Batman (DC Renaissance)
La version reliée des épisodes périodiques de la série Batman issue du relaunch New 52 en 2011
Batman DC Comics DC Renaissance Super-héros Univers des super-héros DC Comics
Après une longue période d’absence, Bruce Wayne est de retour sous le masque de Batman, à la poursuite d’un mystérieux tueur en série aux allures de hibou, et dont la prochaine cible n’est autre que… Bruce Wayne. Plus il progresse dans son enquête, plus le Chevalier Noir rassemble d’éléments sur les motivations de son ennemi. Il découvre alors une sombre vérité mêlant la famille Wayne aux fondations troubles de Gotham City.
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Date de parution | 08 Juin 2012 |
Statut histoire | Série terminée 9 tomes parus |
Les avis
Quand on démarre un Batman, on part avec un capital sympathie énorme, tant ce personnage et ses gadgets sont cools. Et généralement au fur et à mesure de la lecture on retranche des points. Pas de point à enlever sur le 1er tome. L'ambiance, le timing et les dessins nous plongent dans ce qu'on aime de l'univers Batman. En revanche, comme souligné par bon nombres d'avis précédents, le 2nd tome est nettement moins qualitatif, surtout niveau dessin. On retombe dans du dessin de comics "classique" avec ses défauts, ce qui n'est pas le cas à mon sens sur le 1er tome. Dans le tome 2 on (re)trouve l'introduction des personnages tel que Mr Freeze, le Pingouin, qui arrivent un peu comme ça... sans grand lien véritable avec l'intrigue précédente. Bref un super 1er tome, le 2nd est bien moins palpitant. Je lirai tout de même la suite, car j'ai découvert en mettant ce commentaire qu'il y avait encore pleins de tomes sur cette série !
Tome 1 : Il est clair que Scott Snyder a été très inspiré pour écrire cet album de Batman dans lequel l’homme chauve-souris se retrouve aux prises avec ce que les bas-fonds de Gotham recèlent de plus violent et de plus destructeur. Dès le début de l’album, on est plongé dans un univers très sombre. Face à des ennemis dont il ne mesurait pas la puissance, Batman est un peu perdu devant l’ampleur du désastre qui s’annonce. Ils sont partout… Gangrénée par une société secrète qui corrompt Gotham en toute impunité depuis des générations, sa ville court un danger mortel et Bruce Wayne semble dépassé par les événements. Un scénario passionnant au découpage ultra dynamique et à la mise en page superbe. Par un dessin magnifique, soigné et hyper créatif immergeant le lecteur dans un décor grandiose, Capullo offre une vision bluffante du Dark Knight !
J'ai enfin fini de lire le run du duo Snyder-Capullo et je dois dire que je ne suis pas du tout fan. Le dessin de Capullo est bon même si je ne suis toujours pas fan de la colorisation qu'on retrouve dans les comics modernes. En revanche, je n'ai pas accroché au style de certains des dessinateurs qui ont remplacé Capullo sur certaines histoires. Pour ce qui est du scénario, je n'aime pas la plupart des idées de Snyder. Je ne suis pas fan qu'il y ait une société secrète dans Gotham qui semble avoir des moyens illimités. Je ne suis pas du tout fan de ce qu'il fait avec le Joker qui est maintenant une créature fantastique ou je ne sais pas, j'avoue ne pas avoir trop compris ce qu'on essayait de faire avec le Joker dans le tome 7. Je trouve que le premier arc narratif avec ce dernier (le tome 3) fini avec un vrai foutage de gueule. En fait, le seul récit avec le Joker que j'ai bien aimé est celui où il se fait un 'ami' et c'est même pas écrit par Snyder ! Les deux pires trucs selon moi : les nouvelles origines de Mister Freeze qui détruisent toute la poésie et le coté tragique du personnage et le fait que le Joker agit déjà comme le Joker lorsqu'il est le criminel Red Hood. Avant, Red Hood était différent et on voyait bien que son accident avait transformé le Joker, mais là il y a pas grande différence hormis la couleur de sa peau et en plus il semblerait que l'avant-Joker sait ce qu'il va lui arriver lorsqu'il tombe dans les produits chimiques parce que maintenant le Joker il sait tout même lorsque ça ne fait pas de sens. Et puis si Snyder semble aimer mettre de l'horreur dans Batman, je me demande pourquoi il a pas utilisé l'Épouvantail, cela me semblerait plus pertinent que de faire du Joker le nouveau Freddy Krueger. Un autre truc énervant, mais là c'est la faute du reboot est que Bruce n'est Batman que depuis 6 ans et il y a déja eu 4 Robin dont la plupart sont maintenant des adultes et il a un fils d'une dizaine d'année environ. Bon pour pas être seulement négatif, j'ai bien aimé la seconde partie de l'An Zéro avec le Sphinx et aussi la plupart des histoires du tome 6. Je pensais alors que j'avais enfin accroché sauf que les 3 tomes suivants m'ont généralement ennuyé. Je comprends que certains aiment, mais moi c'est pas une vision de Batman que j'aime.
