Une Aventure de Jacques Gipar
Jacque Gipar est journaliste chez France-Enquêtes, et qui aime le terrain. Toujours en quête d'un scoop, il sillonne les routes de France et croise sur celles-ci plus d'un dangereux malfrat. Une série qui rend hommage à la bande dessinée des années 60 en général, et à Gil Jourdan en particulier.
1946 - 1960 : L'Après-Guerre et le début de la Guerre Froide Automobiles Journalistes La BD au féminin Paquet
Jacque Gipar est journaliste chez France-Enquêtes, et qui aime le terrain. Toujours en quête d'un scoop, il sillonne les routes de France et croise sur celles-ci plus d'un dangereux malfrat. Une série qui rend hommage à la bande dessinée des années 60 en général, et à Gil Jourdan en particulier. Particularité de la série : chaque histoire permet aux auteurs de nous présenter une route française mythique.
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Date de parution | 21 Avril 2010 |
Statut histoire | Une histoire par tome (courts récits dans le 3ème tome) 11 tomes parus |
26/07/2012
| Mac Arthur
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Les avis
Je ne peux que souscrire aux avis négatifs. A l'origine, cette BD est née pour égayer les pages d'une série de fascicules centrés sur la route bleue et vendus en kiosques avec des modèles réduits. De ce fait, on comprend un peu mieux, avec un cahier des charges assez basique, pourquoi elle a autant de défauts (je vais y venir). Hélas, la mauvaise idée aura été de vouloir en faire une vraie série qui en est maintenant à son 10ème (et mauvais) tome! La BD se situe dans les années 50, avec des scénarios qui semblent dater de l'époque en question! Le personnage principal, journaliste-enquêteur, qui passe plus de temps à conduire qu'à se servir de son cerveau (80?s cases nous montrent le ou les protagonistes conduisant, le reste étant souvent dans des bistrots ou relais de la route). Forcément, quand les neurones sont sous-utilisées, cela donne un héros un peu idiot incapable de résoudre des "mystères" relativement simples, avec des adversaires aux motivations totalement grotesques (le premier tome nous met en scène un terrible gang de braqueurs de...camions transporteurs de vin). J'ai parlé voitures, je précise être un passionné d'automobile, ce pourquoi j'aime assez Mauro Caldi (en tout cas le premier cycle) qui mettait en scène de jolies voitures, mais qui n'étaient qu'un élément accessoire à l'intrigue. Or ici c'est l'inverse: la voiture est le point central d'une intrigue qui n'est qu'un accessoire, réduit à peau de chagrin. Les (mauvaises) séries les aventures de Betsy et les enquêtes auto de Margot de la même maison d'édition souffrent par ailleurs des mêmes tares. Niveau dessin, je lis ici et là que ce serait un hommage à Tillieux. Sauf que cela s'apparente à du plagiat, le tome 10 repompe même sans vergogne les tomes 3 et 12 de Gil Jourdan, la voiture immergée ainsi que pâtée explosive. La différence avec Tillieux est cependant profonde : Tillieux nous décrivait un univers réaliste disparu, avec une mise en scène quasi cinématographique, et des jeux de couleur restituant l'atmosphère. Ici c'est plat, sans âme. Oh ce n'est pas laid ou mal dessiné, c'est juste que rien ne se dégage des dessins. En plus, Tillieux nous donnait des personnages hauts en couleur (sauf Gil Jourdan lui-même), tandis qu'ici ils sont atones et ont des regards inexpressifs qui ne changent pas! Je ne plaisante pas, la moitié supérieure du visage est quasiment la même sur chaque case, seule la forme de la bouche évolue.
