Wunderwaffen
1946 : les armes volantes spéciales des Nazis déciment les avions alliés. Mais le pire reste encore à venir…
Aviation Dieselpunk Les Uchronies
1946 : les armes volantes spéciales des Nazis déciment les avions alliés. Mais le pire reste encore à venir… En cet été 1946, les Japonais ont été battus mais la Seconde Guerre mondiale continue en Europe après l’échec surprise du débarquement allié, le 6 juin 1944. D’étranges avions à réaction totalement révolutionnaires, surnommés Wunderwaffen (« Armes miracles »), défendent désormais efficacement l’Allemagne. Le major Walter Murnau, tête brûlée, homme d’honneur et talentueux pilote de Wunderwaffen, se retrouve décoré par Adolf Hitler, atrocement mutilé lors d’un attentat, qui lui inspire crainte et dégoût. Le voilà publiquement surnommé « Le pilote du Diable »… Il devient alors l’icône d’un régime qu’il déteste. Sans se douter que même pour le « Pilote du Diable », l’enfer n’est jamais loin...
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Date de parution | 13 Mars 2012 |
Statut histoire | Série en cours - cycle(s) terminé(s) (Premier cycle de 3 tomes) 24 tomes parus |
Les avis
Je vais aller à l'encontre de tous les avis précédents qui me semblent à la fois avoir mal lu les tomes de la série, et à la fois avoir une méconnaissance profonde de la manière dont fonctionnait le complexe militaro-industriel nazi et l'armée rouge. Mais je vais y venir. Wunderwaffen est donc une uchronie se déroulant en 1947. Dans ce monde alternatif, le troisième Reich règne toujours en Europe, opposé avant tout aux anglo-américains (même si pour faire vibrer la fibre patriotique, on donne quelques rôles essentiels à des Français, peut-être l'aspect le moins crédible de l'ensemble). Ce Reich nazi résiste aux attaques aériennes alliées grâce à des "Wunderwaffen", des avions et missiles avancés produits en masse. L'histoire prend ensuite un tour différent quand des allemands effectuant des forages dans une base arctique découvrent un OVNI, et réveillent une entité extra-terrestre qui va leur permettre de gagner un avantage certain. L'auteur s'est extrêmement bien documenté, tous les engins volants présents sont bel et bien des appareils sur le point d'être produits ou prévus pour 1946-1947, y compris côté allemand. De même que toutes les campagnes militaires et décisions stratégiques ainsi que divers évènements politiques sont assez bien trouvés et crédibles. Pour moi le seul véritable défaut de la série réside dans sa longueur : au moment où j'écris ces lignes, nous en sommes au 20ème tome sans que l'on ait l'impression que cela va s'arrêter un jour. Maintenant, abordons les différentes critiques qui sont évoquées : 1)On ne comprend pas comment un Reich exsangue a pu en arriver là...Pourtant tout est très bien expliqué : grâce à une arme inconnue, le débarquement allié de 1944 se termine en désastre total, permettant au Reich d'avoir un répis bienvenu. Contrairement à ce que les autres critiques disent, en Juin 1944 industriellement le Reich était tout sauf exsangue : suite à une politique de rationalisation industrielle, les usines produisaient davantage en 1944 que lors des 3 années précédentes (j'ajoute qu'en avril 1945, alors que le pays s'effondrait, les usines continuaient à tourner, et environ 1500 appareils à réaction étaient en cour de production, tandis que les premiers U-Boot ultra-modernes Type XXI étaient livrés). Il est donc parfaitement crédible qu'avec l'empire européen intact combiné à la rationalisation industrielle effectuée par Speer, ces armes dites miracles sortent en masse en 1947. On découvre par la suite que c'est l'extra-terrestre qui a transformé le 6 Juin 44 en désastre grâce à son arme permettant de traverser le temps et l'espace 2)L'arrêt