Batman - La Nouvelle Aube (Batman: The Dark Knight - Golden Dawn)

Note: 2.11/5
(2.11/5 pour 9 avis)

"Batman - La Nouvelle Aube" est la 1ere partie de la série "The Dark Knight" imaginé par David Finch. Depuis le relaunch de DC Comics, ce titre peut s'apprécier en tant que one shot ou prologue de la série Batman Le Chevalier Noir.


Batman DC Comics Diables et démons Super-héros Univers des super-héros DC Comics

Lorsque le premier amour de Bruce Wayne est kidnappé par le mortel tandem du Pingouin et de Killer Croc, Batman se lance à sa recherche, prêt à tout pour les arrêter ! Mais, tapies dans l'ombre, des forces surnaturelles attendent également de jeter leur dévolu sur la jeune femme, plaçant Batman cornes-à-cornes avec le démon Etrigan, dans une lutte qui dépasse bien vite ses simples talents de détective. "Batman - La Nouvelle Aube" est une histoire complète, mais une suite est en cours aux USA, dans la série "The Dark Knight" imaginé par David Finch

Scénario
Dessin
Couleurs
Traduction
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 09 Mars 2012
Statut histoire One shot (Se poursuis dans "Batman Le Chevalier Noir") 1 tome paru

Couverture de la série Batman - La Nouvelle Aube © Urban Comics 2012
Les notes
Note: 2.11/5
(2.11/5 pour 9 avis)
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27/06/2012 | dut
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Par Présence
Note: 4/5
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Batman selon David Finch - Ce tome contient les épisodes 1 à 5 de la série Batman - Dark Knight, parus en 2011, écrits par David Finch, dessinés par Finch (numéros 1 à 3), Jason Fabok (épisodes 4 & 5), encrés par Scott Williams (épisodes 1 à 3), Richard Friend (épisode 3), Batt & Ryan Winn (episode 4), Greg Adams, Batt, Ray McCarthy, Jaime Mendoza, Sal Regla (épisode 5). La série à redémarré dans le cadre de l'opération New 52 (suite au crossover Flashpoint) avec Terreurs nocturnes (épisodes 1 à 9 d'une nouvelle série débutée en 2011). Ces derniers temps, Bruce Wayne repense à la relation qu'il entretenait avec Dawn Golden quand ils étaient encore enfants, sous la surveillance de leurs parents. Elle lui avait perdu son cerf-volant. Il faut dire qu'elle vient d'être enlevée et que la police est sur les dents (surtout le commissaire Gordon et Harvey Bullock). Mais Batman a sa petite idée : Killer Croc a repris du service il y a peu de temps et il est peu probable qu'il soit innocent. Après un interrogatoire musclé, il crache le morceau : il travaille pour Oswald Cobblepot. Pendant ce temps là, les SDF de Gotham ont remarqué que plusieurs des leurs avaient disparu sans laisser de trace, comme enlevés par un psychopathe. Et Mira (une jeune fille) a réussi à s'introduire dans la Batmobile. Fin 2010, les responsables éditoriaux de DC claironnent haut et fort que David Finch a quitté Marvel, qu'il a rejoint DC Comics et qu'il va écrire et dessiner une nouvelle série mensuelle dédiée à Batman. 1 an plus tard, David Finch a écrit 5 épisodes et en a dessiné 3. La majeure partie des lecteurs s'est sentie flouée car ces 5 épisodes peinent à former une histoire complète. À la relecture à tête reposée, il s'avère que le scénario de ces épisodes n'est pas très dense, mais qu'il ne présente pas d'incohérence flagrante. David Finch écrit pour pouvoir se faire plaisir en temps que dessinateur, réaliser de belles planches mettant en valeur Batman dans toute sa splendeur, toute sa force virile, et son aspect gothique, face à des méchants très méchants. le lecteur sent bien que les responsables éditoriaux lui ont lâché la bride et ne lui ont pas imposé de s'en tenir rigoureusement à la continuité. Par exemple, l'interprétation du Pingouin s'éloigne du de la version alors en vigueur (magouilleur trafiquant d'informations, sous une façade respectable de responsable d'un club huppé Iceberg Lounge dans le port de Gotham). Finch en fait un individu grimaçant avec une dentition de requin, qui se fait briser plusieurs membres par un Batman qui frappe d'abord et pose des questions après. Effectivement côté histoire, le lecteur a droit à une tranche d'une épaisseur normale pour 5 épisodes (pas d'étirement inhabituel de l'intrigue) qui met en place un enlèvement d'une nouvelle femme ayant connu Bruce Wayne dans le passé (point de départ assez classique pour Batman, avec deux possibilités pour la nouvelle venue : soit elle s'installe durablement dans les personnages secondaires, soit son espérance de vie est très courte). Batman se montre très sombre, très intense, polarisé sur sa recherche, plus violent et expéditif que d'habitude. Parallèlement Finch met en place deux intrigues secondaires qui arrivent plus ou moins à leur terme : l'une concernant une possession surnaturelle de Ragman (Rory Regan, personnage occulte secondaire) avec apparition d'Etrigan (Jason Blood), l'autre concernant Mira la demoiselle piratant la Batmobile. Enfin si, elles arrivent peut-être à leur terme, mais alors de façon très abrupte