Katsuo l'arme humaine (Ningen Kyouki Katsuo)
Katsuo le roi de la baston est une imitation de la bande dessine Noritaka du même auteur. Même si ce dernier ne fait pas preuve d'inspiration, la legereté des sujets et la maitrise de l'auteur permet a cette BD d'être tres attrayante. Comme dans tout manga qui se respecte, de nombreuses references martiales parsement ce chef d'oeuvre et le rendent plus attrayant. C'est une oeuvre tres sympathique qui passe agreablement le temps sans être un chef d'oeuvre comme Noritaka.
Baston Kodansha Shonen
Katsuo Hamada, 15 ans, arrive au lycée. Depuis toujours délaissé par ses camarades, il espère prendre un nouveau départ. Grâce à Internet, il fait la connaissance de Matsuki avec qui il partage sa passion d'une célèbre chanteuse. Mais un jour alors qu'il rentre des cours, il assiste impuissant au racket de son ami Toshio. Décidé à le venger, Katsuo va apprendre l'art du combat grâce à Matsuki, qui s'avère être un vrai caid ! Ecrit et dessiné par l'auteur du célèbre Noritaka, ce manga délirant conjugue humour, baston et comédie sentimentale avec une gaieté communicative.
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Date de parution | Septembre 2000 |
Statut histoire | Série terminée 10 tomes parus |
Les avis
On aurait dû assister à l’ascension d’un jeune lycéen au sein de gangs japonais, affrontant des types de plus en plus costauds. Un truc de baston à surenchère basique, prétexte à quelques tripotages de fesses… oh, rien de bien méchant, pas plus que dans l’autre série phare du même auteur, Noritaka. Malheureusement, Katsuo n’est que le prétexte à exhiber des nanas à la poitrine surdéveloppée à longueur de bouquins, à exposer les frustrations sexuelles (?) de l’auteur, sans souci de cohérence, de faire évoluer les personnages ou tout simplement de raconter une histoire… (d'accord, il l'avait pas fait auparavant, mais il aurait pu s'y essayer pour cette série ;)) L'auteur reprend la recette de sa première série mais n'en garde que les ingrédients les moins savoureux. Du coup, le délire attendu se fait désirer... en vain! C’est moche, le dessin n’a pas du tout changé depuis Noritaka, et le graphisme n’évolue pas non plus en une dizaine de volumes! D'habitude, on s'en fout quand c'est fun, mais là... On a là aussi droit une fin qui n’en est pas une, un truc en queue de poisson (décidément, ces auteurs japonais ne savent pas finir ce qu’ils commencent :( ). Une bien belle bouse…
C'est du manga dans le genre lourd de chez lourd. Cela s'adresse à un public adolescent et rien d'autres. On s'amusera en feuilletant ce manga de ces gonzesses à la poitrine hypertrophiée, quelques gags feront sourire mais l'intérêt de ce manga ne va pas beaucoup plus loin....
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