J'ai lu cette série dans les Batman Saga (mensuels) et je dois dire que j'ai bien apprécié. Le scénario fait partie des meilleurs histoires de Batman et le dessin est très bon (on voit que les comics ont fini par évoluer, finalement). Cela étant dit, il y a certains défauts comme le soulignent certains avis précédents. Le fait que Batman semble très jeune ne colle pas vraiment avec le fait que Dick Grayson soit maintenant Nightwing, les autres anciens robins et qu'il ait un enfant, etc. Et aussi le fait que puisqu'il s'agit d'une série hebdomadaire et non d'une histoire complète à la base, il y a comme dans beaucoup d'autres comics de la redite et des descriptions qui peuvent rebuter ceux qui n'ont pas l'habitude. Et c'est même pour ces raisons que je ne conseillerais pas la lecture à des personnes ne connaissant pas déjà l'univers du chevalier noir car les nombreux personnages peuvent être déroutants de prime abord. Malgré tout, avec un dessin qui va du bon au spectaculaire et un scénario bien ficelé dans l'ensemble, c'est très agréable à lire pour les fans. Bref, le relaunch DC "New 52" aura eu du bon et notamment avec ce très bon run.
C'est par le run de Greg Capullo que j'ai découvert les comics Batman, et depuis, mon portefeuille me maudit ! Je suis devenu un grand fan de ce chevalier noir. Après avoir lu une centaine de comics batman, les deux premiers tomes de ce run ( la cour des hiboux et la nuit des hiboux) font sans aucun doute partie de mon top 10 des batman. J'ai tout d'abord été séduit par les magnifiques dessins de Capullo. Ils sont très propres et retranscrivent parfaitement les émotions sombres de Gotham. Ensuite, j'ai adoré le fait que l'histoire se concentre sur le passé mystérieux de Gotham, sur la famille Wayne. Le lore est vraiment fort développé dans ce dyptique et ce dernier apporte vraiment quelque chose de neuf dans l'univers de Batman. Enfin, quel plaisir de découvrir un nouveau méchant. Et cerise sur le gâteau, encore maintenant le doute plane sur ses origines, le lecteur peut extrapoler et fantasmer. Les tomes d'après sont de qualités inégales. On a du excellent avec le deuil de la famille, qui nous présente un Joker jouissif, volant la vedette à notre Bruce et rendant fou notre héros. Mais on a aussi du moins bon avec "la relève" où certaines idées un peu farfelues sont développées (Gordon qui devient un Batman, dirigé par le gouvernement par exemple). Et on a du intéressant avec une revisite des origines de Batman dans " l'an zéro". De manière générale, je conseille fortement ce run à tous les amateurs de comics et je pense que c'est également une excellente porte d'entrée, si ce n'est la meilleure, pour ceux qui n'ont encore jamais lu de comics Batman et qui ne savent pas par quoi commencer. 4 étoiles MAUPERTUIS, OSE ET RIT !
Je ne suis pas un grand connaisseur de Batman et c'est sur les conseils d'un ami que j'ai entrepris d'essayer de boucher ce trou dans ma culture. Très franchement je suis plutôt satisfait de mes découvertes dans l'univers de Gotham, même si j'avoue qu'il est parfois difficile de s'y retrouver pour le néophyte. J'ai bien aimé cette Cour des hiboux, côté dessin je trouve que Capullo fait vraiment un très bon boulot avec un trait anguleux vraiment sympa accompagné d'une colorisation également parfaite et puis en cours de route mon plaisir a vraiment été gâché par le changement de dessinateur. Non pas que celui ci soit mauvais mais ce n'est pas le même style, traits gras et couleurs plus flashy, que je n'ai pas franchement apprécié. Au niveau de l'histoire j'ai apprécié le fait que Batman ne soit pas un surhomme, l'intrigue le montre en position de faiblesse tant physique que psychologique. Un bon point pour moi et s'il n'y avait pas eu ce changement de dessinateur en cours de route ma note aurait sans doute été