pour tout boucler avant la relance de New 52. Et le lecteur occasionnel de l'univers partagé DC se posera bien des questions sur le personnage de Blaze. Ce n'est pas la première fois qu'il prend l'envie à un dessinateur d'enfin pouvoir écrire des histoires qui soient à la hauteur de son talent artistique (c'était le crédo de McFarlane, Larsen, Liefeld et consort lorsqu'ils ont créé Image Comics). Et le lecteur qui a acheté ce tome est avant tout venu pour s'en mettre plein la vue avec les dessins de Finch qui avait déjà redonné un sacré coup de jeunes aux (New) Avengers. Dès les premières planches, David Finch en met plein la vue, avec un niveau de détails obsessionnel, une belle demeure, un grand parc, une pièce intérieure cohérente avec la forme extérieure du bâtiment, et un petit coté Jim Lee, renforcé par l'encrage de Scott Williams (l'encreur attitré de Jim Lee). La première apparition de Batman s'effectue sur un dessin occupant deux tiers d'une double page, sous la pluie qui ruisselle et dégouline, dans la nuit avec des ombres apportant tout le mystère nécessaire, avec un grand soin apporté aux textures des façades et canalisations. Et quand Batman s'élance pour tomber sur Killer Croc, il ne manque pas un seul motif sur le dessous des semelles de Batman. le combat est brutal et les coups portés font mal. Il est également chorégraphié avec intelligence, c'est-à-dire que le lecteur peut inscrire l'enchaînement de coups portés dans une suite logique. Il n'y a qu'une bizarrerie : la pâle lumière jaune émise par l'insigne de la chauve-souris sur la poitrine de Batman. de ce point de vue, et tout au long des 3 épisodes qu'il illustre, le lecteur en a pour son argent : des dessins vifs, sérieux, premier degré, détaillés, mettant en valeur ce héros sombre et intense. Lorsque Fabok remplace Finch, les dessins perdent peut-être un peu en intensité et en détail (et encore ce n'est pas si visible que ça). Ils perdent peut-être un peu en dramatisation par le cadrage. Mais la transition se fait sans hiatus, dans une continuité de style très impressionnante. Évidemment il est tentant de comparer La nouvelle aube à Silence de Jeph et Jim Lee. le premier constat est que le scénario n'est pas de même niveau. Jeph Loeb avait imaginé une vraie histoire sur 12 épisodes, mettant en scène les supercriminels les plus connus de Batman pour que Jim Lee puisse avoir l'occasion de les dessiner tous. L'ambition de Finch est moins importante, d'autant (qu'à la réflexion) il a certainement dû les revoir à la baisse et tout boucler en 5 épisodes (d'où un sentiment d'incomplétude pour les intrigues secondaires liées à Mira, à Etrigan et à Ragman). Sur le plan visuel, David Finch n'est pas Jim Lee, mais il soutient la comparaison sans rougir et son Batman en impose, la ville de Gotham est palpable, les autres personnages dégagent une forte présence. Il a apporté une touche personnelle à son costume avec cet ovale luminescent, des gants munis de renforts, une étrange coquille de protection au niveau des bijoux de famille et une ceinture plus high-tech. Ses versions d'Etrigan et de Ragman sont plus traditionnelles.

12/08/2024 (modifier)
Par Ro
Note: 2/5
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La Nouvelle Aube s'entame comme un récit de Batman assez standard dans le style de ce qui est paru depuis la Renaissance DC de New 52, à partir de 2011. C'est un style sombre, au dessin réaliste, où Batman est souvent confronté à plus fort que lui et à la difficulté du terrain et de l'environnement de Gotham. Cette fois-ci, Bruce Wayne, reprenant depuis peu son costume de Batman après que Dick Grayson l'ait temporairement remplacé, est obsédé par l'idée de retrouver une jeune femme, Golden Dawn, qu'il a connu étant enfant et qui a mystérieusement disparu. Même si on ne sait rien de cette femme sortie d'on ne sait où et que ça surprend de voir soudain Batman tellement intéressé par elle, la première moitié de l'histoire n'est pas mal et plutôt bien menée. Le dessin est soigné et de belle qualité. Puis ça commence à tourner un peu en eau de boudin quand des forces démoniaques font leur apparition, avec l'implication notamment d'un vieux personnage de l'univers DC, le démon Etrigan. Mais pour le moment, l'intrigue restait intéressante même si pas des plus captivantes. Par contre, tout l'intérêt du récit est détruit par une fin complètement bidon. En 4 pages, on passe d'une situation complexe et quasi inextricable pour Batman, à une victoire complètement sortie du chapeau, où l'un des gros problèmes est réglé par une ellipse sans même qu'on sache comment exactement, et l'autre problème est réglé d'un claquement de doigt sans aucune crédibilité. C'est simple, c'est comme si le scénariste avait une assez bonne histoire mais aucune idée de comment la terminer, ou alors qu'on lui a dit "coco, on n'a plus de budget, tu vas me terminer ton histoire en 5 pages et on passe à autre chose !". Ça gâche complètement cette lecture que, du coup, je déconseille.

