.
Comme nombre de personnes - trop sans doute - j'ai quasiment découvert l'oeuvre de Dick au travers du superbe film de Ridley Scott. Mais comme peu (je pense) j'ai essayé de découvrir l'oeuvre originale. Vingt ans après m'est donc offerte la possibilité de lire une nouvelle adaptation de la novella (et non roman) de cet auteur à part. A l'époque de ma première lecture, je n'y ai pas compris grand chose, je dois bien l'avouer. La force de cette adaptation est d'avoir - à la demande des héritiers de PKD - conservé le texte intégral. La marge de manoeuvre de Tony Parker fut donc infime. Mais il s'en sort, je trouve, avec les honneurs. Au-delà de l'intertexte qui se dégage avec les lectures périphériques (dont je parlerai plus tard), son illustration me semble vraiment proche du texte. Bien sûr, celui-ci paraît un peu lourd, par exemple dans les descriptifs, mais c'est un écueil que Parker évite habilement, rendant la lecture assez aisée. L'utilisation du texte intégral permet d'intégrer les différentes strates du récit de Dick. Citons la trame principale, celle de Deckard traquant les androïdes - qui ne veulent rien d'autre que se fondre parmi les humains - ainsi que ses réflexions intérieures, dont tout un filigrane concernant la propriété d'un animal (et qui a donné à l'oeuvre son titre original). Il y a aussi la trame du demeuré avec Mercer, qui reflète les préoccupations philosophiques de Dick, mais donne surtout une toile de fond un rien métaphysique au récit. Le troisième tome donne lieu à une seule scène, un faux-semblant entre chasseurs de primes du plus bel effet. L'intrigue n'y avance pas beaucoup, mais il s'agit tout de même d'une transition palpitante à lire. Les différents témoignages présents en bonus permettent une lecture plus en profondeur. Le cinquième tome se résume quant à lui à une seule véritable scène ; je trouve que Tony Parker tire sur la corde, avant de conclure dans le sixième de fort belle façon, ma foi, l'ensemble des éléments de l'histoire se rejoignant de façon assez logique. Une excellente idée donc de la part des Editions EP de nous proposer une adaptation (de haut niveau) et en quelque sorte une explication de texte. Bonne idée également d'avoir confié les illustrations de couverture à Stefan Thanneur, auteur rare mais très doué pour cet exercice. Il apporte un certain côté christique présent en filigrane dans l'oeuvre. Le boulot graphique de Tony Parker, assisté aux couleurs par Blond, est indéniablement de qualité, même si je trouve les personnages un poil inexpressifs par moments. Ce bon moment de lecture initial a fait place à un brin d'ennui face à des scènes qui traînent en longueur, même si la fin reprend un rythme "classique". C'est l'adaptation d'un texte très connu d'un auteur majeur de la scène SF, mais on a presque l'impression de le redécouvrir à cette occasion. Beau boulot tout de même.
Voilà quelque chose de décevant, surtout quand on aime Philip K.Dick, son livre, et bien sûr le fameux film culte de Ridley Scott. On en est très loin ici, même si c'est fidèle au roman, la faute à un dessin pas terrible du tout, froid et sans saveur, d'ailleurs les couvertures sont très trompeuses ! Les personnages ne sont guère maîtrisés et on se demande pourquoi Deckard ressemble vaguement à Ford dans le film. Autant s'approprier les personnages si c'est pour adapter, ou alors la bd du film faite par le grand Al Williamson avait le mérite de la qualité graphique. Enfin l'éditeur, qui sortait des choses intéressantes il y a quelques temps semble un peu faire n'importe quoi, comme le catastrophique Cowboys & Envahisseurs, sans parler du prix et des infos contradictoires comme d'autres avis l'ont souligné. Bref lisez le roman et imprégniez vous de Dick à la source, c'est encore ce qu'il y a de mieux à faire à mon avis...