plus élevée. Pour une de mes premières approches de Batman je ne suis pas déçu. Majoration après lecture du dernier tome: Cet album fait suite à "La cour des Hiboux" et "La nuit des hiboux". Disons le tout de go, ça décoiffe! Notre vilain préféré de retour d'une longue absence revient sur le lieu de ses méfaits. Il a cependant subi un gros changement puisqu'il est passé entre les mains du taxidermiste qui s'est amusé à lui façonner un nouveau visage parfaitement hallucinant. Mais le joker aimerait bien retrouver sa vieille dépouille de visage qui est gardée au commissariat de Gotham. Qu'à cela ne tienne, une attaque sur le central et tout rentre dans l'ordre. Le Joker est maintenant fin prêt pour assouvir se vengeance contre Batman. Son but?, capturer la "famille" du héros masqué. C'est ainsi que Nightwing, Batgirl, Robin, Redhood, Red Robin sont kidnappés afin de jouer un rôle macabre dans la farce du Joker. Depuis longtemps nous savons que le Joker est un individu dont l'égo est assez surdimensionné, aussi son grand œuvre dans cette histoire ne saurait être parfaite sans qu'il y convie les supers vilains que sont le Pingouin, Double face et le Sphinx. en victimes collatérales le fidèle Alfred et la commissaire Gordon ne seront pas épargnés. Scénario parfaitement huilé, diabolique avec n'en déplaise aux puristes, un Joker hallucinant et halluciné qui vole largement la vedette à notre Batman. La noirceur du vilain, certes enrobé dans son humour si particulier, en devient lumineuse de machiavélisme. Je ne reviendrais pas à ce propos sur le débat qui agite le monde et qui affirme souvent que le méchant est souvent bien plus intéressant que le gentil mais ici c'est un véritable plaisir. Nous adorons détester le Joker! Pour renforcer ce que je dit j'invite les futurs lecteurs à se pencher avec attention sur la partie finale lors de la confrontation entre Batman et le Joker est à ce niveau fort éclairante. Il y a peu j'avais avisé "La cour de Hiboux" et mon pas mal se transforme donc, je passe à la note supérieure sans remord tant les petits reproches que j'avais apporté n'ont plus lieu d'être; cela me permet d'enchainer sur le dessin de Greg Capullo parfaitement maitrisé qui nous offre des cases magnifiques dans un découpage somptueux. A lire absolument et si possible dans l'ordre indiqué plus haut.
Un ami décidé à me faire découvrir le monde des comics m'a prêté la Cour des hiboux, premier tome de cette récente série de Batman. Résultat mitigé... Oui, certes, le dessin de Capullo est impressionnant de maîtrise. Les planches sont travaillées comme un tout, au point de perdre parfois en lisibilité. J'afficherais bien certaines sur mon mur, mais les lire devient une épreuve ! Les cases sont si chargées, avec des enchaînements de gros plan ou d'angles inhabituels, qu'il faut s'y reprendre à deux fois pour être sûr d'avoir tout compris. Et le scénario ? Personnellement, j'affecte un coefficient de 40 aux personnages, 40 au récit, 20 au dessin. C'est dire l'importance du travail du scénariste. Eh bien je ressors très déçu de cet album. Personnages hiératiques et creux, avec le coup classique du traumatisme d'enfance rejoué en flashback, qui permet de leur donner un semblant d'épaisseur. Les dialogues sont maladroits, les émotions absentes. Et Batman, qui s'en prend plein la figure du début à la fin, n'a pas l'air d'en garder beaucoup de séquelles. Quant à l'histoire, elle réussit l'exploit d'être à la fois simplette, un peu inepte et confuse ! Les rebondissements sacrifient toute vraisemblance à l'exigence du coup de théâtre permanent. Même les motivations des méchants restent un mystère pour moi à la fin du tome. La suite de la série me fournirait peut-être quelques clés, mais j'ai eu tant de mal à finir l'album que je n'aurai pas le courage de poursuivre ! Bref, bof.
