Vor

Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)

Une nouvelle fiction réaliste et survitaminée sur le monde des « voleurs dans la loi », venus de Géorgie.


Le Caucase Séries peut-être abandonnées

Après avoir passé huit ans dans la prison de Koutaïssi, en Géorgie, Tariel, la trentaine, sort avec une seule idée en tête : devenir un « vor », c’est-à-dire un des parrains de la mafia géorgienne. Mais pour cela, il devra ronger son frein et se rendre en France pour régler une bataille importante avec un clan concurrent, issu de la ville de Tbilissi, qui veut mettre la main sur le réseau et les trafics locaux. Tariel parviendra à ses fins – mais au prix de la perte de son meilleur ami lors de cet affrontement sans pitié.

Scénario
Dessin
Editeur / Collection
Genre / Public / Type
Date de parution 12 Mars 2014
Statut histoire Série en cours (prévu en 3 tomes) 2 tomes parus
Dernière parution : Plus de 3 ans

Couverture de la série Vor © Casterman 2014
Les notes
Note: 2/5
(2/5 pour 2 avis)
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14/03/2014 | pol
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Par Erik
Note: 2/5
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Je n'ai pas vraiment aimé cette histoire de mafieux russes qui viennent dans nos pays occidentaux pour faire leurs sales affaires et notamment sur la côte d'azur aux alentours de Nice. Il y a certes un code d'honneur chez ces malfrats mais qui répond à des valeurs autres que celles de la loi et de la république. Du coup, l'identification ou même la sympathie pour le héros qu'on veut attachant est totalement absente. Par la suite, il y a un réel désintérêt à ce qui pourrait lui arriver entre une explosion par ci ou une trahison par là. C'est un choix de vie. Une bd qui se situe dans un contexte de guerre entre clans du grand banditisme international. Un dessin que je n'ai pas trouvé très lisible. Par ailleurs, les dialogues m'ont littéralement assommés...

21/05/2018 (modifier)
Par pol
Note: 2/5
L'avatar du posteur pol

Cet album nous plonge au cœur des mafias de l’ancien bloc soviétique. On suit Tariel fraîchement sorti de prison après 8 ans d’incarcération. Et on peut dire aussitôt sorti, aussitôt de retour aux affaires, principalement les règlements de comptes avec les bandes ennemies. Très rapidement il devient difficile de suivre ce qui se passe ici. Entre les russes, les géorgiens, les tchétchènes, les arméniens, et j’en passe, on est rapidement dépassé par qui est qui, qui trompe qui, qui butte qui, qui travaille pour qui et qui se venge de qui et pourquoi. L’histoire change de lieu trop fréquemment et ne nous propose finalement qu’une succession de règlements de comptes qui s’enchainent à vitesse grand V. On ne s’attache pas du tout à Tariel. Il souhaite obtenir le titre de Vor, un « grade » dans sa mafia, mais on ne se sent pas concerné par ce qui va lui arriver … L’histoire manque vraiment de profondeur. Le peu qu’il y a est noyé par le reste. Bof.

14/03/2014 (modifier)