La Fille maudite du capitaine pirate (Cursed pirate girl)
Port Elisabeth, Jamaïque, 1728. La Fille Maudite du Capitaine Pirate part à la recherche de son père disparu, l’un des redoutés flibustiers des mythiques mers d’Omerta. Cette héroïne intrépide nous entraîne rapidement dans des aventures marines et même sous marines, à la rencontre de pirates tordus et teigneux, de créatures mythiques et autres fantasmagories se déployant comme des poupées russes.
Les petits éditeurs indépendants Les prix lecteurs BDTheque 2014 Pirates
Port Elisabeth, Jamaïque, 1728. La Fille Maudite du Capitaine Pirate part à la recherche de son père disparu, l’un des redoutés flibustiers des mythiques mers d’Omerta. Cette héroïne intrépide nous entraîne rapidement dans des aventures marines et même sous marines, à la rencontre de pirates tordus et teigneux, de créatures mythiques et autres fantasmagories se déployant comme des poupées russes. Sorte d’Alice au pays des pirates, ce récit rempli d’humour est servi par un dessin incroyablement détaillé que l’on croirait tout droit sorti d’une gravure fin XIXe.
Scénario | |
Dessin | |
Editeur
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Genre
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Public
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Type
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Date de parution | 10 Avril 2014 |
Statut histoire |
Série en cours
3 tomes parus
Dernière parution :
Plus de 3 ans
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Les avis
Oui, seulement 2. C'est totalement subjectif, bien sur, et ça m'embête énormément mais pour une bd que je me suis forcé à achever, il est impossible de mettre plus. Je ne suis jamais rentré dedans, je n'ai pas aimé, pas accroché, malgré tous les espoirs que j'avais au vu des précédents avis sur cette série. Que dire ? Côté scénario, on a une sorte d'Alice au Pays des Pirates. Hasard ou coïncidence, la lecture des livres de Lewis Carroll ne m'a vraiment pas passionné non plus, spécialement De l'autre côté du Miroir. Ce n'est sans doute pas mon genre. Il est impossible de nier l’inventivité de Jérémy A. Bastian tant sur le plan scénaristique que graphique (pour preuve la dédicace que je possède où il a rattrapé une faute de frappe à mon prénom par l’ajout d’un élément… simplement génial !). Le dessin est extrêmement riche et détaillé à défaut d’être franchement beau. À titre personnel, je ne recommande donc pas l’achat aveugle de ce titre. Mieux vaut sans doute tester en médiathèque avant de se lancer… Je le répète : ce n’est pas une œuvre ratée, mais je suis resté hermétique à cette Alice.
OUAOUH ! Eh bien, quelle claque ! Et que voilà une superbe découverte que cet auteur et cette série (que je vous encourage fortement à découvrir, en espérant que la suite sera du même acabit). On ne peut décemment pas être indifférent à l’aspect graphique. Auquel il faut accrocher, certes, car il est parfois déroutant et toujours original, mais qui est d’une richesse immense ! Surtout que les éditions de la Cerise ont fait un travail qui ne trahit pas celui de Jeremy Bastian : on a là un bien bel album ! Le dessin, en Noir et Blanc, est souvent hyper détaillé, avec certaines planches ressemblant aux gravures du XIXème siècle – ou à des collages réalisés à partir de ces mêmes gravures. Des personnages tantôt réalistes, tantôt aux formes étonnantes, avec des planches plus ou moins chargées : je me dis que Bastian a dû passer un temps fou pour réaliser cet album ! Mais qu’il a du talent ! Un petit côté art-book qui à lui seul vaut la lecture et l’achat. Pour ce qui est de l’histoire, j’ai été tout aussi vite captivé, « embarqué », enrôlé comme on pouvait l’être sur un coup de tête (ou un coup reçu sur la tête !) dans un équipage – qu’il soit pirate ou de la marine royale. Si l’on semble reconnaître un univers proche des Antilles et des ilots recelant des repères de pirates