Tiens voila une série dont j'avais repéré le potentiel amusant depuis longtemps à mon arrivée sur BDT, et que je n'avais jamais pu lire jusqu'à présent, et il se trouve que j'ai pu en lire les 4 premiers albums, enfin ! L'ennui c'est de voir que malheureusement cette Bd est vilipendée et critiquée parce qu'elle est trop ceci ou pas assez cela, ça me désole profondément, et il était temps que j'arrive pour contrebalancer cette mauvaise moyenne. Alors oui bien sûr, on est proche de Gil Jourdan, mais je ne crois pas que les auteurs aient eu envie de la copier, c'est tout simplement un hommage, un chouette hommage même, il faut arrêter de comparer Gipar à Jourdan, l'une est un géant de la bande dessinée franco-belge, l'autre n'est pas une piètre imitation mais simplement une honnête Bd qui ne cherche qu'à divertir et à faire passer un bon moment de lecture. Sa seule ambition est de plaire, et je dois dire que ça m'a plu, dès le premier épisode sur la mythique N7 qui lance bien la série et qui donne le ton de l'ambiance qu'auront les albums suivants. Certes les intrigues sont un peu simplistes, mais moi ça ne me dérange pas, je n'ai pas envie de faire le difficile quand je tombe sur une Bd avec une ambiance et un dessin qui me plaisent, je me laisse porter par l'ensemble, et malgré le contenu classique des histoires, j'en retire des satisfactions. Le principe de la collection Calandre est d'associer l'automobile à des histoires fictives divertissantes et aventureuses, et je crois que le but est atteint ici, les auteurs brodent des intrigues autour des routes célèbres de France, je trouve ce concept original, et ça m'est égal si ça n'en fait pas une série très consistante, avec une orginalité narrative comme savait les concocter Tillieux dans Gil Jourdan, l'essentiel est que ça se lise avec plaisir, je me laisse donc embarquer avec les héros dans leurs voitures. Ce qui m'intéresse dans cette bd, c'est l'immersion nostalgique dans cette France des années 50 avec tous ces véhicules mythiques, j'aime le look rétro de ces voitures, de ces pompes à essence, de ces restos pour routiers, de ces enseignes voyantes, de ces bornes kilométriques, et de ces gros bahuts Berliet... et pourtant je n'ai pas connu ces périodes, je suis né après, dans les années 60, mais il se dégage de cette époque quelque chose d'indéfinissable qui me ravit. L'ambiance fifties et le dessin sont donc les atouts principaux de cette bande qui met bien en valeur le design des années 50, le dessin est une Ligne Claire sympathique que j'aime bien, il est dynamique et reconstitue avec précision les décors d'une France provinciale ou parisienne, et bien évidemment les véhicules, avec un festival de Frégate, Simca Ariane ou Vedette, Aronde, Panhard, 4CV Renault et compagnie... La bande me rappelle un peu dans le principe Léo Loden avec le modernisme de notre époque en moins bien sûr, mais les personnages, certaines situations et le dessin ont pas mal de similitudes. Voila donc du bel ouvrage avec une bonne petite série qui dégage un plaisir nostalgique, qui ne brille pas trop par ses personnages ou son humour qui reste moyen, mais le tout est très plaisant à lire et permet une bonne détente.
