Isabellae

Note: 3.09/5
(3.09/5 pour 11 avis)

Japon, 1192. Sept ans après la bataille de Dan-no-ura qui ouvrit le bal de l'ère féodale. Sept années qu'Isabellae Ashiwara arpente les routes du pays en compagnie du fantôme de son père, gagnant sa vie à la pointe de son sabre. Sept années passées à rechercher sa soeur Siuko, disparue.


Auteurs espagnols Japan-Fantasy Les prix lecteurs BDTheque 2013 Les Roux !

Le temps est finalement venu pour la chasseuse de primes de se confronter à son passé et de prendre les rênes de son destin...

Scénario
Dessin
Couleurs
Traduction
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 18 Janvier 2013
Statut histoire Série terminée (2 cycles de 3 tomes) 6 tomes parus

Couverture de la série Isabellae © Le Lombard 2013
Les notes
Note: 3.09/5
(3.09/5 pour 11 avis)
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15/01/2013 | Mac Arthur
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L'avatar du posteur Tomdelapampa

Techniquement c’est pas mauvais, mais rien à faire je n’accroche définitivement pas à cette série. Le 1er cycle passe encore même si mon intérêt commençait à s’étioler gentiment. Le 2eme a eu raison de moi, ce retour sur les terres d’origine de notre héroïne est logique mais les péripéties ne passent pas. Finalement peu d’attachement aux personnages et une narration parfois confuse, pas pour moi.

16/11/2023 (modifier)
Par Ro
Note: 3/5
L'avatar du posteur Ro

Cette série comporte deux cycles de 3 tomes mais ils ne peuvent se lire indépendamment : c'est bien la même histoire qui se suit et le premier cycle ne se suffit pas à lui-même tandis que le second ne se comprendrait pas sans avoir lu le premier. On parle ici de cycles car ils tranchent l'un envers l'autre par leur cadre géographique mais aussi par un ton que j'ai trouvé très différent. Le premier cycle m'a largement plus plu que le second. Son décor est un Extrême-Orient un peu fantasmé, d'abord le Japon puis les mers de Chine dès le second tome. Le début m'a fortement fait penser à Okko tant par le cadre et l'ambiance que par les personnages, la touche de fantasy et l'aspect graphique. Et c'est ce qui m'a charmé. Malheureusement, après deux premiers tomes convaincants, mon intérêt pour la série est allé décroissant. Le récit perd en effet son élégance de départ pour commencer à intégrer un peu tout et n'importe quoi, allant des zombies à la mythologie celtique, voire même un gros clin d'oeil à Lovecraft. D'un récit qui pouvait avoir la classe d'un Okko, on est passé pour moi peu à peu à une histoire un peu immature convenant davantage aux adolescents. Graphiquement, j'ai trouvé que le dessin certes légèrement raide mais élégant des deux premiers albums perdait lui aussi peu à peu en finesse tandis que son encrage devenait plus épais, plus énergique et que les dessins représentaient de plus en plus de scènes d'action ponctuées de pluie nocturne, de fumée, d'explosions et autres grosses onomatopées pour diminuer de plus en plus la quantité et le détail des décors. J'ai eu une première mauvaise impression avec la première page du tome 3 dont l'encrage soudain plus épais que les précédents et que celles du reste de l'album donnait l'impression d'avoir zoomé sur le détail d'une case. Puis ce style graphique s'est ensuite installé pour de bon dans la totalité des 3 derniers tomes. Après une fin de premier cycle en demi-teinte pour moi car je n'ai pas su accrocher au personnage de Suiko, la soeur de l'héroïne, le second cycle change radicalement de cadre géographique et d'ambiance. On se retrouve tout à coup dans de la pure heroïc-fantasy, même si elle use d'éléments plus ou moins réels sur le plan historique. L'histoire devient très orientée vers l'action, notamment le tome 5 qui n'est composé que d'une grosse bataille et qui m'a d'ailleurs bien ennuyé. Les motivations des uns et des autres deviennent confuses, de même que la mise en scène où l'action semble s'entasser dans tous les sens. Et concrètement, je n'ai pas aimé tout le cœur de l'intrigue, avec ces manipulations de druides-sorciers et l'implication aussi vulgaire de créatures fantastiques et mythologiques. En définitive, entre le tome 1 et le tome 6, mon appréciation va doucement descendre, d'un franchement bien initial jusqu'à un bof sans plus final. Dommage que l'intrigue ne permette pas de se satisfaire uniquement des trois premiers tomes.