au XVIIIème siècle, cela s’écarte rapidement d’une réalité connue, on embarque sur les mers de l’Omerta en larguant précipitamment les amarres, vers l’inconnu, avec cette gamine à la recherche de son père pirate. Le reste est difficile à résumer, cela pourrait s’approcher de l’Odyssée, d’Alice au pays des merveilles ou de quelques récits médiévaux : j’ai souvent eu l’impression d’avoir feuilleté un recueil de portulans remplis d’aventures et de créatures fabuleuses, déconnectées du rationnel commun. Le tout mâtiné de récit d’aventure classique à la Stevenson. Un scénario décousu et délirant qui louvoie face au vent du rationnel. Un récit foisonnant, poétique, décalé, en tout cas une perle que tous les amoureux d’œuvres originales se doivent de découvrir ! Je mets quatre étoiles à cette série pour le moment (note réelle 4,5/5), mais si la suite est du même tonneau, la cinquième lui est acquise. ********************************************** La lecture ce matin du deuxième tome fait plus que confirmer la richesse de cet ovni, et l'enthousiasme que la lecture du précédent opus avait déclenché de ma part. En effet, on retrouve la suite de cette quête, menée par une Alice qui aurait traversé le miroir et le temps, qui, dans des décors de collages surréalistes flânerait sur l'imagination de Bosch ! La construction des planches est souvent très décousue (il faut s'accrocher parfois pour suivre le texte, qui serpente autour des dessins !), et le dessin est d'une richesse ! L'éditeur a une nouvelle fois été à la hauteur, avec une page qui se déplie en sus, pour ajouter à la difficulté. C'est vraiment beau. En fin d'album, quelques pages proposent des dessins de personnages à découper. Ce serait vraiment dommage de le faire et d'ainsi rompre ce bel écrin. Une suite qui confirme en tout cas le talent de Bastian - j'attends la fin avec beaucoup d'impatience ! Je mets ici, pour conclure, une citation d'un critique, mise en exergue sur un bandeau de cette édition: " Un mariage parfait des images et des mots. Époustouflant !!!". Rien à ajouter. Enfin si, un petit ajout, une étoile, puisque je passe aux cinq que cette série mérite amplement, tant elle sort (brillamment !) des sentiers battus ! (mon seul regret, mais il est finalement aussi un hommage à cette belle histoire, c'est que le deuxième album soit moins épais que le premier...)
Quelle énergie mes amis, quelle énergie ! Jeremy Bastian est une incroyable découverte. Sa série propose une histoire échevelée, d'une inventivité à faire pâlir les plus grands fabulistes de l'Histoire, une histoire qui part un peu dans tous les sens, mais où justement la fille maudite du capitaine pirate ne perd pas son objectif de vue, à savoir retrouver son père. Bastian transfère le motif de la quête à l'ancienne dans le monde de la piraterie, et c'est tout bonnement très prenant. Et pour illustrer cette histoire qui mêle bouffonnerie, exubérance et mascarade, il nous donne à admirer son trait éminemment élégant, mais aussi d'un pointillisme qui confine à la maniaquerie médicalement inquiétante. Les détails sont juste incroyables. Une vraie bouffée d'air frais !
Il y a de l'originalité dans le style graphique ainsi que dans l'écriture de ce récit de pirates. En effet, il y a mille et une astuces narratives qui en font un petit bijou maritime. Visuellement, c'est très beau. Cela ressemble à des gravures des siècles derniers. L'univers est foisonnant de petits détails. Les connaisseurs apprécieront à leur juste valeur ce conte loufoque. Je regrette juste que cela soit un peu trop fantaisiste sur les bords. Le ton est totalement décalé. Cela fait penser irrémédiablement à Alice au pays des merveilles mais version pirate. Ce n'est sans doute pas mon style mais je reconnais des qualités indéniables. Bref, cela n'a pas de sens pour moi et j'ai besoin de cela pour apprécier une oeuvre. Les mers d'Omerta vous attendent pour voguer vers l'aventure !