Je vais surfer sur les avis précédents. Il y a trop de scories pour cette série qui aurait pu faire beaucoup mieux et qui ne se contente que de moyen. Graphiquement, j'aime assez la ligne claire donc je ne suis pas bloqué. D'autant que c'est souvent un choix judicieux pour donner vie à une histoire 50's ou 60's. Sauf qu'au lieu d'avoir une ligne moderne à la Caroline Baldwyn ou précise à la B&M, on a ici droit à un dessin presque destiné à un très jeune public. D'autant que ça le trait est epais. Si les voitures et l'environnement d'époque reçoivent un traitement bien travaillé, les personnages sont eux succinctement croqués. 4 traits et hop, les yeux, le nez, la bouche. Cela rend le tout inexpressif à l'extrême. Le dessin devient plus old-school que les modèles type Jourdan qui étaient elles contemporaines de cette période. Si les divers véhicules sont bien rendus, les planches semblent travaillées pour en loger le plus possible. Ainsi des scènes de dialogue en intérieur sont entrecoupées de vues d'extérieur avec moultes camionnettes publicitaires et autres camions citernes de l'époque. Une impression de sur-abondance se dégage, comme si les auteurs n'en faisaient pas assez. Également comme si on avait affaire à une plaquette pub dont l'histoire n'est qu'un prétexte. Ajoutons à cela que les protagonistes nous donnent systématiquement les noms de voiture. Cetyes c'est la collection Calandres mais on est là pour lire une histoire... Et c'est là que le bat va encore plus blesser. Les enquêtes sont assez ridicules. Déjà parce que les motivations des coupables sont vaseuses. Ensuite parce que les indices sont "posés" ça et là comme un cheveu sur la soupe. Qu ils ne sont découverts que par inadvertance mais surtout que par un journaliste, les policiers, passés avant, sont bien trop nuls et imbus pour s'abaisser à enquêter (d'ailleurs il est étonnant de voir à quel point les gens parlent à un journaliste inconnu) . Les révélations des témoins sont cachées bien souvent (dites à l'oreille du héros). Et le tout sur fond de dialogues inutiles écrits en gros dans les bulles. Bref c'est sans intérêt. Les personnages aussi sont sans intérêt. Il n'ont pas de profondeur, souvent des réactions inappropriées. Les personnages principaux ne sont pas crédibles quant aux secondaires, ils ne servent à pas grand chose et semble être mis là comme les indices, pour pimenter l'ensemble mais sans justification vraiment nécessaire. Les auteurs nous indiquent en fin d'albums qu'ils ont travaillé également sur une route mythique française (on est loin de la 66). OK. Mais rien dans l'histoire ne justifie cela. C'est juste posé en plus dans un carnet de documentation complémentaire avec les données techniques des voitures, ce qui renforce encore l'aspect plaquette publicitaire. Dernier point et non des moindres, certaines paroles sont tout bonnement racistes (je pense ici à l'épisode avec les gitans). Et si les BD de notre enfance pouvaient expliquer certains de ces aspects car elles étaient contemporaines des faits et donc forcément impactées par un courant de pensée (coucou Herge), en 2013, on peut faire "d'époque" en se détachant de certaines pensées. Bref. En résumé, les auteurs arrivent à faire des bd plus datées et désuètes que les originales d'époque. Pas utile.
2.5 Un autre hommage à Maurice Tillieux et on est loin du génie du maître. Déjà, j'ai un petit problème avec le dessin. J'aime bien les décors, mais je trouve que les personnages manquaient de dynamisme. J'ai souvent eu l'impression qu'ils étaient inexpressifs et lorsqu'ils éprouvaient une forte émotion (du genre rigoler), ça me semblait manquer d'énergie. Quant au scénario, ça se laisse lire du moment qu'on n'est pas allergique à ce genre de récit, mais c'est pas très captivant. La plupart des récits manquent d'imagination et parfois je trouvais que ça manquait de naturel. Je pense que le principal problème est que comme souvent lorsque les auteurs essaient d'imiter un grand auteur reconnu avec un style personnel, ça ne marche pas parce qu'ils ne maîtrisent pas ce qui a fait la renommée de l'auteur en question (par exemple, comparez les rigolos de services chez Tillieux avec celui de la série). Peut-être que j'aurais mieux accroché si les auteurs avaient décidé de suivre une voie plus personnelle au lieu de faire du sous-Gil Jourdan. Bon, cela reste que ce n'est pas terriblement mauvais et que ça m'a fait passer le temps sans m'ennuyer, mais c'est clairement pas un indispensable et je ne pense pas relire un jour.
