Badlands (Corbeyran/Rowalski)
Un Western fantastique qui nous plonge dans les légendes indiennes et l'ésotérisme européen.
1872 - 1899 : de la IIIe république à la fin du XIXe siècle Corbeyran Esotérisme Le western fantastique
À la fin du XIXème siècle, Perla Ruiz-Tenguillo sillonne le sud de l’Amérique du Nord à la tête d’un petit groupe d’aventuriers. Son objectif : marcher sur les pas de son ancêtre, l’alchimiste Hernan Ruiz-Tenguillo. Car le monde invisible vénéré par les Indiens et décrit par son aïeul deux siècles plus tôt n’a pas disparu ! Il a été dissimulé aux yeux des blancs pour éviter que ceux-ci ne s’emparent des pouvoirs qui lui sont associés. Perla espère bien redécouvrir cet univers situé derrière l’ultime frontière, celle de la réalité…
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Date de parution | 19 Mars 2014 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Un western fantastique qui se laisse lire. Mais je trouve que le potentiel n’a pas toujours bien été utilisé, et le scénario n’est pas exempt de défauts. Le dessin de Kowalski est plutôt chouette, pour les décors – il y a vraiment matière parfois, comme dans la région des Pueblos et Anasazis. Les visages en gros plans sont très réussis (et Perla a quand même des airs de bombasse !) Mais, bizarrement, quelques plans larges, des visages plus éloignés sont moins réussis. Mais globalement le dessin est très agréable. L’intrigue est intéressante, mais son déroulé m’a un peu déçu. D’abord parce que le fantastique prend parfois trop de place (dans les deux derniers tomes), Corbeyran aurait largement pu s’en passer en grande partie. Ensuite quelques détails m’ont interloqué. Nous suivons un quatuor (un Noir, un Indien métis et un savant européen, tous recrutés par une jeune femme, Perla, dans une quête qui ne livre que vers la fin sa finalité). Mais ces personnages, tous très typés – y compris au niveau de la personnalité – sont mal ou sous-employés. Notre savant ne sert pas à grand-chose. Et, à part des engueulades régulières, les deux autres sont laissés trop en retrait. Enfin, si les auteurs ont su ne pas abuser artificiellement de la plastique de Perla (seule une scène de bains la montre nue au début du deuxième tome – sur plus de quatre pages quand même !), son potentiel de séduction (accentué par les gros plans sur son visage, ses mimiques, et par sa forte personnalité) est paradoxalement peu employé. L’intrigue est une sorte de road trip en chariot, avec finalement peu d’action. La fusillade avec les cow-boys auxquels notre groupe a volé un chariot au tout début (bizarrement ils ont volé et flingué quatre ou cinq gus sans qu’il n’y ait de suite judiciaire – ou même au niveau de l’intrigue), celle au moment du « bain » évoqué plus haut, et le massacre des participants de la table tournante en début de troisième tome me font dire que Corbeyran a placé artificiellement en début de chaque tome une scène violente, et qu’ensuite il mise sur l’élan pris… Enfin, la capacité de Perla à « comprendre » facilement toutes les cultures amérindiennes, voire à maîtriser la langue secrète (que seul semblait comprendre le savant) pour actionner un cube dans le premier tome, n'est jamais vraiment expliquée. Un triptyque qui se laisse lire, même s’il m’a un peu laissé sur ma faim.
C’est un western un peu spécial avec un mélange de quête mystique. Corbeyran s’en tire plutôt bien alors qu’il n’est pas un auteur de prédilection dans le genre. Certes, il connaît bien le fantastique où il excelle. Bref, il a un formidable potentiel. Du coup, c’est assez étrange comme impression générale. Je ne me suis pas ennuyé à la lecture de cette formidable aventure et c’est déjà un bon point. Par ailleurs, le dessin est de très bonne facture. Cela demeure tout de même une série très commerciale en exploitant les archétypes du genre. Au final, c’est vite lu et on oubliera vite mais on aura tout de même passé un bon moment de divertissement.