Jeremy Bastian, tant par son énorme boucle nasale que pour son style graphique, tient du pirate. Un pirate gentil au regard extrêmement doux, mais visiblement décidé à n’en faire qu’à sa tête en renversant la table des conventions. Cet auteur mène sa barque à contre courant de tout ce qui peut se situer, de près ou de loin, dans la tendance. Non, c’est sûr, Jeremy Bastian n’est pas de ce siècle, avec son dessin évoquant les gravures de Gustave Doré, à mille lieux d’un manga industriel et formaté. Et il fallait que ce soit un petit éditeur passionné (et auteur lui-même) qui repère cet artiste atypique et tout aussi passionné. La collaboration entre Guillaume Trouillard, des Editions de la Cerise, et l’auteur américain s’apparente véritablement à une idylle artistique. Le premier est allé jusqu’à refaire tout le lettrage après traduction en respectant scrupuleusement le style de police original. De la belle ouvrage à l’ancienne, assorti d’un tirage luxueux au format plus grand que la version US ! Le dessin, tout à fait remarquable et d’une finesse hors du commun, permet de représenter un fourmillement de détails hallucinant. Et quand je dis « fourmillement », le terme n’est pas galvaudé. On peut pendant des heures y explorer du regard qui la cuisine cradingue d’un navire où mille ustensiles côtoient poulets, souris, poissons morts et autres créatures visqueuses, qui la chambre d’Apollonia regorgeant de jouets divers et de mobilier rococo, qui le fond de l’océan peuplé d’êtres mystérieux et de coquillages enchevêtrés. Pourtant malgré toute cette finesse, il y a quelque chose de pas vraiment net voire d’un peu tordu au royaume de Jeremy « Pirate » Bastian : sa représentation des corps, têtes et membres, difformes et disproportionnés, totalement assumée et pour notre plus grand plaisir, accentue le côté carrollien de l’objet, à la fois monstrueux et merveilleux. On l’aura compris, le minimalisme, c’est pas son truc à Bastian, et si les fins exégètes auront tôt fait de moquer, avec un brin de condescendance, ce dessin « chargé » et toutes ces fioritures « very old school », on ne doute pas que l’auteur, en réaction, dégaine son drapeau noir à tête de mort et à majeur dressé. « La Fille maudite du Capitaine pirate » est à ce point hors du temps, de par son aspect contemplatif et « ancien », que l’on en perd la notion même. Et au fond, c’est peut-être bien ce qu’il cherche à faire, ce flibustier de Bastian : nous arracher au présent pour nous trimbaler avec ses pirates dans une autre dimension au goût d’éternité. On l’imagine parfaitement, étant gamin, s’extasier à la lecture de « Peter Pan » ou passer son temps à dessiner des cartes au trésor. Certes, ce tome 1 pêche un tantinet par son scénario, lequel, à l’image du dessin, est envahi de circonvolutions délirantes (et par moments quelque peu balourdes), mais on en termine la lecture avec ce vague sentiment d’être passé de l’autre côté du miroir, dans un monde aussi mystérieux qu’addictif. Un peu comme la jeune Apollonia, chez qui la rencontre avec la fille du pirate semble avoir déclenché un processus irréversible de métamorphose psychique, sorte d’entrée en rébellion contre l’éducation bourgeoise sous cloche que veut lui imposer son gouverneur de père. Quoiqu’il en soit, une lecture ne suffira pas pour capter l’infinité de détails de ce premier volet, et c’est avec plaisir qu’on s’y replongera avant de découvrir la suite, qui permettra de vérifier si Bastian ne fait qui naviguer à vue ou détient véritablement une idée précise de l’issue de sa course au trésor. De toute façon une très belle découverte qui aura enchanté mon festival. Et qui aura probablement engendré ma critique la plus longue sur BDT, sorry ;-)
