Mystery Society

Note: 1.67/5
(1.67/5 pour 3 avis)

Enquêtes paranormales...


IDW Publishing La BD au féminin Les petits éditeurs indépendants Ufologie et OVNI

Nick Hammond a décidé de faire un coup et d’aller en Zone 51 voir si tout ce qu’on raconte est vrai, quitte à s’y faire arrêter. Mais Nick est très énervé vu qu’il n’arrête pas de se quereller avec sa femme Anastasia, avec qui il dirige la Mystery Society, une agence d’investigation paranormale très particulière. Entre disputes conjugales, fantastique, le crâne d’Edgar Allan Poe et un robot habité par Jules Verne, Mystery Society est une série attachante et surprenante de la première à la dernière page ! (texte : Atlantic BD)

Scénario
Dessin
Couleurs
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 06 Octobre 2011
Statut histoire Série terminée 2 tomes parus

Couverture de la série Mystery Society © Atlantic BD 2011
Les notes
Note: 1.67/5
(1.67/5 pour 3 avis)
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09/12/2012 | Spooky
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Par Erik
Note: 2/5
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La Mystery Society n'est pas une oeuvre très originale. Je viens de terminer sa très courte version intégrale parue en Juin 2016. Le dessin parait très pauvre comparé à ce qu'il aurait pu être dans des productions similaires. Le scénario multiplie les raccourcis et les facilités. Au final, les enjeux sont limités. Bref, ni le graphisme, ni le scénario ne sont véritablement à la hauteur. Certes, il y a une multiplications des clins d'oeil qui font référence à la littérature fantastique du XIXème siècle ou encore aux super-héros. Cependant, cela ne rend pas l'ensemble meilleur.

11/08/2016 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
L'avatar du posteur Spooky

Hum... Une agence qui enquête sur le paranormal, composée de personnages très étranges... Rien de bien original là-dedans, mais pourquoi pas ? Eh bien parce que très vite, Steve Niles oublie ce côté "l'enquête du jour", pour ne se concentrer que sur une pseudo-intrigue sans aucun intérêt. Il y a des personnages secondaires, mais laissés complètement de côté. Bref, on s'ennuie ferme au bout de 10 minutes de lecture. La suite se reconcentre un peu sur le fond, mais j'ai été hélas perdu en cours de route... Le dessin de Fiona Staples est loin d'être désagréable, mais j'ai du mal avec certains de ses aspects "anguleux".

09/12/2012 (MAJ le 16/06/2016) (modifier)