Tigre blanc

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Entrez au coeur de la mafia russe...


Gangsters Les petits éditeurs indépendants Russie

Après l’éclatement de l’empire soviétique, de nombreuses familles russes faisant partie de la “mafiya”, ont commencé à faire affaire avec le nouveau gouvernement et les dirigeants des grandes entreprises, se partageant un riche butin grâce, notamment, au soutien de l’ancien KGB. Après une sanglante guerre de familles à Moscou, la “Brigada” (terme russe pour définir un clan mafieux) des Slepak a définitivement imposé sa paix qui dure depuis un peu trop longtemps... (texte : Physalis)

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution 27 Septembre 2012
Statut histoire Série abandonnée 1 tome paru

Couverture de la série Tigre blanc © Physalis 2012
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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24/07/2013 | Spooky
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Par Erik
Note: 2/5
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J’ai également beaucoup de mal avec les histoires de mafias. Il est vrai que si l'on suit un raisonnement schématique, la Russie semble être tombée dans les mains des mafias peu après l’éclatement de l’empire soviétique communiste. Fallait-il nécessairement en arriver là quand on sait qu'il existait déjà des mariages entre apparatchiks et criminels russes ? Ceux qui ont pris le pouvoir ont également pris l’argent en ne laissant que des miettasses au peuple. L'homme le plus riche du monde ne serait pas celui que l'on croit... Le scénario ne fait pas dans la concession. C’est assez extrême. Les images sont fortes et percutantes. Bref, il faut aimer le genre. Le polar est sombre : cela va sans dire. Je ne crois pas qu’il y aura une suite au vu du peu de succès rencontré. On ne le regrettera pas. C’est la loi du marché et non celle de la mafia.

21/08/2015 (modifier)
Par Spooky
Note: 2/5
L'avatar du posteur Spooky

Hum. J’ai toujours eu du mal avec les histoires mettant en scène les mafias ; toutes ces factions qui se tapent dessus pour des miettes de pouvoir, ces enjeux politico-économiques qui parfois reposent sur pas grand-chose, ça a tendance à me faire sortir d’une histoire. Et c’est encore une fois le cas ici, même si pour une fois on comprend que c’est le fils du parrain qui est au cœur du récit, ainsi que sa femme. Par contre je n’ai pas réussi à m’y intéresser ; ça dézingue dans tous les sens, un peu trop, au détriment des moments de calme, qui la plupart du temps se résument à des scènes de sexe. Bof, hein. Graphiquement le style de Salvatore Improda me fait penser à celui d’Eric Puech. Un curieux mélange de photo-réalisme et de colorisation pastel qui peut ne pas plaire. Je n’en suis pas franchement fan, et cela ne m’a pas aidé à apprécier ma lecture. Je ne pense pas lire la suite.

24/07/2013 (modifier)