Mona Agent X
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Mona est une starlette de télé réalité qui essaye de se maintenir dans le ShowBiz. Elle y subit divers revers dans ce milieu pas très net. Elle devient alors un agent X...
Auteurs italiens Hard & Soft, d'un érotisme à l'autre Les petits éditeurs indépendants
La télé réalité, c'est bien, mais ça ne dure qu'un seul temps, surtout quand on se fait doubler en beauté. Mona, bimbo plutôt "pompe à vélo", l'apprendra à ses dépends, même si elle a su faire fonctionner (un peu) son cerveau, ce qui est rare dans cette confrérie ! Et pour avoir les ambitions de ses rêves, il faut de l'argent. Hélas pour elle, Mona reste un tantinet idéaliste (étonnant, non ?) et refuse de montrer trop l'intimité de sa plastique (ah bon ?), ce qui ne lui facilite pas les choses (bé non !). Le Prince Charmant viendra-t-il frapper à sa porte ? Si oui, comment ? Quelles félicités (ou trahisons) découvrira notre z-héroïne héliumisée ?
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Editeur
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Genre
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Public
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Type
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| Date de parution | 10 Novembre 2011 |
| Statut histoire | Série abandonnée 1 tome paru |
Les avis
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Je serais beaucoup moins sévère que l'avis précédent. Evidemment on ne s'attend pas à ce que ce genre de série postule pour le prix Goscinny. Toutefois j'ai trouvé que Hopkins avait construit un récit qui équilibre les scènes classiques, les soft et explicites en fonction des situations. Il y a même une pointe d'humour puisque la scénariste prête son patronyme à la charmante Mona. Dans une ambiance de TV réalité truquée puis d'images de People trafiquée pour en faire du porno, Mona se retrouve comme agent spéciale qui devra donner de son corps pour ses missions. Cette dernière partie aurait mérité d'être plus développée car cela arrive de façon peu compréhensible. Une deuxième partie était envisagée par les auteurs mais elle ne verra probablement jamais le jour et je le regrette . Graphiquement je trouve le travaille soigné avec une belle ligne claire et des situations qui rappelle un peu des scènes de Manara en plus explicites. Perso je ne suis pas déçu de ma lecture même si j'aurais aimé quelques pages de plus pour admirer cette Mona en action d'agent. Un bon 3
Ben... Graphiquement, même si l'hélium est très présent sur la plastique des femmes, le dessinateur ne démérite pas, même si son coup de crayon reste assez commun et que l'informatique semble s'être invitée sur ses planches. Le scénario... le quoi ? Même Manara, le grand spécialiste du n'importe quoi côté histoire, reste un phare qui brille dans cette platitude. Vous me direz : c'est normal que ça soit si plat, ça compense les formes rebondies des protagonistes... Il paraitrait que Betty Hopkins est une grande spécialiste du milieu X de la côte ouest des USA. Peut-être, mais ça ne la transforme certainement pas en bonne scénariste... L'histoire est bancale, quant à la transformation de l'héroïne en agent X, c'est le pompon de l’éclipse (sic, non non, je sais ce que j'écris) ! Quant à la fin (mettons notre quota de Q) qui appelle une suite, j'ai des doutes sur une suite ! Tout ça pour quoi ? Pour que l'héroïne fasse dans la joie et la bonne humeur ce qu'elle refusait de faire lucrativement quelques pages auparavant... Bon... Ça se lit vite, ça s'oublie vite, et ça n'excite même pas... PS : j'ai mis 2 pour le graphisme car le dessinateur n'a pas trop démérité. Quant à la scénariste, je ferme les yeux par charité. PS2 : ma femme qui a lu la BD en pense la même chose, elle critique surtout le passage "Mona devient un agent X".
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