Insiders Genesis

Allez, précédent camarade!, moi non plus à priori je n'irais pas voir la série mère, quoique un peu énervé, et si c'est en option dans ma médiathèque; et que c'est en période de disette. Mais ouais t'as un peu raison à la place de la belle Isabelle, encore que tout cela soit très surfait, j'aurais bien vu un Jason Statham ou notre bon JCVD. Les flashbacks n'y font pas grand chose et j'avoue que les déboires enfantins de la susdite belle ne m'ont point ému. Ses parents membres des FARC, à non, merde, ils ont changé le nom, qui meurent sous les balles de leurs coreligionnaires, hey, hey,. Je sais un point après une virgule ça ne se fait pas mais je suis à court. Disons juste entre nous que cette belle histoire; "Génesis", ça me rappelle un film!, et puis tiens un autre quand dans le tome 3 l'un des vilains dealers se sert d'une tronçonneuse, ( Scarface je te vois!! ) . Bon allez encore une fois stoppons là car nous pourrions bêtement devenir un poil désagréable ce que la charte de mon site favori empêche avec bonheur. Ça détend et de manière bourrinement sympathique. Passez outre braves gens, votre intégrité Bdéthèsque vous garderez.

22/01/2016 (modifier)

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Je ne connaissais pas du tout la série principale qui met en scène une héroïne dans des aventures plutôt musclées sur fond d’espionnage et de contexte politique particulier à travers le monde. Voilà encore une nouvelle série dérivée qui raconte les débuts et les origines de sa vie consacrée à l’ordre international. On est plongé dans la Colombie du fameux Pablo Escobar, baron du cartel de la drogue et accessoirement bienfaiteur public par la construction d’écoles et d’hôpitaux. Visiblement, notre jeune héroïne est la fille de l’avocat d’un candidat à la présidence de la république de la Colombie qui est prêt à déclarer la guerre aux mouvements armées qui occupent une partie du territoire pour fabriquer de la drogue en direction notamment des USA. Le contexte était intéressant car il y avait matière à faire. Cependant, le scénario n’a pas véritablement suivi. Nous avons une série principalement basée sur l’action dont les scènes de courses poursuites occupent une trentaine de page d’un album pour se déplacer d’un point A vers un point B en l’occurrence d’un plateau de télévision vers un restaurant huppé situé en haut d’une tour. C’est purement basique et rien de psychologique. Le dessin rappelle celui d’un Largo Winch mais en moins bon. On est dans une bd qui n’a pas d’âme mais seulement une belle couverture qui attire l’attention. Notre héroïne contient tous les stéréotypes qu’un lecteur avisé ne laissera plus passer tant cela devient insupportable. Pour ma part, je passerais mon chemin sur la suite.

14/09/2012 (modifier)

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