Encore du western qui utilise la magie indienne mais non sans quelque originalité et variante, au contraire d'autres Bd abordant ce thème. Ici, un cube aux étranges pouvoirs est au coeur de l'intrigue qui plonge dans l'ésotérisme et le fantastique donnant une approche intéressante des esprits indiens anciens d'une grande puissance. A cela, est lié l'ancêtre de l'héroïne, un conquistador plus intéressé par les légendes indiennes et leurs pouvoirs que par l'or. Le fantastique domine donc, mais on est bien dans un western où de nombreux éléments sont là pour le rappeler, à commencer par les paysages sauvages magnifiques ; j'aime ces décors et cette ambiance de magie liée au peuple Anasazi, dont on sait peu de choses. Depuis la découverte de Mesa Verde à la jonction du Colorado, de l'Arizona, de l'Utah et du Nouveau Mexique, on en sait un peu plus sur cette culture Anasazi, mais c'est un peuple qui garde bien des mystères. Jouer sur ce postulat présente donc de bons éléments pour une Bd, c'est ce que fait Corbeyran, même s'il ne s'y prend peut-être pas toujours bien. Je pense qu'il a dû quand même étudier les Anasazi et le site de Mesa Verde qui est le plus célèbre et le mieux conservé. Leur habitat composé de logis à étages appelés pueblo est montré ici, de même que le rôle des kivas est expliqué ; la kiva reste néanmoins toujours énigmatique par son aspect religieux cérémoniel. Autant dire qu'un tel décor bien reproduit dans cette Bd était idéal pour la présence physique d'esprits. Malgré quelques incohérences, comme le but réel de Perla qui reste flou, et aussi des personnages secondaires pas assez bien utilisés, j'ai apprécié ce western qui marie 2 genres de façon encore trop approximative pour être plus enthousiaste. A la fin du tome 1 qui peut à la rigueur se lire comme un one-shot avec une fin propre, j'indiquais que ça pouvait prendre une direction très intéressante, mais au vu du tome 2, je déchante largement : je m'explique ci-dessous. Je veux d'abord parler du dessin qui est très beau et qui met en valeur les décors de rochers, de désert, le village pueblo et aussi les personnages, dont Perla avec une allure sexy et frondeuse dont les nuances s'affichent sur son visage ; je remarquais aussi que le dessinateur n'en profitait pas avec une telle silhouette, pour dénuder son héroïne gratuitement, et justement dès le début du tome 2, on y a droit grâce à une scène de bain, c'est joli et discret et ça reste la seule fois... Mais ce tome 2 ne m'a vraiment pas satisfait, il ne s'y passe rien, le récit stagne et n'avance plus comme avant, on dirait que Corbeyran se retient en ménageant ses effets pour tout balancer dans un tome 3, alors que s'il avait voulu, il aurait pu conclure en un diptyque, c'est de l'escroquerie ! Le chamanisme indien est à peine évoqué avec une métamorphose d'ours que j'ai trouvée totalement stupide. Les personnages débitent des dialogues ridicules et parfois à la limite du moderne (on est au Far West du XIXème, pas dans une banlieue difficile de par chez nous), et cette manie d'opposer l'Indien et le Black qui se disputent comme des chiffonniers pour des raisons futiles est tout simplement infantile, ça prend de la place inutile, sans parler de certaines péripéties plates qui ne font même pas vibrer et ne délivrent pas un soupçon de grande aventure... on est quand même dans un western, merde ! Donc, Corbeyran fait le fainéant et je n'aime pas ça, le voyage de ce petit groupe n'aboutit à rien et le lecteur n'est pas plus avancé. Seul le dessin est toujours aussi beau et policé, j'aime ce style. Je laisse encore une chance ultime à 3/5 pour le tome 3 qui sera le dernier, sinon je baisserai ma note, et là j'enlève l'achat.
