Nounouche
Les mignonnes aventures d'une petite ourse
Best of 1930-1939 Les petits éditeurs indépendants Les Pionniers de la BD Ours et nounours
Nounouche ?… elle est mignonne tout plein. C’est une petite ourse sympathique, au caractère volontaire, qui parcourt les continents du monde. Ce long périple terminé, elle exercera mille et un métiers. Certains ne sont pas facile, comme pouponner des petits, mais tout finira toujours par un grand sourire et le sentiment du travail bien fait.
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Editeur
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Genre
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Public
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| Date de parution | 1938 |
| Statut histoire | Série terminée 30 tomes parus |
Les avis
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Incroyable ! Voilà une bande dessinée que j'avais découverte, enfant, sur une brocante et que j'avais achetée avec mon premier argent de poche. Je possédais Nounouche au cirque et Nounouche cordon bleu. Je serais bien incapable de me rappeler les histoires, mais je garde le souvenir de relectures passionnées par l'enfant que j'étais, surtout du second. La simplicité des dessins ne m'avait pas gêné. Au contraire, leur côté rond et dynamique m'a plu. La mise en page extrêmement régulière et le texte sous les vignettes m'avaient facilité la lecture. Un bon souvenir et des histoires malgré tout sans doute plus intéressantes que dans Martine, qui m'est toujours tombée des mains.
Nounouche ?… c’est « Martine » avant la lettre. Cette petite ourse condense ici les histoires les plus utilisées de l’époque : le tour du monde et les métiers exercés. Et c’est ce qui en a fait son succès auprès du lectorat. Ici, pas de bagarres, de disputes, de monstres adipeux ou de sorcières malveillantes… Nounouche est la gentillesse même et cela se sent au travers du graphisme ; un trait « simple » principalement axé sur les personnages car décors et arrière-plans se résument souvent à quelques traits. Mais l’attrait de Nounouche étaient ses mimiques, ses « états d’âmes »… et cela plaisait très fort au très jeune lectorat. Chose curieuse aussi : nombre de séries se sont arrêtées –pour ne plus reparaître ensuite- au début de la seconde guerre mondiale. Il en a été de même avec Nounouche, mais cette « parenthèse » de 5 ans n’a en rien entamé sa notoriété et elle repartira de plus belle à la fin de la guerre. Pour l’époque, cette série d’humour animalier était quelque chose de neuf et certains s’amusaient à retrouver dans un animal « croqué » par l’auteur qui un parent, qui un supérieur (on savait s’amuser en ce temps-là…gnark gnark gnark…) Série attachante et bien faite..
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