27/04/2021 (modifier)
L'avatar du posteur Mac Arthur

Le début de la série est vraiment très bon à mes yeux. L’histoire est intrigante. Au niveau des personnages, il a un jeu de miroir entre les différents membres de la famille (un père samouraï japonais/une mère sorcière irlandaise – 2 enfants, l’une a hérité des dons de guerrier de son père et du physique de sa mère, et l’autre c’est l’inverse) qui, là aussi, suscite la curiosité. Et très vite, l’univers se révèle riche. Le récit mêle aventure médiévale dans un Japon fantasmé et fantastique, les scènes de combat sont nombreuses et Isabellae charcute gaiement. Elle se retrouve bien vite affublée de compagnons de voyage aux intérêts divers. Cette multiplication des personnages permet de garder une Isabellae très sombre tandis que d’autres apportent des notes d’humour de ci de là. Le fait qu’elle voit son père sous la forme d’un fantôme tandis qu’elle croise très vite un être volant dont on ne connait pas l’origine apporte une dimension fantastique au récit qui le différencie des autres. Au final, il s’agit d’un vrai melting-pot dans lequel récit de samouraï et légendes celtes se retrouvent liés. De ce point de vue, cette aventure est on ne peut plus originale. La série se scinde clairement en deux cycles, le premier a pour cadre principal le Japon tandis que le deuxième voit la majeure partie de son action se dérouler en Irlande. Ces deux cycles sont intimement liés. Il est illusoire de croire pouvoir lire le second cycle sans avoir lu le premier tandis que ne lire que le premier vous privera de bien des explications données au terme du second. A titre personnel, après avoir été emballé par les deux premiers tomes, j’avoue que mon intérêt a décru (mais j’ai toujours attendu la sortie de l’album suivant avec envie). En cause, une surabondance de combats qui, finalement, n’apportent pas grand-chose au récit. De plus, j’ai parfois eu du mal à voir où les auteurs voulaient en venir. La narration est en effet parfois confuse et certains éléments de l’intrigue ne trouvent leur signification qu’en toute fin du récit. J’ai cependant beaucoup apprécié le fait que tous les éléments trouvent leur place dans une belle conclusion. De plus, cette fin est une vraie fin. On quitte Isabellae finalement satisfait et sans cette désagréable impression que les auteurs ne nous ont pas tout dit pour se ménager la possibilité d’une suite à rallonge. Finalement, c’est une série qu’il m’a plu de suivre et que j’aimerai bien relire posément maintenant que je sais de quoi il retourne exactement. Pas un chef d’œuvre mais une série attachante et originale.