Couleurs : Aurore Folny. J’ai jugé bon de la citer car elle a réalisé un travail remarquable je trouve. Des couleurs très modernes, claires, qui embellissent le dessin déjà excellent de Piotr Kowalski. Quel dommage… si prêt de réaliser LE western fantastique modèle. Il s’en est fallu de peu. La faute au scénario encore une fois… J’y reviendrai. Le dessin semi-réaliste est incroyable de maîtrise, un grand talent chez ce dessinateur que je ne connaissais pas. Il me fait penser à Roman Surzhenko ou Rosinski pour donner une référence. J’adore. Personnages bien proportionnés et aux contours légers, décors précis sans être chargés ce qui rend bien l’atmosphère du grand ouest américain, créatures chimériques qui en mettent plein les yeux à défaut d’être originales. C’est concrètement le point positif de cette BD. Elle est quand même classe cette couverture. L’idée de base avait tout pour me conquérir pourtant. Un western ésotérique genre chasse au trésor doté d’une héroïne comme personnage principal, une belle brune espagnole sacrément bien roulée. Perla Ruiz-Tenguillo rentre dans cette catégorie des héroïnes de BD hyper sexy telles Cyann, Cixi, Näavis ou même Angela, une autre figure du western féminin. Concernant la panoplie psychologique on jurerait un croisement entre différentes « gueules » des films de Sergio Leone : la détermination de Sentenza, la roublardise et la gouaille de Tuco, et la gâchette de Blondin. Elle emprunte aussi à Clint son cigare qu’elle a en permanence au bec et ses mimiques faciales comme le sourcil relevé en « V » inversé. Mais Badlands n’est pas un western spaghetti. C’est plutôt dans l’idée la fusion entre le western nouveau et les romans horrifiques de Howard Philip Lovecraft. On voit ainsi apparaître une sorte de cube nécronomicon et un rejeton de Cthulhu, le tout saucé d’un chamanisme indien flippant. Voilà, ça aurait pu être de la dynamite, le mélange est assez explosif pour qu’on se laisse prendre au trip, quoique ça manque d’effeuillage pour Perla (oui je sais, quel pervers je fais…), mais malheureusement l’histoire souffre d’une construction qui vous laisse las : trop d’incohérences et de scènes clichées très énervantes. Je ne vais pas m’amuser à donner la liste mais grosso modo : - Pourquoi Perla entreprend-t-elle de découvrir les mystères distillés par son ancêtre ? L’argent n’entre pas dans ses plans comme elle le dit elle-même, alors pourquoi ? Ça ne colle tout simplement pas avec son personnage de dure à cuire renfrognée prête à tuer père et mère pour atteindre son but. Peut être aurons-nous des explications dans la suite, enfin j’espère. - La course poursuite en chariot était-elle vraiment nécessaire ? Oui c’est la première scène d’action, il faut bien qu’il y en ait une, mais il faut aussi savoir les doser les scènes d’action. Mettre une fusillade dès le début juste pour une histoire de vol de charriot… c’est… épique ? - Les seconds couteaux sont sous-utilisés alors que parfois il aurait été judicieux de les mettre plus en valeur, surtout dans les parties qui les concernent. Pour exemple le professeur Labotte : pourquoi ce n’est pas lui qui accompli le rituel invoquant l’esprit indien et que c’est Perla qui s’en charge ? Depuis quand parle-t-elle ce langage chamanique ancien alors que c’est Labotte l’éminent spécialiste ? Incohérent. - Elle considère les gens qu’elle paye comme ses employés et non ses associés alors pourquoi cherche-t-elle à sauver l'indien Meurs-beaucoup qui a le rôle de damoiselle en détresse ? Sam ne sert strictement à rien, sans exagérer. Bon comme promis je ne vais pas faire la liste. Voilà, c’est intéressant, moyennement divertissant, mais des regrets car on se dit que ça aurait pu (dû) être cent fois mieux ! J’attends la suite, que les personnages se découvrent davantage, qu’on explore leur psychologie, que soit un peu plus révélé le background et surtout, un peu de surprise et d’originalité serait la bienvenue. Ce tome 1 reste avant tout un premier jet (là où il faut généralement réussir son coup). Mise à jour tome 2 01/11/2016 J’y ai mis le temps qu’il faut mais j’ai enfin fini par mettre la main sur ce second tome. L’attente fut longue et le résultat pas à la hauteur des espérances. Sur le quatrième de couverture on peut lire « Pas bavarde, trop sexy pour