Arq

Avis sur le premier cycle. J'ai longtemps repoussé la lecture de cette série car j'avais peur de tomber sur un truc aussi incompréhensible que Rork. Puis, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai lu les 6 premiers tomes. J'ai été agréablement surpris de voir que l'histoire était aussi compréhensible. Certes, certains éléments m'ont un peu troublé, mais j'ai compris 90% de ce que je lisais. Les personnalités des protagonistes sont intéressantes et la mise en page est dynamique. Bref, je comprends que plusieurs personnes adorent 'Arq'. Pourquoi est-ce que ma note est si basse ? Parce que malgré ses qualités, je n'ai pas trouvé le scénario extraordinaire. C'est typiquement le genre de série que je lis en me disant 'Hé ! C'est bien fait !' sans que ça ne dépasse le stade du 'pas mal'. Les différentes énigmes ne m'intriguent pas trop et je ne suis pas du tout pressé de découvrir la vérité. Je pense que ça vient du rythme de la série. Comme il y a 18 tomes, Andréas prend son temps et ça se voit. J'ai l'impression que les 6 albums que j'ai lus pouvaient être faits en 3 tomes, particulièrement le 6ème tome.

23/10/2010 (modifier)

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Entrer dans le monde d'Andréas demande souvent un effort pour le lecteur. Une mise en page étonnante, des dessins très particuliers qui n'accrochent pas vraiment l'oeil, un scénario complexe qui se déroule plutôt lentement. Après Rork, je me suis mis à Arq et j'ai acheté les premiers albums que j'ai lus avec plaisir. Puis, au fil des tomes, je me suis lassé de l'originalité de cette série. Au dixième album, j'ai fini par arrêter ma collection. Dans quelques temps peut-être, je redécouvrirai Arq et achèterai la suite.

13/11/2009 (modifier)

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J’ai vraiment beaucoup aimé le début de la série. Et pourtant ce n’était pas gagné d’avance avec un dessin un peu froid (mais pas mal quand même) et surtout des couleurs peu variées et souvent sombre. Et je ne savais pas sur quelle sorte d’histoire j’allais tomber. Et j’ai donc beaucoup aimé le début, comment ces 5 personnages inconnus les uns des autres se retrouvent sur une autre planète. J’ai aimé découvrir leurs passés respectifs. Le scénario est vraiment bon, chaque nouveau tome vient remettre en cause des vérités du précédent. Et à chaque fois j’ai trouvé les nouveaux éléments très bons, bien amenés. L’ensemble est remarquablement bien construit. Du tout bon donc…jusqu’au tome 5 « White Dust ». Car après j’ai moins aimé. Déjà la conclusion de ce premier cycle (« réveil »), m’a moins convaincu, peut être car on commence à en faire trop. Mais en fait c’est surtout la suite qui m’a déçu. Pas le tome 7 qui est très bon, même si il est un peu hors série…. Non c’est vraiment ce nouveau cycle qui n’est pas au niveau du premier. Particulièrement l’album 9 « feu croisé » qui m’a particulièrement ennuyé et dont j’ai du mal à saisir l’intérêt. Et quand je vois que la série n’en est qu’à la moitié, il y a peut être de quoi s’inquiéter… Sans cette déception ma note aurait sans doute été plus élevée.

19/03/2007 (MAJ le 16/05/2008) (modifier)

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Arq est la seule série d'Andreas (auteur que j'admire beaucoup) à laquelle je ne m'étais pas encore essayé. Je me devais tôt ou tard de réparer cette lacune. Je viens de lire le premier tome (oui je sais, c'est peu pour un avis) et je dois reconnaître que mon sentiment est un peu mitigé. Non pas que l'album soit décevant en tant que tel. On y retrouve tout le talent de l'auteur pour un graphisme et une narration qui n'appartiennent qu'à lui et on peut déjà imaginer la complexité d'un scénario éclaté qui suit, comme à son habitude, plusieurs pistes en parallèles. Non, mes réserves viennent plutôt du fait que cette série, à la différence des autres albums de l'auteur, me semble plus proche d"un certain type de science-fiction exotique - du moins sur le plan visuel - (que l'on pourrait aussi qualifier d"anthropologie-fiction"), avec ses peuples à l'apparence pour le moins étranges, ses techniques et croyances primitives et son absence de technologie. Bref, un dépaysement total que rien - à part les humains qui se retrouvent projetés dans ce monde - ne paraît rattacher à la Terre et à une époque bien précise. De ce fait, Andreas s'éloigne sensiblement de ses influences lovecraftiennes et de séries comme Cromwell Stone ou Capricorne, plus proches d'un fantastique qui a ma préférence. A première vue, cette autre direction prise par l'auteur permet d'aller plus loin dans l'imaginaire en créant un monde de toutes pièces et certains s'en réjouiront. Pour ma part, c'est justement cette liberté de pouvoir tout imaginer qui me procure un certain ennui de lecture, d'autant que - ma seconde réserve, de nature plus structurelle - la mise en place dans ce tome 1 se concentre principalement sur une succession d'enlèvements qui permettent à Andreas de séparer les protagonistes humains et de faire découvrir au lecteur plusieurs peuples de ce monde (terriens, aquatiques et aériens). Une "mise en bouche" un peu répétitive, même si sans doute essentiel pour la suite d'une série dont on peut imaginer toutes les surprises qui attendent le lecteur au fil des dix-huit albums prévus. Mais, par comparaison, le premier tome de Capricorne m'avait davantage emballé dans sa manière d'entrer plus rapidement dans le fil du sujet. Arq demande une plus grande patience. J'ai tout de même mis trois étoiles, pour être un peu objectif car je ne doute pas que la série soit de qualité dans son genre mais c'est un genre qui n'est pas trop le mien.

16/04/2008 (MAJ le 25/04/2008) (modifier)

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Une intrigue excellente, mais lourdement handicapée par un dessin horrible. Quel dommage qu'une histoire si bien construite puisse perdre des lecteurs parce qu'en feuilletant on se dit que l'auteur ne sait pas dessiner ! Ou alors, ce serait les couleurs ??? Voilà, culte pour l'histoire, nul pour le dessin.

05/08/2007 (modifier)

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