Graphisme magnifique, encrage et coloration au poil, scénario efficace, et le personnage de Batman que l'on voit poussé dans ses derniers retranchements... Quelle lecture mes aïeux !!! en l'achetant je pensais que la Cour des Hiboux allait juste me permettre de tenir en attendant quelque chose de plus substantiel (genre Gotham Central) mais, en fait, j'avais ce quelque chose entre les mains. Je trouve juste dommage ce passage où les ergots attaquent Batman dans son repère (qui est dans la Nuit des hiboux) gaché par le changement de dessinateur, le trait étant un peu trop gras et approximatif pour coller au reste de la série. Cela faisait longtemps que je n'avais pas senti Batman autant dans le pétrin, et honnêtement il y a de quoi, la Cour des Hiboux étant le croquemitaine de notre croquemitaine vengeur masqué. Et voir Batman en proie, c'est pas tous les jours que ça arrive et faut bien avouer que cette Cour des Hiboux est largement de taille contre batou. Comme je l'ai dis en première ligne, pas grand chose à reprocher quand on aime le genre et des effets de mise en pages plutôt efficaces. Mon grand regret étant de ne pas avoir pu l'acheter en noir et blanc pour les 75 ans de mon croquemitaine préféré :(
Passions déchainées. Et pour cause, il ne s’agit ni plus ni moins que de sang neuf injecté dans un mythe qui n’est pas prêt de s’écrouler mais dont les ouvrages classiques commencent gentiment à dater. Quid donc de ce nouveau Batman ? Ce qui saute immédiatement aux yeux outre le fait que les dessins sont de toute beauté, une constante graphique dans l’univers sombre de Gotham City, c’est que Bruce Wayne a désormais le look d’un jeune trentenaire dynamique en lieu et place du quadra playboy mur et aigri tel qu’on le connait depuis de nombreuses années. Soit, le second pari réussi de cet album c’est de proposer un univers bien rodé à de nouveaux lecteurs avec des repères immédiatement identifiables… Si on assimile le fait que Bruce Wayne est le Batman, qu’il est riche, secondé par Dick Grayson, ancien Robin devenu Nightwing et que ses principaux interlocuteurs se prénomment respectivement Alfred et le commissaire Gordon, alors on dispose de suffisamment d’éléments pour naviguer dans les eaux troubles avec un nouvel ennemi inédit et mystérieux. La lecture est du coup plutôt aisée et ne se perd pas dans les méandres de la « Nouvelle Aube » ou les dédales d’un Grant Morrison. Et pourtant il subsiste pas mal de dédales dans cette version qui joue avec le support même du comics mais je vous en laisse la surprise au fil de la lecture…. Si le récit est parsemé d’artifices et de leurres (voire les premières pages faussement déstabilisantes par un jeu de masques très réussi, il n’est pas exempt de défauts avec une action rondement menée mais non dénuée d’invraisemblances comme la chute de Wayne dans le vide…. Dans un Batman on n’est pas à quelques exagérations de plus ou de moins et je suis bon public mais les « pirouettes » scénaristiques dont parlent les autres posteurs sautent effectivement aux yeux… Dommage… L’autre souci, c’est qu’il y a finalement peu de nouveautés et qu’on rentre assez rapidement dans les rangs… Ce qui m’a toujours le plus attiré dans les enquêtes du Caped Crusader, c’est le côté mélancolique du personnage ou même de la ville que l’on perçoit plus facilement ailleurs.. Ok le coté « déjà vu » du personnage est désormais incontournable après autant d’années de bons et loyaux services et je déplore peut-être une lassitude vis-à-vis d’un personnage qui devrait prendre enfin la retraite qu’il mérite mais l’ensemble est de très bonne facture et se laisse agréablement lire comme le sérial de luxe qu’il prétend être (à juste titre). Je n’en recommande pas spécialement l’acquisition car ne le trouve nullement indispensable mais la lecture est très agréable donc pourquoi pas mais la série risque d’être longue, très longue…
Un nouvel ennemi s'attaque à Batman, ennemi semblant être à la solde d'un groupe clandestin et secret nommé la Cour des Hiboux, mais Bruce Wayne ne croit pas une seconde à leur existence. Selon lui, c'est une légende de Gotham, une comptine, et il connaît si bien, si intimement sa ville que si ce groupe existait, il l'aurait trouvé. Ce qui ne l'empêchera pas de prendre cher. La première partie (The Court of Owls) est efficace et intrigante. L'ennemi est insaisissable, ses attaques sont précises et pas loin d'être mortelles. Batman, la proie, est dépassé aussi bien physiquement que psychologiquement, et certaines trouvailles visuelles sont franchement pas mal, tout comme certains montages illustrent joliment le délabrement moral de notre héros. On regrette quand même que dans une page, les blessures semblent profondes et graves, et que la page suivante Bruce Wayne soit à nouveau en pleine forme. On se dit que tout va un peu trop vite et que Batman récupère trop facilement. Puis vient la deuxième partie (The City of Owls), beaucoup trop tournée vers l'action. Le mystère est mis de côté, l'ennemi terrible perd des plumes au profit d'un Batman normalement diminué, qui est en réalité plus fort que jamais. Tout s'inverse sans justification solide, juste parce que c'est maintenant au héros de gagner, alors que normalement la situation a empiré. Tout devient d'un coup trop facile. Ce n'est pas franchement crédible ni même intéressant, et les scènes d'action sont tellement poussives qu'on s'ennuie. Là-dessus, le dessinateur change, et on passe régulièrement du trait virtuose de Capullo à un dessinateur quelconque, quand ce n'est pas un autre avec un style au trait gras pas laid du tout, mais pas raccord avec le reste. Ça reste une lecture divertissante et agréable, bien que les réponses soient faibles. On apprendra finalement peu de choses sur cette hypothétique cour des hiboux et surtout, cette histoire avait en elle le potentiel d'une intrigue bien plus noire et bien plus psychologique. Bien que de prime abord cette nouvelle intrigue se présente comme un indispensable de l'univers Batman, son traitement manque de profondeur et de pertinence, ce qui au final la range dans le divertissement sympathique mais décevant. Il y avait mieux à faire, et c'est le principal reproche qu'on puisse lui faire.
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