Succombe qui doit

Note: 2.33/5
(2.33/5 pour 6 avis)

Sur la trame classique d’un polar, un récit noir et brutal, d’une intensité exceptionnelle.


Gangsters

Sale temps sur la casse auto Marchado. Quatre jeunes malfrats en fuite après un braquage qui a dégénéré, dont l’un grièvement blessé, s’y sont réfugiés lors d’une nuit de déluge. Depuis, ils y séquestrent José, le patron des lieux, un costaud taciturne, misanthrope et revenu de tout. Comment échapper aux recherches policières ? Sauver le blessé ? Et, surtout, livrer le butin du braquage à son commanditaire, le sinistre La Villette ? En l’espace de quelques heures grinçantes se noue un huis clos d’une intensité exceptionnelle, ponctué de flash-back qui font tomber les masques et dévoilent les ressorts secrets de cette histoire poisseuse et tragique à souhait : sous le nom de Laser Jo, José Marchado fut autrefois un boxeur fameux et doit au même La Villette le naufrage de sa vie dévastée. L’heure est venue de solder les comptes…

Scénario
Dessin
Couleurs
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 08 Janvier 2014
Statut histoire One shot 1 tome paru

Couverture de la série Succombe qui doit © Casterman 2014
Les notes
Note: 2.33/5
(2.33/5 pour 6 avis)
Cliquez pour afficher les avis.

14/02/2014 | PAco
Modifier


Par Erik
Note: 1/5
L'avatar du posteur Erik

Je n’ai pas aimé ce récit fort décousu qui ne m’a procuré aucune joie de lecture avec ses ingrédients fort classiques. Ce polar âpre fait dans la violence et un langage peu châtié. Le déferlement de violence entre abrutis et mafioso n’a jamais été ma tasse de thé. Le dessin déforme volontairement le visage des personnages pour souligner un peu plus leur douleur ou leur colère. Certains lecteurs seront sans doute charmés et il en faut pour tous les goûts. Cependant, cela se fera sans moi et c’est sans regret.

08/09/2014 (modifier)