des troupes russes du fait de la mort de Joukov serait peu crédible. Pourtant, il n'y avait pas véritablement d'alternative à Joukov dans l'Etat-Major russe. C'est Joukov lui-même qui avait soigneusement veillé à ce qu'aucune tête ne dépasse trop, ce par instinct de préservation. Si un jeune loup au moins aussi compétent se présentait, Staline s'en serait débarrassé (il est à noter que dans le monde réel, Staline n'avait même pas attendu la fin de l'année 1945 pour placardiser Joukov, mais durant le conflit il était intouchable). Il faut rappeler que Joukov contrôlait tout le front de l'Est, aucune initiative n'était permise sans son accord, et avant lui, les troupes russes allaient de défaite en défaite. Il semble donc peu probable que sans Joukov, les russes aient pu continuer leurs opérations militaires avec le succès que l'on connait. Surtout si les allemands ont pu en plus ré-allouer des troupes libérées du front ouest suite à l'échec du débarquement (on oublie que Hitler avait du dégarnir le front de l'Est suite au 6 Juin 1944). Toute proportion gardée, c'est comme si on disait que les maréchaux de l'empire auraient pu mener les campagnes militaires sans Napoléon. 3)Une base arctique nazie n'est pas crédible non plus. Pourtant, la base arctique qu'on nous montre est assez petite, et il faut rappeler qu'il y avait bien des bases arctiques nazies, mais dédiées aux observations météo. Il était prévu de les agrandir, c'est donc parfaitement possible d'imaginer une base un peu plus grande en 1947. On ne tombe pas dans les délires de base souterraine géante avec des soucoupes volantes, la base en question ne comporte que quelques avions, et quelques dizaines d'hommes, ravitaillés par un sous-marin. Et ce sont juste des exemples, je pense pouvoir démonter point par point tous les défauts relevés.
Ayant à l'époque parcouru le premier tome, j'avais reposé l'exemplaire dans le rayon et murmuré un vague ...bof Mais à mon anniversaire ma femme , me sachant adepte de BD d'uchronie m'a offert de nouveau le tome et je ne vais pas vous mentir , j'aurais préféré autre chose, mais par honnêteté et par envie de donner une chance à la série je me suis procuré (d'occasion) les tomes suivant jusqu'au 5 ... et sincèrement je ne compte pas continuer à me forcer (j'ai néanmoins lu les synopsis des tomes suivants et un vendeurs de BD les ayant lu m'a dis , je cite, "on tombe dans le n'importe quoi du fond de la BD) Sur le Scénario : L'exercice de l'uchronie est dur, certes, mais pourtant accoucheur d'excellente séries (je suis on ne peut plus enthousiaste sur la série "Jour J" qui présente des scénarios originaux issus de cerveaux féconds et divers) or ici le sujet des wunderwaffen et de l'uchronie d'un 3ème Reich Triomphant a déjà été (trop , mais alors trop) abordé... et honnêtement cette série n'offre rien de nouveau Ici pour retourner les événements décisifs de la seconde guerre mondiale l'auteur pousse les curseurs tellement loin que l'on arrive même pas à y croire une seconde :Joukov meurt et toute l'armée Soviétique s'arrête (C'est quand même bête de n'avoir qu'un général soviétique dans son wikipédia). Le D-Day devient une catastrophe alliée suite à une trahison et un Deus Ex Machina digne d'un Mauvais MJ de Jeu de rôle, L'Allemagne arrive avec son industrie exsangue à lancer ET des sous marins Nouvelles générations ET de nouveaux avions de Combats à un rythme de développeurs de Jeux vidéos ET arrive à coloniser une partie de l’Antarctique (on imagine que entre tout ça le 3ème reich a aussi eu le temps de lancer son propre programme spatial, crée l'internet et peut même lancer Facebook dès 1947, facile) ET utilise une arme de foudre de THOR , ni plus ni moins... bon vous l'avez compris il ne manque plus que des hordes