Liverfool

Note: 3.5/5
(3.5/5 pour 2 avis)

L'histoire du premier manager des Beatles.


1961 - 1989 : Jusqu'à la fin de la Guerre Froide Allemagne Angleterre Emmanuel Proust Éditions Iles Britanniques Le Rock Les Beatles Musique

1962... le monde bouge sur le rythme endiablé de la chanson : « Love me Do ». C’est le premier 45 tours d’un groupe jusque-là inconnu et au nom bizarre : The Beatles. La success story des quatre garçons de Liverpool peut commencer… Mais dans l’ombre de cette réussite incroyable, un homme : Allan Williams. Cet homme d’affaires audacieux et promoteur d’événements du Merseyside, est le premier manager des Fab Four. C’est lui le premier à croire au potentiel rock des Beatles ! Oui, on ne le sait pas assez ! C’est Allan qui permet aux Beatles de jouer, des caves les plus sombres de Liverpool aux clubs huppés de Hambourg ! Instigateur d’un parcours chaotique, le groupe lui doit beaucoup. Génie malchanceux ou formidable loser ? Voici l'histoire du manager aujourd’hui oublié qui a contribué à la légende du plus grand groupe de tous les temps. (texte : EP)

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 22 Novembre 2012
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Liverfool © Emmanuel Proust Éditions 2012
Les notes
Note: 3.5/5
(3.5/5 pour 2 avis)
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05/02/2013 | Spooky
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Par Spooky
Note: 3/5 Coups de coeur expiré
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Tiens, voilà une histoire plutôt intéressante... En effet on parle assez peu des débuts des Beatles, et encore moins de celui qui les a aidés à se lancer, un gars qui ouvrit un jour une petite boîte à Liverpool... De leurs débuts sans bassiste à la mort de Stuart Sutcliffe, membre de la première heure du groupe, de leurs tournées en combi VW à leur résidence à Hambourg, le livre donne à voir, avec beaucoup d'humour, ce qu'ont pu être les prémices d'une légende du rock. En effet, ce qui prédomine à la lecture, c'est un humour assez potache qui, s'il égratigne un peu l'image immaculée des Fab Four, n'en reste pas moins pétrie de respect, Gihef étant un grand fan. Le dessin de Damien Vanders peut surprendre ; semi-réaliste à tendance "polar" (le noir et blanc, ou plutôt les niveaux de gris, pouvant donner cette impression) n'est pas exempt de discrets passages dans la caricature, et ceci aux moments adéquats. Du coup on se retrouve avec un album qui est indéniablement sympathique, débridé, mais aussi assez intéressant quant aux pratiques managériales dans le milieu du rock des années 1960.

05/02/2013 (modifier)