A l'amour, à la mort (Bang)

Note: 2/5
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Russie, quelque part dans un futur proche. Le colonel Ivanov, haut gradé militaire, vient d’en finir, un coup de kalash au fond du gosier. Plus qu’un suicide, c’est un signal.


Ecole Emile Cohl Les petits éditeurs indépendants Russie Séries avec un unique avis

25 ans plus tôt, lors de la dissolution de son commando, lui et ses hommes se sont faits une promesse : être plus rapide que la mort et se retrouver pour s’entretuer en famille, dans la joie et la bonne humeur. Dès lors, les 8 anciens membres se lancent à la recherche les uns des autres, histoire d’en finir en beauté, dans un long “gunfight” à travers l’immense Russie. Mais le temps a passé, et entre retrouvailles au couteau, rancœur à l’AK 47 ou salutations à l’explosif, les armes les plus dangereuses seront peut-être les regrets et les amours perdus…

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution Juin 2010
Statut histoire One shot (1er volet de la "collection" Bang) 1 tome paru

Couverture de la série A l'amour, à la mort (Bang) © Akileos 2010
Les notes
Note: 2/5
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30/07/2011 | Pasukare
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Par Pasukare
Note: 2/5
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C'est en lisant la description de l'éditeur que j'ai fini par comprendre le sens profond de cette histoire... un peu tard malheureusement pour apprécier pleinement ma lecture qui a été quelque peu obscure sur une bonne partie des premiers chapitres, j'ai même cru à une série d'histoires courtes, avant de retrouver au troisième ou au quatrième chapitre un personnage déjà croisé plus tôt. La beauté du dessin peut parfois aider à patienter jusqu'à ce que les fils d'une histoire se démêlent, mais j'avoue que graphiquement, on est presqu'aux antipodes de ce que j'aime : les couleurs sont ternes et monotones, le trait est approximatif (et le fait que cela puisse être voulu pour se démarquer graphiquement ne change rien au résultat) et manque singulièrement de charme. Il y a un juste milieu entre la bimbo siliconée aux mensurations improbables de certaines séries commerciales et la difformité élevée au rang de style graphique... Je classerais Loïc Godart dans la même catégorie que Griffon et son Apocalypse sur Carson City, sauf que je "préfère" (notez les guillemets) quand même le second, avec son trait plus épais et surtout son dessin en noir et blanc. J'ai emprunté cette BD parce que j'ai interviewé son dessinateur il y a quelques temps et que je souhaitais donc faire un peu plus connaissance avec son oeuvre, je pense que je ne l'aurais pas fait sans ça. Je n'ai été convaincue ni par le dessin, ni par l'histoire, d'autres y trouveront peut-être leur compte.

30/07/2011 (modifier)