19/09/2014 (modifier)
Par Jetjet
Note: 2/5
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Je dois bien le concéder dès le début de cet avis, j’étais relativement bien parti pour noter ce « one shot » de Batman par 3 étoiles mais après réflexion je vais rejoindre la majorité de mes petits camarades… Pourtant avec une aussi jolie couverture et la promesse par l’éditeur d’une aventure complète (dixit le 4ème de couverture et les nombreuses informations filtrant sur ce mystérieux titre lors de sa parution), tout partait sous les meilleures auspices avec un début prometteur, une aventure policière avec le Pingouin et Killer Croc et l’entrée par la grande porte d’un joli amour de jeunesse de Bruce Wayne dans son enquète actuelle… Finch a également de l’or entre ses doigts avec un trait presque gothique qui sied à merveille l’univers du Caped Crusader tout comme ses personnages à la fois familiers et également terriblement expressifs mais boum patatras la seconde partie s’embarquant vers des enjeux qui n’en sont plus rééllement et avec des créatures fantastiques pouvant trouver leur place dans le Bat-univers mais aux desseins si rapidement expédiés qu’on se contrefiche complètement de l’issue finale rapidement envoyée alors que d’autres questions restent en suspens (la petite voleuse de la batmobile et l’avenir professionnel de Gordon remis en cause par un jeune officier pénible)…. Alors « What the Fuck ? » que s’est-il passé ? Et bien ce n’est pas si compliqué à comprendre car ce « Nouvelle Aube » n’est pas rééllement un One-Shot mais le prologue de la série « The Dark Knight » dont on nous invite clairement à lire les publications en lieu et place du traditionnel mot « fin » censé s’inscrire à la dernière page…. Mais même sans cela et malgré quelques pages que je trouve tout simplement superbes (voir l’attaque du Batman par une horde de créatures de la nuit escaladant un immeuble dans une ambiance toute burtonienne) et une clémence de ma lecture du moment (on n’aime guère trouver de défauts aux livres qu’on a chouchoutés sans les lire depuis longtemps dans sa bibliothèque), il m’est impossible d’y laisser un avis favorable tant l’ensemble me parait aussi déséquilibré qu’anecdotique… Batman a beau être toujours un peu rengaine avec Alfred lui faisant la morale ou les évènements qui le dépassent un temps pour mieux les résoudre par après, il convient à un moment de lui donner un minimum de cohérence dans ses pérénigrations. Et là ce n’est clairement pas le cas. Quitte à lire un Batman clairement surnaturel mais novateur, je vous recommande vivement de lire la trilogie Batman contre Dracula bien plus fun et cohérente que ce prologue qui vous laissera peu de souvenirs positifs en tête…. Au moins ce « one-shot » m’évitera de me lancer dans « The Dark Knight » du même Finch et rien que pour cette mise en garde je lui laisse les deux étoiles que seul son joli graphisme sauve du marasme total.

02/09/2013 (modifier)
Par Gaston
Note: 3/5
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2.5 Une histoire de Batman qui n'a rien de vraiment exceptionnel, mais qui se laisse lire. Je n'ai pas de problème avec des éléments surnaturels dans une histoire de Batman si c'est bien utilisé et je trouve qu'ici c'est le cas. J'aime bien le fait qu'Etrigan soit utilisé car j'aime beaucoup ce personnage, mais j'avoue l'avoir vu en meilleure forme. C'est aussi le cas pour Batman. Il manque de charisme dans cette histoire si bien que parfois j'ai eu l'impression que je lisais une histoire d'Etrigan avec Batman comme guest star alors que c'est censé être lui le héros de l'album !

14/01/2013 (modifier)
Par Erik
Note: 1/5
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Ce Batman commence très bien pour finir en n'importe quoi car cela part en vrille. Du coup, la déception est immense surtout lorsqu'on avait mis ses espoirs dans cette nouvelle aube. En effet, l'idée de départ était alléchante. Cependant, l'apparition des démons a fait perdre toute crédibilité à cette oeuvre. Je n'ai absolument pas été convaincu par le côté fantastique cette histoire. Par contre, le graphisme est de toute beauté. Cela ne suffit malheureusement pas. Est-ce pour autant la fin du monde ? Sans doute pas.