Mon Dieu ! Je suis atterré qu’on fasse encore des bd dignes des années 50. Toute la bd que je déteste dans son expression est ressuscitée parmi les morts. Je ne croyais pas que je reverrai cela de mon vivant. Les miracles négatifs sont toujours possibles. Les dialogues sont d’une platitude toute épreuve. On ne peut pas dire que la finesse sera la marque de fabrique. C’est comme tout d’ailleurs. J’ai bien compris que les voitures et notamment les anciens modèles et autres véhicules aujourd’hui de collection sont les véritables héros. Toutes les scènes sont construites autour d’elles que cela soit une course poursuite ou autre. Du coup, le scénario demeure assez classique et peu emballant. Par contre, j’ai bien aimé le dessin malgré la ligne claire. Je dois bien avouer que c’est de l’excellente ligne claire. Les détails ne sont pas absents des décors méditerranéens. Le charme essentiel va encore aux magnifiques véhicules bien dessinés. Les collectionneurs seront ravis ainsi que les nostalgiques d’une époque aujourd’hui disparue. Comme dit, il en faut pour tous les goûts et je respecte cela.
Mac Arthur a parfaitement résumé les atouts et les limites de cette série. Effectivement, les auteurs s'inspirent fortement de Gil Jourdan et font un gros effort pour restituer l'ambiance, les décors, les costumes et jusqu'aux idiomatismes des années 1950. Comme chez Tillieux, on sent chez eux une vraie passion pour l'automobile, les poursuites endiablées et les accidents spectaculaires. Notons tout de même que, pour sa part, Tillieux vivait dans les années 1950 et qu'il dessinait des voitures modernes dans un univers qui lui était contemporain. Néanmoins, les auteurs atteignent leur but et la nostalgie fonctionne. Mais la série pêche, sur deux points. • D'abord au niveau des scénarios… Le coup du journaliste-enquêteur plus malin que toutes les polices n'est pas neuf, mais je n'ai rien contre. En revanche, Jacques Gipar a davantage de chance que de talent ou de jugeote. S'il a comme capacité principale de conduire comme un pilote de rallye, il n'est ni Jules Maigret, ni Lemmy Caution et la manière dont il dénoue les intrigues est rarement convaincante. D'une façon générale, les personnages manquent tous de charisme et de profondeur. Par ailleurs, les dialogues sont plats et tirent souvent à la ligne. Exemple : Gipar arrive à l'hôtel à Saulieu (!), dialogue avec la réceptionniste : « – Bonjour mademoiselle, vous avez une chambre ? – Bonjour Monsieur, bien sûr… Voilà. Ici, vous serez très bien ! – Merci Mademoiselle ! – Ho ! Appelez-moi Julie – Bien ! Merci…, Julie ! »… Hormis le fait que Gipar drague avec la finesse d'un VRP, c'est de la littérature de CM2 ; on est loin d'Audiard ! Autre problème, l'humour est effectivement aux abonnés absents… C'est fort ennuyeux pour une série qui lorgne vers les classiques de la BD franco-belge. • Venons-en au dessin… Pas mauvais, dans le sens où les personnages sont correctement croqués (même s'ils ont un peu tous la même tête inexpressive et qu'on ne les identifie pas spontanément à cause de leur absence de personnalité). L'auteur est bon en ce qui concerne les véhicules (c'est d'ailleurs l'argument n°1 des éditions Paquet et de leur collection “Calandre”), mais ils semblent souvent flotter dans le décor. Quand aux décors, justement, leur rendu est très variable. Peu de plans larges, sauf quand il s'agit de montrer que la série est bien documentée (photos d'époque à l'appui à la fin des albums), le reste du temps, on cadre serré, on limite les détails. Le rendu général manque donc de finesse, comme si les planches étaient prévues pour une publication en petit format et qu'on les avait trop agrandies pour produire les albums. Pour résumer, au bout de six albums, la série n'a pas vraiment trouvé un rythme de croisière (ou alors c'est une croisière en barque), pire, elle s’essouffle. Comparer Les aventures de Jacques Gipar à Gil Jourdan, c'est mettre sur le même plan Le Deuxième Souffle (la version d'origine de Jean-Pierre Melville de 1966, pas le remake merdique de 2007 !) et un épisode de Louis la Brocante. Une série d'albums réalisés consciencieusement et pas plus mauvais que bien d'autres, certes, mais qui n'ont pas grand chose pour sortir du lot. Je leur donne un (petit) trois étoiles. Mais je n'en conseille pas l'achat, sauf aux nostalgiques inconditionnels des Simca.