15/01/2013 (MAJ le 09/11/2017) (modifier)
L'avatar du posteur Agecanonix

Je n'aime guère le Japon médiéval, et depuis Le Vent des Dieux, cette époque ne m'attire pas et me laisse même indifférent. Je crois donc que pour pleinement apprécier cette Bd, il faut s'intéresser à ce peuple et à ses coutumes souvent brutales et trop basées sur un cérémonial un peu pompeux ; ce n'est pas mon cas. Ce duo d'auteurs que je découvre, offre une quête et une aventure un peu épique de façon assez audacieuse et qui peut surprendre. D'abord, je ne suis pas trop convaincu par le fait qu'une Irlandaise ayant dû fuir son île, se soit retrouvée si loin, au Japon, puis qu'elle ait épousé un samouraï ; ce genre d'union ne parait pas très crédible à mes yeux, les Japonais de ce temps qui étaient encore un peuple très isolé et peu connu des Occidentaux, ne se mariaient qu'entre eux, d'après le peu que je sais. Ensuite, cette Isabellae, elle se bat comme un homme, et justement à cette époque, je ne crois pas probable qu'une femme aurait été acceptée dans ce monde très viril de samouraï avec autant d'aisance. Dans cet univers de combat où les femmes n'avaient pas leur place, Isabellae brise les règles et les codes, et je trouve ce procédé intéressant, même s'il n'est pas crédible. Ses 2 katanas et sa volonté de fer sont ses armes, les auteurs plantent un personnage bien pensé de femme d'action qui avec un air de Kill Bill, tente de survivre au fil de son épopée. Dommage qu'elle ne soit pas plus attachante, c'est d'ailleurs le reproche que je fais, on ne s'attache à aucun autre personnage, cet aspect aurait été un petit plus. Le scénario n'est pas d'une grande originalité, on a droit aux charcutages habituels et aux scènes sanglantes qu'on s'attend à trouver dans ce type de bande... les morts revenus à la vie et les fantômes, à la rigueur je veux bien, on est dans une Bd d'aventure fantastique. Mais au final, je ne me suis pas vraiment ennuyé à cette lecture qui ne m'a pas emballé plus que ça ; j'ai trouvé le tome 1 attractif et plus abouti que la suite. Je retiens surtout le dessin qui est très séduisant, fin, gracieux et soigné, c'est un beau visuel, et il fallait ce minimum pour m'attirer vers cet univers de Japon féodal plein de bruit et de fureur..

09/10/2015 (modifier)
L'avatar du posteur Le Grand A

A priori, Isabellae pourrait souffrir de la comparaison avec la référence du genre en matière de Japon médiéval fantastique en bande dessinée qu’est Okko tant sur les aspects graphiques que des éléments scénaristiques, ces deux séries possèdent des similitudes. Mais plutôt que de les opposer, et avec le dénouement prochain d’Okko, j’aime à penser qu’Isabellae pourrait reprendre le flambeau comme étendard du récit fantastique japonais en BD, car nul doute à ce sujet qu’elle saura contenter les amateurs du genre avec cette première trilogie plutôt réussie et annonciatrice de nouvelles aventures. Cependant Isabellae n’est pas une vulgaire copie d’Okko et possède un univers et des enjeux qui lui sont propres. Le scénariste sait doser le rythme de son récit entre les séquences d’action où le personnage éponyme manie son katana telle La Mariée dans Kill Bill pour gagner sa vie comme chasseuse de primes, garde du corps ou pour se défaire de zombies sur un bateau fantôme ; et les scènes de voyage plus calmes à travers le pays où il en profite pour insérer de judicieux flash-back sur l’adolescence tumultueuse d’Isabellae. J’aime particulièrement cet aspect du scénario : la quête impossible de l’héroïne qui recherche sa sœur aux quatre coins du monde et qui va au fil de ses aventures faire des rencontres, se faire des ennemis, des ennemis qui vont devenir compagnons de route, l’enrichissant humainement et spirituellement et permettant ainsi une évolution du personnage qui passe de loup solitaire à leader d’un groupe hétéroclite. On peut légitimement avancer que le scénariste a subi l’influence du manga nekketsu. Le nekketsu appartient à cette sous-catégorie du shonen où le héros possède un but, une quête, comme un frère à retrouver façon Kung Fu avec David Carradine (ou ici une sœur) ou plus couramment devenir l’être le plus fort. Son parcours de type initiatique sera semé d’embûches car c’est par le dépassement de soi qu’il touchera à son but ultime, et j’y ai un peu retrouvé quelques uns de ces codes dans Isabellae. C’est aussi la confrontation de deux mondes aux antipodes l’un de l’autre qui s’annonce. Le folklore celtique et la nouvelle religion chrétienne d’un côté, et le Japon médiéval avec ses légendes fantastiques de l’autre. Cet aspect là du récit est distillé avec parcimonie pour ne pas brusquer les plus sensibles au mélange des civilisations. Isabellae est née d’un père ronin japonais et d’une mère sorcière celte en exil. Elle est en quelque sorte le pendant féminin de Kaï (Keanu Reeves) dans 47 Ronin. La cause, les conséquences de cet exil et les enjeux qui se cachent derrière le passé de ses parents sont la clé de voûte de sa quête. Car si Isa tient d’avantage physiquement de sa mère, rousse, elle marche dans les pas de son père en ayant épousé la voie du samouraï, tandis que Siuko sa jeune sœur est typée japonaise et a été élevée par sa sorcière (mais pas forcément maléfique) de mère. Il y a une histoire d’amour/haine/rivalité entre ces quatre personnages. La quête d’Isabellae est liée au destin de Siuko qui l’entraîne ainsi à travers le Japon dans une course poursuite, et qui sait dans le prochain cycle, peut être à l’autre bout du monde. Le dessin au style semi-réaliste de Gabor, proche de celui de Hub, est très plaisant à regarder mais je l’ai trouvé inégal sur le tome 1 avec tantôt de jolies planches parfaites, tantôt des dessins épurés de tout, mais ça s’améliore par la suite. J’aurais souhaité des couleurs qui paraissent un peu moins ternes mais cela reste quand même très agréable. Le plus réussi selon moi réside dans les décors et la végétation que j’ai trouvé bien détaillés et visibles, tandis que les visages manquent parfois d’expression selon moi. Les scènes de combats au sabre sont un pur régal, très cinématographique façon Tarantino encore une fois. Un bon point pour la partie graphique. Alors voilà, lecture divertissante, histoire passionnante bien que sans réelles nouveautés, j’ai hâte de lire comment tout cela va se prolonger. Il y a peut être un défaut des seconds rôles que j’ai trouvé trop archétypaux, pas vraiment attachants et dont l’apport humoristique est à revoir. Isabellae et sa famille tirent toute la couverture, les autres on s’en moque un peu.