être honnête, l’aventurière à la gâchette facile poursuit sa quête fantastique... », et cela résume un peu se que l’on peut retenir de cet album. Merci donc à Corbeyran et Kowalski d’avoir satisfait à mes attentes lubriques déjà mentionnées dans mon précédent commentaire où je regrettais que la jolie Perla ne se « dévoile » pas un peu plus. Donc, partie cul : biff(l)ée. Pour le côté « pas bavarde », c’est le moins qu’on puisse dire : toujours aucun développement psychologique des personnages, on ne sait toujours pas où l’on va, pourquoi Perla fait-elle tout cela ? L’argent, l’adrénaline ? On ne sait pas, on en est toujours au même point de départ et Labotte ne sert toujours à rien. Pour en rajouter une couche on sent le scénariste/dialoguiste en grand manque d’inspiration dans ce second volume. Entre les premières pages consacrées aux ablutions des personnages, une noyade à laquelle on ne croit et on ne vibre pas, une partie de pêche ennuyeuse à mourir (où est l’aventure là-dedans ? ), l’aspect fantastique quasiment relégué aux oubliettes parce que soyons franc cette magie chamanique avec la métamorphose ne sert strictement à rien, et un final qu’on peut qualifié de bâclé car plié en une page, deux temps trois mouvements ; je ne suis pas loin de penser qu’on se moque du lecteur devant autant d’indigence et de facilité. Mais les manquements ne s’arrêtent pas là donc, j’ai trouvé que les dialogues manquaient de punch, d’originalité, ce que les personnages se racontent est d’un bateau… quand ils ne laissent pas circonspect comme l’indienne qui emploie le mot « hétéroclite », ça ne fait pas très naturel tout ça. D’accord Corbeyran a effectué un travail de recherche sur les Kwakiutls, leurs coutumes, traditions, etc. Et alors ? La belle affaire. Et c’est bien dommage parce que Piotr Kowalski, même s’il n’est pas aussi convainquant que sur le premier tome, fait le taf. C’est soigné, pas aussi détaillé que je l’espérais, je le sens moins investi que sur le tome 1 mais son trait reste plus ou moins du même tonneau. Son illustration de couverture a beaucoup de classe et attire l’œil dans les rayons. Quant à Aurore Folny, elle est égale à elle-même, impeccable. Vraiment très déçu, Badlands ne sera probablement jamais le grand western fantastique attendu. A l’avenir si la série se poursuit il faudra la prendre pour ce qu’elle est : une sympathique série B très joliment mise en image mais plombée par un scénario paresseux et inutile.
Mon prédécesseur a pratiquement tout dit! Je sors de ma lecture assez déçu. J'ai l'impression que Corbeyran a trop voulu en mettre, à force tout cela devient un peu foutoir. Que l'on en juge : western, fantastique, malédiction indienne, conquistadors, créature à la Lovecraft, équipe de pistoleros avec à sa tête une jeune femme aguichante mais assez chiante. Bref tout cela fait beaucoup. Tout d'abord le dessin qui m'a fait un effet bizarre, c'est comme si il n'y avait pas d'unité entre les cases, j'ai eu l'impression que certaines cases étaient, disons d'un autre dessinateur, ou plutôt que celui-ci s'était moins appliqué. Dans tous les cas j'en ressors assez insatisfait. Comme dit plus haut, au niveau du scénario, ça y va. Nous avons donc un groupe d'aventuriers?, de je ne sais pas quoi, composé d'un indien qui fait office de ressort comique, un noir grand et costaud, un savant, spécialiste d'ésotérisme, le tout emmené par une jeune femme, Perla (est ce un avatar de Chihuahua Pearl?), vêtue juste comme il faut pour attirer l'oeil mais pas plus. Il semble donc que cette jeune femme ait eu un ancêtre conquistador, mais gentil, qui s'intéressait aux us et coutumes des populations juste avant qu'elles ne soient décimées, et qui en a ramené un objet magique capable d'ouvrir une porte sur un autre monde. Galopades dans le désert du sud des USA, quelques coups de feu, un enlèvement, des gentils arrivent, une évocation, grosse bête, castagne et fin. Comme l'a dit le Grand A dans son avis, il y avait un sacré potentiel, j'ajouterais sans doute trop. J'ai mis très peu de temps pour lire cette histoire et au final il ne me reste pas grand chose. Je mets tout de même cette note en espérant que pour la suite les auteurs se ressaisissent mais je suis extrêmement dubitatif et ne mets pour l'instant pas l'option d'achat.