J'ai failli donner une meilleure note à cette série car elle m'a montré de très bons côtés. Le premier d'entre eux est de m'avoir permis de découvrir la nouvelle de P.K. Dick ayant inspiré mon film préféré : Blade Runner. Et comme la préface du tome 1 de la BD l'indique, ceux qui pensent retrouver l'esprit et l'histoire de Blade Runner en lisant cette nouvelle se trompent complètement : le récit est très différent, avec un contexte et un message différent, parfois presque à l'opposée l'un de l'autre. J'ai été du coup particulièrement intéressé par la complexité et les idées du monde imaginé par Dick, par la personnalité de ses protagonistes et par sa réflexion sur ce qui différencie l'homme de l'androïde, à savoir l'empathie. Intéressant, oui, même si je préfère le message de Ridley Scott présentant ses réplicants comme encore plus empathiques et donc plus humains que les humains, quand à l'inverse ceux de Dick sont froids et incapables de sentiments pour autrui. Blade Runner me semble également plus intemporel tandis que le roman a un peu vieilli avec son contexte de guerre froide et retombées nucléaires. Le second bon côté est le respect de l'oeuvre et du texte original. Cela permet d'éviter la trahison de l'idée de l'auteur et offre en même temps un récit très dense qui ne souffre pas d'ellipses absurdes ou de concentration pénible comme certaines adaptations ratées. Cependant, c'est aussi là l'un de ses principaux défauts. Il est difficile d'entrer dans le récit au départ du fait d'une narration trop présente et trop bavarde puisque reprenant le texte intégral du roman avec certaines descriptions parfaitement inutiles dans le cadre d'une BD. Cela entache lourdement les premières pages de la bande dessinée et rend la lecture laborieuse. Heureusement, sans que j'ai pu vérifier si cela venait d'un allègement du texte ou d'une prise d'habitude au fur et à mesure de la lecture, mais en tout cas au bout d'un ou deux chapitres, cela passe beaucoup mieux. Ensuite, au niveau du récit, autant j'ai été vraiment captivé par le premier tome et tout ce monde imaginaire que je découvrais, autant mon intérêt est un peu retombé par la suite. Cela restait un récit de bon niveau mais à l'intrigue un peu plus diluée et moins prenante. La traque et l'élimination des premiers Nexus-6 par Deckard ne m'a pas passionné notamment. Et enfin un autre défaut m'a un peu refroidi. Celui-ci n'est pas inhérent à l'oeuvre elle-même mais plus à la communication de l'éditeur français. En effet, tout au départ semblait indiquer une série en 3 volumes alors qu'au vu du matériel américain disponible et du développement de l'intrigue au bout des 3 albums actuellement parus, elle s'étendra plutôt sur 6. Or le prix de chaque tome a de quoi rebuter, surtout quelqu'un comme moi pour qui ne compte dans un album que les planches de BD elles-mêmes et pas tout l'éditorial, textes et illustrations qui occupent quand même beaucoup de pages dans les albums d'Emmanuel Proust. Je parle de défauts qui me refroidissent un peu mais globalement j'ai quand même apprécié ma lecture et je la conseille sans hésitation si vous en avez l'occasion et si vous avez la motivation de passer outre la lourdeur de la narration des premiers chapitres.