09/02/2015 (modifier)

[TOME 1] Une histoire de ronins, de fantômes, d'êtres surnaturels dans le Japon du XIIème siècle. On suit les traces d'Isabellae, suivie par le fantôme de son père, à la recherche de sa jeune soeur. Beaucoup de combats, de rencontres variées, de surprises même, un peu d'humour ici et là (très peu, mais salutaire) et un dessin plutôt joli et gracieux (à l'exception de quelques visages, parfois). Un premier tome d'introduction très réussi, original, et qui donne envie de connaître le reste du premier triptyque. Dans un univers assez proche, et presque à la même période, on peut penser à Okko en lisant Isabellae, mais je trouve Okko plus classique et moins prenant. Note du T1 : 3,5/55

27/08/2014 (modifier)
Par Gaston
Note: 2/5
L'avatar du posteur Gaston

Je suis déçu par cette série que je pensais trouver au minimum sympathique. Déjà, je trouve un peu étrange de voir une irlandaise au Japon à cette époque, mais bon il faut dire que je ne connais pas trop cette période du Japon. Est-ce que quelqu'un peut me dire s'il y avait des blancs en 1192 ? Le dessin n'est pas mauvais et je comprends que certains aiment, mais malheureusement c'est le genre de style qui me laisse froid. Le scénario possède des choses intéressantes comme le fantôme du père sauf que malgré tous mes efforts je n'ai pas du tout accroché. La narration m'a semblé lourde, les personnages ne sont pas attachants et j'ai lu le tout dans une certaine indifférence.