Cette série dispose de plusieurs atouts pour plaire aux amateurs de franco-belge des années 60-70. A commencer par un trait vif et lisible, directement inspiré de l’œuvre de Maurice Tillieux (on est même encore plus proche du Gos période Gil Jourdan). Ensuite, il y a la structure de ces récits : une histoire par tome pour les deux premiers tomes, tandis que le troisième est un recueil de courts récits. Puis vient l’époque illustrée : les années 50. Enfin, le cadre : chaque récit se déroule sur une route française mythique. Tout pour plaire à l’amateur du genre que je suis… et pourtant… Pourtant deux problèmes vont survenir dans ma lecture. D’une part, le manque d’humour. Soit qu’il est oublié, soit qu’il est mal amené, l’humour présent dans cette série est insuffisant à me satisfaire. Problème d’écriture dans les dialogues ? Ellipses malheureuses ? Manque de charisme des seconds rôles ? Un peu de tout cela, alors que la base, elle, est bien là ! Le personnage central se voit en effet affublé d’un compagnon fainéant et voyou (à la manière d’un Libellule pour « Gil Jourdan »), victime toute désignée pour les gags visuels. Mais celui-ci n’est que très peu présent et n’a pas de sens de la répartie. Pour exemple, ce personnage se trouve à un moment obligé de s’expliquer avec la maréchaussée. L’occasion était belle pour une joute verbale mais au lieu de cela, les auteurs optent pour l’ellipse. Nous ne saurons jamais ce qui aura été dit et nous retrouverons ce malheureux personnage au sortir d’un institut psychiatrique, lieu où il fût amené, justement, à cause de ses propos… que nous devons malheureusement nous contenter de supposer très confus. Et à côté de ces personnages, c’est un peu le vide. Les seconds rôles occasionnels, lorsqu’ils ont du charisme, sont souvent bien trop sérieux. Ensuite, il y a les intrigues en elles-mêmes. Bien trop évidentes, bien trop prévisibles, bien trop faciles à résoudre (d’autant plus que le hasard fait souvent bien les choses). Un peu plus de fantaisie et d’originalité à ce point de vue serait vraiment bienvenu. Au final, voilà une série qui dispose d’un véritable potentiel, mais qui ne parvient pas à me convaincre. 3/5 quand même, pour la qualité de son dessin et le soin apporté aux décors (tant au niveau de l’époque que pour les lieux traversés). --------------------------------------------------------------------------------------------------------- Petit ajout après lecture du quatrième tome : Rien de changé sinon que cette enquête policière est moins évidente que les précédentes. Malheureusement, Thierry Dubois est à mes yeux tombé dans l'excès inverse, puisque son coupable me semble dépourvu de toute motivation valable (du moins pour le pousser aux crimes à répétition). Par ailleurs, si les premières histoires permettaient de présenter une route mythique, celle-ci nous propose une voiture tout aussi mythique : une Arronde. Mais, bon, comme pour les tomes précédents, cet élément fait plus partie du décors qu'il ne joue un rôle dans la construction de l'intrigue. Pour la qualité du dessin et le parfum vintage de la série, je demeure à "pas mal" mais cette série devrait encore progresser à plusieurs niveaux (intrigues plus prenantes, humour plus présent, évolution du personnage de Petit Breton qui jusqu'à présent ne sert pas à grand chose, et une utilisation plus marquante du décors pour que celui-ci justifie la présence de la série dans une collection dédiée aux voitures... car se contenter de présenter une route ou une voiture en fin d'album, c'est un peu léger) pour que j'en conseille l'achat. A lire à l'occasion, donc...
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