La Saga de Wotila
Début du Ve siècle. Déracinés par l'attaque brutale des Huns, les Goths quittent leurs territoires. Après avoir passé le Danube, ils doivent faire face à l'armée romaine. À court de vivres et au bord de la mutinerie, ils accèdent pourtant aux portes de Rome. En trois jours, la Ville éternelle tombe, pour la première fois depuis huit cents ans... C'est dans ce crépuscule de l'Antiquité que naît Wotila.
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Début du Ve siècle. Déracinés par l'attaque brutale des Huns, les Goths quittent leurs territoires. Après avoir passé le Danube, ils doivent faire face à l'armée romaine. À court de vivres et au bord de la mutinerie, ils accèdent pourtant aux portes de Rome. En trois jours, la Ville éternelle tombe, pour la première fois depuis huit cents ans... C'est dans ce crépuscule de l'Antiquité que naît Wotila.
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Date de parution | 04 Juin 2011 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Voici un premier tome fort intéressant qui nous propose un récit qui débute en l'an 408. Les Wisigoths fuyant les Huns pactisent avec les Romains afin qu’ils leur octroient un territoire sûr où s’installer, en échange ils leur proposent une protection contre tout autre attaque de « barbare ». Dans ce contexte réaliste se positionne une histoire mélangeant les habitants de ces divers peuples, intrigues, suspense, trahison et amour sont de mise, comme dans toute bonne saga. L’Histoire et l’histoire sont très bien menées, il faut juste quelques minutes d’attention en début d’album pour bien connaître les évènements historiques, mais Hervé Pauvert nous met dans le bain intelligemment, un résumé introductif et concis nous fait rentrer dans l’époque et ses coutumes. De plus un glossaire en début et fin d’album nous présente par le menu personnages fictifs et réels. Mais tout est suffisamment clair pour éviter de les consulter en cours de lecture, c’est plutôt bienvenu en fin de lecture si l’on veut en savoir plus et mieux mémoriser ce que fut ce passé reculé. Si le scénario est très bon, distrayant et instructif, le dessin de Cécile Chicault est à se rouler par terre de joie, sa beauté n’a d’égal que son originalité, avec un style rappelant les vieilles enluminures aux couleurs vives et magnifiques. Je n’ai eu de cesse en cours de lecture de m’écrier intérieurement : « Que c’est beau ! ». Généralement lorsque je suis sous le charme d’un visuel je décroche un peu du récit, mais ça n’a pas été le cas ici, j’ai pu suivre l’histoire tout en m’extasiant devant les planches. Quelle petite merveille ! L’attente de la suite va être cruelle !
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