Qu'une adaptation BD puisse à ce point jouer la carte de la fidélité au texte original est déroutant et pour tout dire presque loufoque. Alors que l'idée de revenir au roman de Dick (et non au film de Ridley Scott qui a eu tendance à l'éclipser) est judicieuse car comprenant bien des aspects tus ou seulement survolés par le film (la disparition des animaux, le mercerisme), la lecture est vraiment plombée par des descriptifs tellement inutiles et rébarbatifs qu'ils feraient passer ceux d'Edgar P. Jacobs pour absolument nécessaires. Chaque média possède sa propre forme d'expression et ses propres codes. Et si l'on note déjà, depuis plusieurs années, une influence (déplaisante selon moi) du cinéma et des séries télé sur la bande dessinée qui n'en finit pas de singer ces deux médias au point que l'on a souvent l'impression de lire des "films sur papier", il ne manquerait plus que notre chère neuvième art en vienne à singer le roman. Car même avec la meilleur volonté du monde, comment ne pas tiquer à la lecture de "Do androïds..." (pourquoi avoir mis un titre en anglais par ailleurs ? Mystère !) devant les dit Deckard rétorqua Rachel répondit Phil Resh qui sont comme autant de pierres d'achoppement superflus sur lesquels vient buter le lecteur, à moins de les ignorer purement et simplement même si l'agacement persiste. Un procédé tellement étrange que l'on croirait à une plaisanterie. Comme le fait remarquer Alix, l'adaptation de Farenheit 451 avait su transposer avec réussite le roman de Bradbury sans faire dans le copier-coller. Evidemment, qui dit BD dit dessin. Et s'il est bien une raison qui aurait pu faire pardonner la lourdeur de la narration, c'était un traitement graphique intéressant, original ou même classique mais de qualité. Las ! Le dessin de Tony Parker est impersonnel, assez laid, les physionomies peu attrayantes et la mise en couleur informatisée donne à l'ensemble un aspect glacial et terriblement lisse qui, pour coller à l'histoire (argument que l'on peut prendre en compte) n'en reste pas moins sans saveur. Mais c'est une question de goût. On notera aussi que certaines représentations des personnages sont assez discutables, tel que Mercer auquel Parker donne un aspect quasi athlétique assez grotesque loin de l'idée qu'on peu s'en faire en lisant le roman. Reste alors la richesse de l'histoire et ses implications socio-philosophiques, certes, mais tout le crédit en revient de toute façon à un certain... Philip K. Dick et il aurait fallu être un bien piètre adaptateur pour arriver à rendre le tout superficiel. De ce fait, même au plus mordu des bédéphiles je ne peux que conseiller une évidence : lisez le roman de Dick, avec ses moyens d'expression propre aux romans et qui a en plus l'avantage non négligeable de coûter nettement moins cher en édition de poche (environ 8 euros, encore moins en occase) que trois tomes à 17,90 euros. Le calcul est vite fait ! En somme, ma déception est à la mesure de l'intérêt qu'une adaptation du roman avait pu susciter en moi. PS : pour réagir à une remarque de l'avis précédent je tiens à préciser que Blade Runner est bel et bien un roman (de plus de 200 pages) et non une "novella" qui, par définition, n'excède pas cent pages.
Les volumes de cette adaptation en BD du roman culte de Philip K. Dick annoncent fièrement « reprendre l’intégralité du texte original ». Le fan de BD que je suis doute immédiatement de la validité d’une telle démarche. Scott McCloud nous démontre brillamment que la BD est un art à part, ayant ses propres codes, et des procédés narratifs bien différents du cinéma ou de la littérature. Et le résultat ne se fait pas attendre : les premiers chapitres proposent des planches indigestes, surchargées de texte, que l’auteur tente tant bien que mal de nous faire avaler, en utilisant parfois des subterfuges pas très discrets : les textes « voix off » sont tantôt dans des cases, tantôt hors des cases (pour ne pas trop masquer le dessin), et surtout il utilise des abréviations (dans la VO tout du moins) ce qui est quand même du jamais vu :o) Bon, le problème semble s’estomper au fil des chapitres. L’auteur a de toute évidence ajusté son ratio « mot par page »… peut-être suite aux retours des lecteurs ? Mais de manière générale cette BD contient plus de texte en « voix off » que la plupart des BDs que j’ai lues. Certains verront sans doute le fait d’avoir l’intégralité du texte original comme un bonus, et un gage de qualité. Certes, mais je note quand même que la superbe adaptation de Fahrenheit 451 avait réussi à conserver le message original et la poésie de Bradbury sans pour autant reprendre l’intégralité du texte. Passons ensuite au dessin. Un coup d’œil rapide sur le forum révèle une flopé de termes assassins : « bof, sans âme, moche, informatisé, artificiel » etc. Et bien écoutez il m’a plu moi, ce dessin. Les amateurs de couleurs directes et chaudes risquent bien entendu d’avoir du mal avec les couleurs informatiques et froides de ce comic-book, mais moi je trouve au contraire que ces dernières collent parfaitement à l’histoire. Surtout que le dessin lui-même est assez chouette, et certains passages font vraiment honneur au récit, d’un point de vue mise en scène. Enfin, le plus important : l’histoire. Et là, pas de surprise, c’est du solide. L’univers mis en place est d’une richesse incroyable, et le récit abonde en réflexions philosophiques sur la valeur de la vie, les religions, le contrôle des masses… quelle verve dans le propos, surtout si on considère que le roman date de 1968 ! Cette fascination pour les animaux est particulièrement intéressante, dans une société post-apocalyptique où la vie se fait de plus en plus rare et précieuse. Notons tout de même un rythme lent et une intrigue non portée sur l’action (ce qui n’est bien entendu pas un reproche). Je ressors marqué de ma lecture, et je pense vraiment que la mise en image de ce superbe roman y est pour beaucoup. Un succès donc, en ce qui me concerne.