de martiens nazis fondant sur les états unis et l'URSS au son des walkyries pour que ça y est on arrive à faire le forcing pour arriver à une victoire nazi sur les combats Les Combats ? parlons en ... Soyons Honnêtes les auteurs ont fait un grand travail honnête et précis de documentation (et pour celà je les félicite) et les planches à dessins sont ... correctes pour ce qui est du combat aérien ... Mais bon sang le scénario des combats ... je résume : - Les Méchants Yankees/Ruskoffs/français libres attaquent - Murnau décolle sur son beau navion tout bô et PIOU PIOU PIOU ! - A plus les méchants nénemis - FIKTOIRE POUR UNSER REICH !!! (on est censé se réjouir) Il n'y a aucune tension, aucun suspense, tout les aviateurs allemands sont des experten (pourtant l'état de la luftwaffe en 44...) affrontant des aviateurs alliés semblant avoir gagnés leurs ailes sur flight simulator 95 ... les combats ne sont prétextes qu'à nous montrer tout l'éventails de ce que les planches à dessins des ingénieurs allemands ont imaginés sur la fin du conflit. Et une fois au sol... le dessin comme le scénario tombent sous le niveau de la mer, les couleurs sont ternes, les personnages fades (Murnau "anti-nazi" mais sauveur éternel du Reich au sein de la SS, image éculée du "ouais mais les allemands n'étaient pas tous pourris hein) , Nous avons ici un Buck Danny version SS , sans charisme, sans consistance et dont les dilemnes moraux sont vites évacués par son PIOU PIOU PIOU au manche de son avion ... Le scénario sur Auschwitz et l'antartique semblent n'avoir ni queue ni tête , on nous annonce une uchronie et nous nous retrouvons dans un délire SF/SS ayant la consistance d'un Call of Duty de seconde zone pour ce qui est des combats Je pense sincèrement que les auteurs ont fait un travail remarquable de documentation, mais le scénario ne tient pas et ne m'a pas emballé A tout les bédéphiles, amateurs d'uchronies et même passionnés d'aviation EVITEZ ..
J’ai emprunté les quatre premiers tomes de la série, les seuls que possédait ma médiathèque – et de toute façon, je ne l’encouragerai pas à compléter la collection. En effet, cette uchronie n’est pas si originale que ça. D’abord, elle est loin d’être la première sur la même période (voir l’univers de Block 109 par exemple). Ensuite parce que tout manque de sel dans cette histoire. Le dessin, correct mais sans plus, n'est pas ma tasse de thé. Le héros, sans charisme ni crédibilité. Et enfin l’uchronie elle-même, absolument pas crédible ! En effet, si une uchronie déforme la réalité, il lui faut un minimum de crédibilité pour que l’on embarque dans l’histoire. Or, ici, tout est absurde (le retournement du front russe suite au décès d’un général, la résistance de l’Allemagne alors complètement exsangue, etc). Du coup, ces nouvelles armes passent au second plan, derrière un décor qui ne convainc pas, et des personnages qui ne font pas mieux. Une série décevante. Sur un ton plus humoristique, avec une uchronie proche basée sur les développements scientifiques secrets des Nazis, j’avais préféré le diptyque La Conquête de Mars !
Passionné d'aviation, cela faisait longtemps que je l'avais dans ma liste sans jamais l'avoir achetée, un peu refroidi par les avis assez réservés sur bdtheque.com. Je l'ai donc feuilletée chez des amis. Quelle déception ! Derrière des couvertures réussies et très accrocheuses, derrière l'idée séduisante de l'uchronie sur la deuxième guerre mondiale et celle des armes miracles des ingénieurs allemands, on trouve un "grand n'importe quoi" avec une dérive fantastico-mystique qui m'a totalement refroidi ! Si vous aimez les bonnes BD d'aviation récentes allez plutôt voir chez Paquet: Angel Wings, Au-delà des nuages, Le Grand Duc, Le Dernier Envol. C'est d'une autre trempe !