Corbeyran (scénario) et Kowalski (dessin) signent ici le premier tome d'une nouvelle série BD très sympathique sur fond de western et de fantastique. Si le prolixe Eric Corbeyran peine de plus en plus, devant la multitude de scénarios qu'il signe, à trouver des histoires totalement originales, on doit lui reconnaitre de savoir utiliser ses influences à bon escient. Il mixe donc le mythe de la boîte de pandore avec les légendes indiennes et met en scène une nouvelle héroïne, Perla, une aventurière super sexy à la gâchette très facile. Soutenu par le trait de Piotr Kowalski (déjà remarqué dans un autre western : La branche Lincoln), j'ai lu avec plaisir ce premier opus.
Pas un seul instant je n’ai accroché à cette histoire, un scénario pareil à mille autres, donc très peu de surprises, une énième recherche du « Saint Graal » sauf que cette recherche se déroule au Far West. L’archétype de la BD commerciale. Ajoutez à cela une héroïne antipathique qui se donne des faux airs de Blueberry, des personnages secondaires insignifiants, vous obtenez une BD assez ennuyante. Le bon coté ? Le dessin bien sûr ! Beau, fin et bien travaillé ponctué par une couverture superbe.
Voilà que Corbeyran revient pour une nouvelle série faire un tour chez Soleil dans un genre que je ne lui connaissais pas : le western. Ok, on n'est pas non plus dans le Western classique, puisque rapidement, le fantastique et l'ésotérisme viennent pointer leur bout de pierre philosophale... et qu'on retrouve là ce goût du fantastique et des autres univers qu'affectionne Corbeyran. Avec ce premier tome, Corbeyran et Piotr Rowalski nous embarquent dans une aventure en Amérique du nord, fin XIXe, mais dont les racines vont chercher du côté de la conquête du nouveau monde au XVIIe. L'ancêtre de notre héroïne, Hernan Ruiz-Tenguillo, alchimiste, avait ramené quelques secrets oubliés de son voyage en compagnie des conquistadors. Perla, sa descendante, jeune fille au caractère bien trempé et aux manières de cow-boy plutôt à l'aise avec un flingue, monte une équipe pour essayer de percer ce mystère. C'est sur cette base que l'on prend rapidement le pas imposé par une histoire qui ne perd pas de temps et impose l'Aventure comme atout majeur de cette série. Les situations et les péripéties s'enchainent vitesse grand V pour rapidement nous confronter au fantastique et aux légendes indiennes qui font encore loi dans cette partie des Amériques... Passé la couverture réussie et accrocheuse, je me suis rapidement pris au jeu, surtout que le dessin de Piotr Kowalski est très réussi et que la mise en couleur d'Aurore Folny met bien celui-ci en valeur et respecte parfaitement les ambiances. Les premières pierres (philosophales ? Oui, bon elle était facile...) d'une série assez originale par sa façon de mêler différents genres sont posées et donnent envie d'en savoir plus sur ces puissances que rêve de maîtriser notre belle Perla... Une série à découvrir et à suivre, en espérant que la suite soit à la hauteur des pistes qu'on nous propose avec ce premier album, "L'enfant-hibou".
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