L'Homme qui se laissait pousser la barbe
Au fil d’une dizaine de chapitres dessinés dans des styles graphiques d’une surprenante diversité, le lecteur fera étape au Congo belge (le portrait figurant en couverture de l’album ressemble étrangement à celui du roi Léopold II), apprendra à reconnaître les types de cheveux, admirera l’Express Royal Belge (le plus long train du monde), chevauchera le fameux Bucéphale, sera reçu dans un harem et volera à travers les salles d’une grandiose maison aux escaliers, participera à une étrange classe de dessin, assistera à la naissance de la vie dans une grotte, et bien sûr croisera quantité de barbes impressionnantes !
Ecole Supérieure des Arts Saint-Luc, Bruxelles Les petits éditeurs indépendants
Au fil d’une dizaine de chapitres dessinés dans des styles graphiques d’une surprenante diversité, le lecteur fera étape au Congo belge (le portrait figurant en couverture de l’album ressemble étrangement à celui du roi Léopold II), apprendra à reconnaître les types de cheveux, admirera l’Express Royal Belge (le plus long train du monde), chevauchera le fameux Bucéphale, sera reçu dans un harem et volera à travers les salles d’une grandiose maison aux escaliers, participera à une étrange classe de dessin, assistera à la naissance de la vie dans une grotte, et bien sûr croisera quantité de barbes impressionnantes !
Scénario | |
Dessin | |
Couleurs | |
Editeur
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Genre
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Public
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Type
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Date de parution | Novembre 2010 |
Statut histoire | Histoires courtes 1 tome paru |
Les avis
L'homme qui se laissait pousser la barbe est un roman graphique comportant plusieurs histoires de styles très différents. Je dois reconnaître que graphiquement c'est très soigné, inventif et varié, mais qu'au niveau scénario c'est beaucoup plus hermétique. C'est un maelström de diverses choses, un peu loufoques sur les bords, avec par exemple un homme qui essaie de déterminer de quel type est sa chevelure. Un autre cas met en scène un train très très long dont l'avant arrive dans une gare belge quand l'arrière est encore dans la gare précédente. L'histoire d'ouverture est une sorte de safari sauce coloniale, un peu désuet, ligne claire, pouvant faire penser à un sketch de cinéma muet. On trouvera également un cours de dessin un peu particulier ayant pour contrainte entre autres un chat et une bouteille de lait, ce qui ouvre encore la porte à de nouvelles voies graphiques grâce à des sous-histoires mises en place par les participants du cours. Esthétiquement très beau et faisant état de tous les talents de son dessinateur, je suis plus réservé sur le contenu réel, sur l'imaginaire déployé au-delà de la prestation de l'image. Le genre d'album un peu confidentiel qu'on apprécie d'avoir découvert, presque en se forçant un peu la main, mais dont il est difficile de dire qu'on se ferait une joie d'y replonger avec envie.
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