Après lecture des 8 tomes. Je suis particulièrement déçu par cette série. Le pitch de départ m'a interpellé : une uchronie sur la Seconde Guerre mondiale (vue et revue) mais où l'utilisation des armes miracles a inversé le cours de la guerre (c'est intéressant). Seulement je ne sais pas au bout de 8 tomes où veut aller le scénariste et j'ai l'impression qu'il fait des tomes au fur et à mesure car la série marche commercialement. Beaucoup de sujets évoqués et pas trop de fil conducteur pour moi. Pourquoi ne pas avoir exploré uniquement les armes miracles ou le côté trompe la mort du héros et l'ahnenerbe ? Les combats aériens semblent remplir l'album pour masquer les manques (ou l'absence) de fil conducteur. J'ai vu qu'il y avait des séries parallèles, Soleil semble donc vouloir capitaliser à fond sur la série. Enfin le héros m'énerve c'est un anti-nazi (a priori) mais il se donne à fond pour que le Reich triomphe WTF. Le dessin ne sauvera pas la série à mes yeux il est correct mais pas transcendant et souvent sans âme. Heureusement on m'avait prêté la série.
Je viens de lire les quatre premiers tomes, sans déplaisir, mais sans être emballé non plus. Le dessinateur maîtrise bien les avions bizarres des nazis et les combats aériens son assez convainquant, heureusement d’ailleurs, car ils occupent une très large partie de chacun des albums Pour les personnages, qui ont un peu tous la même tête, et les décors, souvent sommaires, son travail est moins convaincant. Quant à la mise en couleur, elle est un peu terne dès que l’on est au sol. Un dessin correct, donc, mais inégal selon les séquences narratives. Et justement, c’est par le scénario que pèche cette série. D’abord, il est nécessaire d’être un minimum plausible lorsque l’on bâti une uchronie. Si l’on n’est pas capable d’expliquer quels événements ont provoqué la bifurcation de l’histoire que nous connaissons, l’exercice devient vite périlleux. Or, on ne comprend pas, par exemple, comment un Reich à bout de souffle a pu tout à la fois arrêter l’offensive soviétique à l’Est, repousser les Anglo-américains à la mer en Normandie et développer des avions miracles avec son industrie en miettes. Les auteurs restent d’ailleurs très vagues. J’évoquais aussi les combats aériens qui trainent en longueur… Au début, c’est agréable, mais on se rend vite compte que si les personnages enchaînent loopings et mitraillage de l’ennemi, c’est souvent au détriment de l’histoire principale qui n’avance pas ! Les auteurs ont visiblement envie de confier à leur héros le manche de tous les aéroplanes étranges qu’ils imaginent, mais à la fin, tout ça fait un peu catalogue. Quant aux suspenses qu’ils tentent de distiller pour porter leur histoire ils sont assez niais. On devine très vite où ils veulent en venir avec Auschwitz-Birkenau, de même que la nature de leur découverte en antarctique est évidente… Il y a aussi le personnage principal, pilote émérite, trompe-la-mort, mais sans charisme ni personnalité. Le gaillard, antinazi convaincu, trouve moyen d’intégrer la SS. Bien que fâché avec l’autorité, il ne cesse de monter en grade. Et même écœuré par les exactions des nazis, il ne pense même pas à déserter. En plus, il n’arrête pas de coir la tête d’Hitler en rêve ! Autant dire qu’il n’est pas très attachant ; et c’est une litote. Bref, une histoire qui piétine, un héros que l’on pourrait haïr, mais qui n’est que pâlichon… tout ne tient finalement que sur les combats aériens ! Peut-être que maintenant que nous avons testé tous les Wunderwaffen du Reich et qu’on est enfin en route vers le pôle sud, les auteurs vont enfin montrer où veulent en venir ? Ce serait bien qu’ils pensent à conclure la série avant d’avoir lassé leurs lecteurs !