Il en faut du talent pour réussir pareil exercice et adapter avec autant de brio en bande dessinée une œuvre aussi complexe et travaillée. Ce genre de gymnastique est souvent périlleux puisqu’il ne tolère pas d’à peu près si l’on veut rester fidèle à l’esprit original de l’œuvre. Et le défi est de taille lorsque l’on s’attaque à un des pontes de la science fiction, Philip K. Dick, dont nombre des œuvres ont déjà été portées au grand écran sous différents titres (Blade Runner, Total Recall, Planète Hurlante, Minority Report) ou ont tout simplement inspiré d’autres grands succès (The Truman Show, eXistenZ) par quelques uns des plus grands réalisateurs (Ridley Scott, Steven Spielberg, David Cronenberg). Dans ce triptyque, le talentueux Tony Parker, dessinateur sur quelques tomes de la série Warhammer 40,000, s’attaque au scénario et au dessin à l’une des meilleures adaptations qu’il m’ait été donné de lire. « Do androïds dream of electric sheep », qui a inspiré le film Blade Runner, est ici adapté avec une grande intelligence et un profond respect pour l’œuvre originale ce qui devrait réjouir les fans de l’œuvre de Philip K. Dick dont je fais partie. Le fait de vouloir conserver le texte intégral du roman pourra certainement rebuter certains lecteurs mais permet a contrario de renforcer ce qui fait souvent défaut aux adaptations à savoir le background psychologique et l’ambiance du récit, ce qui est primordial dans le cas de cet auteur. On retrouve donc des scènes ponctuées par quelques pensées du héros et quelques textes descriptifs qui favorisent grandement l’immersion dans le récit. L’action se passe dans un futur post apocalyptique ou les hommes ont dû fuir la Terre et coloniser Mars pour échapper aux radiations sévissant sur Terre. Seuls restent les gens catalogués comme « spéciaux » atteints d’une dégénérescence entrainant des déficiences mentales, les réfractaires à l’exode et quelques hommes dont la profession les obligent à rester. C’est le cas de Rick Deckard dont le métier consiste à traquer et à chasser les androïdes qui se sont enfuis et se cachent sur terre parmi les terriens. Car les androïdes sont devenus de plus en plus perfectionnés pour répondre aux besoins humains et sont donc de plus en plus difficiles à différencier. Offrir un androïde à tout terrien migrant sur Mars est même un des moyens utilisé par le gouvernement pour encourager l’exode de la population. Certains androïdes acceptant mal leurs conditions tentent donc de fuir et de se mêler à la population. L’histoire pose aussi quelques bases de réflexion sur le vrai sens de « l’humanité », les différences séparant l’humain de l’androïde ne font que s’amenuiser au fur et à mesure de l’avancée technologique. A partir de quand un androïde peut-il faire preuve d’humanité ? Et à l’inverse qu’est ce qui définit l’humanité chez l’Homme ? Je n’en dis pas plus sur le déroulement de l’histoire mais je ne peux que conseiller à ceux qui apprécient l’univers de P.K. Dick de prolonger l’expérience à travers ses romans. Côté dessin, rien d’exceptionnel, le style est assez sobre et la colorisation très neutre, cela rend même la lecture plus aisée et j’avoue ne pas avoir prêté trop d’attention aux décors au vu de la quantité de texte à ingurgiter. Je ne cache pas que ma lecture a été grandement influencée par le fait que j’apprécie énormément les romans de P.K. Dick et j’attends impatiemment la parution des prochains tomes pour me replonger dans cette atmosphère si particulière à son œuvre. Je ne peux donc que recommander la lecture et l’achat de cette série.
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