21/01/2014 (modifier)
Par PAco
Note: 4/5
L'avatar du posteur PAco

Check list : - Un décor historique dans le Japon médiéval : OK - Une touche de mysticisme celtique : OK - Un brin de fantastique : OK - De l'action en veux-tu en voilà : OK - Des personnages bien campés : OK - Une psychologie des personnages intéressante : OK - Un dessin chouette et efficace : OK - Un beau travail de découpage et de cadrages : OK - Colorisation sympa : OK Bon ba voilà, j'crois que c'est clair : ce joli gloubiboulga trop beau pour être parfait s'annonce comme une grande réussite pour un premier tome. Le duo Raule (scénario) et Gabor (dessin) a su trouver un équilibre maitrisé pour nous proposer un début de série des plus bluffant, surtout au vu de la richesse de ce qu'ils sèment en route. L'histoire est riche et laisse pas mal de choses en suspens pour le moment, mais tout en avancement pleine balle comme la très séduisante et redoutable Isabellae. Espérons que la suite de cette série soit du même tenant et qu'elle tienne toutes ses promesses.

08/03/2013 (modifier)
Par Puma
Note: 4/5

Amateurs de capes et d'épées et d’hémoglobine qui gicle un peu de tous les côtés , vous ne serez pas déçus ! Pour planter le décor, l'héroïne est aussi douée avec son sabre que Durango avec son luger. Et forte de son talent, notre jeune et frêle donzelle s'est fait pour profession de dézinguer quantité de gros malabars et autres brigands très peu avenants. Elle a également un trouble de la personnalité puisqu'elle parle en permanence à son père qui l'accompagne, mais qu'elle seule voit, ... son père étant mort à la guerre. Elle laissera inhabituellement un jour s'échapper un brigand joli coeur qu'il serait dommage de, si jeune et si beau, déjà le raccourcir d'une tête. Est-ce un moment de faiblesse d'Isabellae qui lui portera préjudice ? Pour la réponse, …il vous faudra lire l'histoire ! Un chouette graphisme qui sert comme il convient le récit. Opus bien planté dans la sauce Spaghetti des premiers Durango, très kitch, et transposé au japon médiéval, avec en plus, un zeste de sorcellerie. Album ludique amusant à lire. Et la suite à paraître au titre très évocateur de : « Une mer de cadavres » a des chances de l’être tout autant !

19/02/2013 (modifier)
Par fab11
Note: 4/5

Lors de mon passage hebdomadaire chez mon libraire préféré de Narbonne, je suis tombé par hasard sur cette bd et celle-ci m'a interpellé car l'on pouvait voir inscrit sur le présentoir qu'un ex-libris était offert pour l'achat du premier tome de cette série. Je me suis donc intéressé de plus près à cette œuvre dont la couverture est quand même, quand on y regarde bien, assez glauque : une jolie rouquine assise sur un tas de cadavres à priori découpés au katana. Comme j'adore la plupart des histoires se déroulant dans le Japon Médiéval et surtout si celles-ci baignent dans une ambiance fantastique, j'ai tout de suite acheté cette bd et je ne le regrette pas du tout . L'histoire est très originale, une séduisante jeune fille d'origine irlandaise par sa mère (mais de père japonais) recherche sa sœur sur les routes hostiles du Japon en 1192. Cela pourrait être une histoire assez classique, mais voilà elle est accompagnée par le fantôme de son père tué sept ans plus tôt. Durant son périple sanglant (car on s'apercevra que cette frêle demoiselle est en fait une redoutable guerrière) elle rencontre de nombreux personnages tous aussi sympathiques les uns que les autres. L'histoire est lancée et comme l'a signalé iannick dans son avis, cela va très vite, on alterne entre souvenirs de la jolie demoiselle et scènes d'actions, assez violentes d'ailleurs. Le dessin est à mon goût sympathique, mais pas extraordinaire (ce n'est le style de dessin que j'affectionne le plus). Il faut tout de même signaler qu'il s'adapte parfaitement au récit et que la colorisation est très agréable. J'espère, comme les autres posteurs , que cette série va tenir toutes ses promesses et que les prochains tomes seront aussi réussis et qu'ils arriveront à me procurer autant de plaisir que m'a apporté la lecture de ce premier tome. C'est donc, à mon goût, une série prometteuse à suivre.

26/01/2013 (modifier)