Bacon
Dans une Chicago années trente un peu différente de comme on s'en souvenait, où des requins contrôlent l'industrie, des chattes sensuelles peuplent les night club et où gorille et bulldog sont les hommes de main très fidèles d'un boss crocodille, l'enquête sur un homicide devient pour le paresseux detective sans illusions Joe Bacon la clef d'accés à un effroyable meli-mélo entre crime, industrie et politique.
1930 - 1938 : De la Grande Dépression aux prémisces de la Seconde Guerre Mondiale Animalier Cochons, Porcs et Cie Les petits éditeurs indépendants Séries avec un unique avis
Quand des pommes pourries se michent au cœur des forces de l'ordre et que les citoyens ont peur, le dernier rempart de la justice ne peut être... qu'un cochon! Dans une Chicago années trente un peu différente de comme on s'en souvenait, où des requins contrôlent l'industrie, des chattes sensuelles peuplent les night club et où gorille et bulldog sont les hommes de main très fidèles d'un boss crocodille, l'enquête sur un homicide devient pour le paresseux detective sans illusions Joe Bacon la clef d'accés à un effroyable meli-mélo entre crime, industrie et politique. Sans compter qu'aller jusqu'au fond des choses pourrait lui coûter bien plus cher qu'il ne croit...
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
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Genre
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Public
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Type
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Date de parution | 30 Août 2011 |
Statut histoire | Une histoire par tome 2 tomes parus |
Les avis
« Bacon » est un sous-genre de Blacksad, un polar aux personnages animaliers plutôt bien dessinés, qui n’atteignent certes pas la perfection de ceux de Guarnido, même si l’auteur, Marco Natale, en est résolument capable, il n'y a qu'à voir la couverture. Parlons justement du dessin, quelque peu, voire très irrégulier. Dans une première moitié les « gueules » sont relativement peaufinées et réussies, laissant les corps et les décors un peu de côté. Je dis relativement, car tous les personnages ne sont pas pareillement travaillés. Puis dans la seconde partie, les « trognes » sont d’une qualité un peu inférieure, comme si l’auteur avait vu trop grand, la bd ne compte pas moins de 104 planches. Je trouve ça vraiment dommage, car la moitié aurait suffit à faire une bonne et surtout très belle histoire. Tout ceci fait que le scénario n’étant qu’une énième histoire de gangster des année 30/40, sans rien de particulier et sans intrigue palpitante, le tout tombe un peu à plat et je suis ressortie de cette lecture tout à fait déçue, voyant un beau potentiel passé par la fenêtre.
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