Cette uchronie se déroule en 1946. L'Allemagne nazie n'a pas encore perdu la guerre grâce à des avions de combats en avance technologique sur les alliés. On pourrait y croire car on sait que les Allemands ont développé à la fin de la Seconde Guerre Mondiale des fusées qui préfiguraient des missiles balistiques. Avec un peu plus de temps, ils auraient peut-être inversé le cours des choses. Bref, cette uchronie repose sur des éléments crédibles. Pour autant, il y a des choses difficiles à croire. Je passe sur le fait que le Führer voit dans notre héros un juif là où physiquement tout ressemble à un arien aux yeux bleus. Maintenant que les Américains possèdent la bombe atomique et qu'ils hésitent à rayer Berlin de la carte là où ils n'ont pas hésité à l'employer à Hiroshima, j'émets de sérieux doutes. L'arme atomique a été employée pour mettre fin à la guerre malgré toutes les atroces souffrances qu'elle a fait subir. On verra ce titre comme une uchronie de plus qui conserve un peu son originalité. Il est dommage que l'histoire de ce pilote soit si niaise. Il ne suffit pas d'instaurer un contexte historique. Il faut donner vie à des personnages avec une psychologie plus poussée que l'aversion. Et puis, quand on déteste à ce point un régime, on le quitte. On ne va pas voir l'état major pour améliorer la qualité des armes de destruction!
Mon avis est assez mitigé pour cette BD, une uchronie qui se déroule en 1946, la guerre n’est pas finie et l’Allemagne tient bon grâce à des armes d’avant-garde. J’ai apprécié un dessin de bonne facture, un scénario correct et une fin de premier tome prometteuse. Par contre l’histoire explique trop peu la situation géopolitique, les forces en présence, une vue globale aurait donné un peu d’épaisseur à ce récit, les auteurs s’attardent bien trop sur les combats aériens. Le personnage principal n’inspire pas beaucoup la sympathie, un anti- nazi qui n’en rate pas une pour asseoir la suprématie de la Luftwaffe. Un premier tome moyen 2.5.
Cette nouvelle série se révèle être une pure uchronie. Voilà qui aurait de quoi me réjouir si seulement elle avait réussi à davantage me convaincre. Elle présente 3 défauts principaux à mes yeux. Le premier est le manque d'originalité de son contexte. Combien d'uchronies ont-elles déjà mis en scène une Allemagne qui n'aurait pas capitulé en 1945 et les développements possibles de son armée et notamment les fameuses armes secrètes de la Luftwaffe ? Sans parler justement de l'étalage de ces engins au fil des planches, comme à la parade, comme pour bien montrer que les auteurs s'étaient un peu documentés. La deuxième est la facilité de cette fameuse uchronie. Un seul général russe mort et c'est tout le rouleau-compresseur soviétique qui capote. Le débarquement en Normandie qui échoue sans qu'on sache pourquoi. Et une Allemagne qui redresse complètement la tête en 1944 et trouve les moyens industriels et humains de tenir fièrement tête seule contre tous les Alliés ? Ce n'est pas très crédible, historiquement parlant. Et le dernier défaut, ce sont des dialogues que j'ai trouvés médiocres. J'ai régulièrement eu l'impression qu'ils sonnaient très faux, comme des adolescents qui récitent un texte de leur cru. Malgré ces reproches, cela reste une lecture divertissante. Si l'on passe outre les mauvais dialogues, la narration est fluide et le rythme relativement bon. Le dessin est correct et présente plutôt bien les avions, même si les Lippisch P13A tels que prototypés à l'époque ont des allures de fers à repasser volants. Et les invraisemblances de l'uchronie que j'avais cru noter initialement trouvent quelques explications en cours de lecture, faisant finalement la preuve d'un scénario qui tient assez bien la route. L'intrigue met ceci dit un certain temps avant de trouver une véritable accroche mais celle-ci apparait en fin de premier tome avec ce mystère tournant autour d'Auschwitz. Pour le moment, c'est une bande dessinée de divertissement pas très originale mais pas désagréable. J'attends de voir la suite pour voir si ça décolle un peu mieux.
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