La Malvenue

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Un conte fantastique campagnard tiré du roman de Claude Seignolle " la malvenue". Très proche de la nouvelle "La Venus d'ille" de Prosper Mérimée.


Adaptations de romans en BD Les petits éditeurs indépendants Région Centre

L'histoire d'une jeune fille et d'une mystérieuse statue. Un conte fantastique campagnard tiré du roman de Claude Seignolle "La Malvenue". Très proche de la nouvelle "La Venus d'ille" de Prosper Mérimée.

Scénario
Oeuvre originale
Dessin
Couleurs
Editeur
Genre / Public / Type
Date de parution Janvier 1986
Statut histoire Série terminée 2 tomes parus

Couverture de la série La Malvenue © Magic Strip 1986
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

24/01/2014 | jul
Modifier


Par Ro
Note: 2/5
L'avatar du posteur Ro

Je me suis fait avoir par la couverture du tome 2 de cette série car : - elle ne dit absolument pas qu'il s'agit d'un tome 2 et j'ai cru initialement à un one-shot - elle affiche comme auteur Loisel, sans prénom, et j'ai cru découvrir là un pêché de jeunesse de Régis Loisel Autant vous dire que j'ai été sacrément déçu après coup, et encore plus quand j'ai dû dénicher le tome 1. Il s'agit de l'adaptation d'un roman de Claude Seignolle, un conte fantastique rural se déroulant en Sologne à priori au 19e ou tout début 20e siècle. Dans un décor de campagne et de marais, c'est l'histoire d'une statue maudite et d'une femme possédée. Le cadre est sympathique et l'ambiance pas si mal rendue. Il y avait effectivement de quoi faire une adaptation intéressante. Mais la forme et la narration n'y sont pas du tout ! Le dessin est très médiocre. Autant les décors, quand ils ne sont pas réduits au strict minimum voire au néant, ne sont pas si mal, autant les personnages sont singulièrement laids et ratés. Quasiment amateurs pour le premier tome, ils prennent des allures de mauvaises tentatives d'imiter le style de François Bourgeon dans le second tome. Quant à l'histoire, elle est très mal racontée, avec des sauts chronologiques peu compréhensibles, des personnages qu'on confond trop facilement et des situations sans aucune saveur ni sens de la mise en scène. On s'y perd et on s'ennuie très rapidement. Adaptation ratée.

22/06/2015 (modifier)
Par jul
Note: 2/5

Je continue sur ma lancée des "BD à papa" ( plutôt BD à maman dans mon cas ) pour m'attaquer cette fois-ci à cette BD vraiment tombée dans l'oubli. J'ai un peu honte de poster ça tellement le dessin est démodé voire hideux. Pas très pro, voire pas du tout. Les visages sont pratiquement tous déformés. Non pas pratiquement ils sont TOUS déformés. En raison du manque de talent de Bruno Loisel. En même temps on sent qu'il y met toutes ses tripes et qu'il veut qu'on se sente attiré et envoûté par cette histoire. Et le pire c'est que ça marche. Cette histoire de mystérieuse statue qui prend vie dans le grenier est vraiment fascinante et limite angoissante (bon j'ai lu ça enfant). Il faut passer outre la qualité graphique et le côté méchamment cheap pour pouvoir vraiment apprécier cette atmosphère (très semblable à la vénus d’ile). De plus malgré ce dessin moche les cases sont très aérées (voire pas de cases du tout) et la mise en couleur très pure, très "liquide". De l'aquarelle avec des tons pastels bleus et vert. Mine de rien, cela reflète bien l'humidité de cette ambiance de marais. Pour ma part cette œuvre a le mérite de dégager une belle " étrange étrangeté". Ce que beaucoup de bds réussis ( graphiquement et scénaristiquement ) n'ont pas. Exactement le genre de bds qu'on trouve dans une brocante et qu'on se dit " mais qu'est ce que c'est que cette merd... cette chose énigmatique assez moche et zarbi sortie de nulle part " Enfin bref je doute que cet O.D.N.I ( objets dessinés non identifié ) puisse intéresser quelqu'un. J'admet que ça ne vaut pas plus de 50 centimes. Je suis sous l'effet de la nostalgie. Donc scénario : ***, et dessins : heuuu... atroces Mais l'ambiance est donc quand même envoûtante. Ah oui j'ai oublié de préciser que j'ai lu le tome 2, qui d'ailleurs se suffit à lui-même, je ne comprend pas.

24/01/2014 (modifier)