21/12/2012 (modifier)
Par JJJ
Note: 2/5

Au vu des avis précédent, cher lecteurs vous aurez compris que ce Batman ne sert pas à grand chose, à part avoir tous les titres Batman parus chez Urban il n'y a que peu d'intérêt. La série regorge de bons, moins bons et mauvais moments, là on est clairement dans un mauvais moment, on se demande pourquoi cette histoire mérite une parution en album dans nos vertes contrées, enfin bref... A la limite cet album peut servir de transition, peut servir de prétexte à mettre en scène le "vrai" Batman pour fêter son retour mais... Non en fait, je ne vois pas de vraie raison à son existance. Une enquête parmi tant d'autres, des méchants qui font le strict minimum comme Killer Croc ou qui passent pour des abrutis, loin de leur niveau habituel, n'est-ce pas le Pingouin ? Bon ok, le Pinguouin est toujours un peu abruti mais quand même... Et quand on voit Etrigan c'est le bouquet, il m'a carrément fait de la peine. L'histoire part un peu dans tout les sens, au départ un banal kidnapping qui multplie les pistes, le thème ? Un polar qui tourne à la farce occulte avec un Batman musclé qui se demande aussi ce qu'il fait là... Vraiment réservé aux complétistes, loin du niveau de La Cour des Hiboux par exemple qui parait actuellement dans Batman Saga du même éditeur (et aussi en album je crois). Fan de Batman, vous pouvez éviter... pour moi c'est un loupé dans l'excellente collection proposée par Urban. JJJ

04/12/2012 (modifier)
Par Gaendoul
Note: 1/5
L'avatar du posteur Gaendoul

Très mauvaise histoire de Batman que cette "nouvelle Aube" (new Dawn, jeu de mot sur le prénom de la jeune fille dont il est question dans ce... truc). Alors le début du comic est plutôt correct même s'il faut une bonne culture batmanesque pour s'y retrouver mais hélas le tout part très rapidement en délire avec des personnages issus d'oeuvres qui me sont totalement inconnues: des forces démoniaques qui ne collent pas vraiment avec l'univers de Batman. Même si batman a pour habitude de cotoyer super vilains et super héros, c'est en général plus réussi. Comme quoi il faut se méfier des sorties Urban Comics, il y'a du bon et du moins bon. Si vous cherchez une bonne histoire de Batman sortie récemment, rabattez vous plutôt sur Batman - Sombre Reflet. A éviter.

24/08/2012 (modifier)
Par Tomeke
Note: 1/5

Aie, ouille... C'est quoi ça ? Cela commence bien, très bien même et puis dès la moitié de l'album, ça part en vrille. Non mais franchement, c'est quoi ces monstres maléfiques? Les auteurs oublient-ils qu'il est parfois bon d'introduire un tantinet ses personnages ? Là, rien, aucune explication... Moi, ça me dérange parce que la suite devient limite indigeste et ce n'est pas la carte graphique de l'album - classique mais réussie - qui relève ce one-shot. En conclusion, pour moi, ce fut plutôt Batman - la nouvelle daube...

27/07/2012 (modifier)
Par dut
Note: 3/5

Difficile de faire une critique de cet album sans trop spoiler car l'histoire est assez dense et courte (même si on sait que David Finch a prévu une suite, elle est je crois en train de sortir en ce moment aux USA). Le début semble assez classique, Batman enquête sur la disparition de son 1er amour, et ça va le mener vers deux méchants bien connus (Killer-Croc et le Pingouin). Jusque là, rien de bien extraordinaire, c'est efficace, j'aime bien. La fin part un peu plus dans le mystique/fantastique, et la j'accroche déjà un peu moins... A voir si dans la suite, ça part dans la même veine ou pas. Pourquoi je parle beaucoup de suite alors que l'histoire semble se terminer à la fin du tome ? Et bien parce que la fin est très ouverte, et aussi car, outre justement cette fin très ouverte, il y a aussi un début d’intrigue à peine effleuré qui concerne le commissaire Gordon. Donc forcément, on veut une suite ! EDIT : une suite arrive en VF, il s'agit de Batman - The Dark knight qui fait parti le relaunch DC et qui sort en octobre chez Urban Comics dans la collection DC RENAISSANCE Graphiquement ça tient bien la route, les 3 premiers chapitres sont dessinés par David Finch et les 2 derniers par son élève Jason Fabok, perso j'ai pas vu de différence... A noter toujours un beau travail d'Urban Comics (non je n'ai pas d'actions chez eux) avec une belle édition. La frise chronologique au début de chaque tome est une bonne idée, ça permet de bien se repérer parmi les grand évènements de l'univers DC.

27/06/2012 (modifier)