Alors là, Mr Bastian on peut dire que vous m'avez scotché propre et net. Découvert à Angoulême sur les conseils d'un excellent camarade et après une dédicace ou vous n'avez pas levé le nez de votre ouvrage. Mais aussi quelle concentration, quelle application, quel dessin, j'avoue que pendant les dix minutes qu'on duré la chose j'étais en état de béatitude totale devant tant de maestria. Quelques jours plus tard l'euphorie étant retombée je me suis attelé a la lecture de cette fille maudite. A vrai dire doit t'on vraiment parler de lecture? Cette BD arrive à allier plusieurs niveaux: la lecture proprement dite du contenu des bulles et surtout la contemplation, le déchiffrages des planches. Gustave Doré, John Tenniel, les récits de piraterie de Stevenson , Conrad, tout y est. C'est un véritable régal de se plonger dans ces planches qui deviennent des illustrations ou les détails foisonnent. Ceux ci n'étouffent en rien le récit, ils le magnifient. Alors au final, oui c'est une lecture exigeante, qui demande du temps, il faut y revenir, non pas pour comprendre mais pour redécouvrir des détails qui nous ont forcément échappés. J. Bastian arrive a nous emmener très loin avec une histoire somme toute classique. Des dialogues qui sont un pur bonheur, des rencontres qui vous emmènent de l'autre côté du miroir, un dessin qui ne fait que s'améliorer au fil des pages, (comment est ce possible?), voilà un ouvrage de très belle facture dont l'extérieur est lui aussi plus que travaillé qu'il faut découvrir de toute urgence.
Lors de mes déambulations à Angoulême cette année beaucoup de BD ont attiré mon œil. Mais cet ouvrage est le seul à avoir provoqué un coup de coeur immédiat. La couverture sobre arbore un magnifique dessin bourré de détails et incitant immédiatement à l'ouverture. La suite n'est que découverte et recherche. Découverte car chaque page se laisse admirer et recherche car les planches regorgent de détails et plusieurs lectures sont nécessaires pour tous les découvrir. Le scénario n'est pas en reste puisque nous suivons les aventures d'une petite fille à la recherche de son père qui serait l'un des 5 capitaines pirates des mers d'Omerta. Mélange d'Alice au Pays des Merveilles et de romans d'aventure nous sommes happés dans l'histoire pour ne plus en décrocher. Seule frustration entre l'envie de dévorer l'histoire et le plaisir de s'attarder sur les planches il faut choisir. Bravo à Jérémy Bastian qui s'il continu sur les deux tomes restants méritera un statut de culte pour son oeuvre.
Que dire à part que passer à côté de ce petit bijou serait vraiment dommage. L'édition est belle, on sent qu'on a dans les mains autre chose qu'on ouvrage qui sent le plastoc, ça sent plutôt le vieux fût de chêne, la rouille et la poudre. C'est une sacrée prouesse artistique. Il faut savoir que Bastian a passé parfois une semaine entière pour une planche, et quelles planches !!! C'est du travail d'orfèvre, une multitude de détails vous oblige en quelque sorte à contempler cet ouvrage, on ne passe pas d'une page à l'autre rapidement ou alors c'est se gâcher le plaisir. Faut prendre le temps, entrer dans cet atmosphère particulier que Bastian a su créer. L'humour décalé est omniprésent, les dessins jouent le jeu à fond. Tout semble prétexte à s'écarter des sentiers battus. Des personnages complètement loufoques mais inquiétants, ça fait sourire, mais le fond de l'histoire reste une affaire sérieuse. Le tout est bien enrubanné par des dialogues croquignolets avec un mélange de vieux français... Amoureux des belles planches, foncez ! Amoureux des beaux mots, foncez ! Bref si vous aimez la BD, foncez !! (Pour les cinéphiles, j'ai trouvé un côté Pirates de Polansky 1986. Effet "madeleine de proust".) Il y a aussi une ambiance Baron de Münchhausen de Terry gilliam, complétement bargot ! De mon point de vue, un des meilleurs albums 2014.
BLAM ! Ba merde, en voilà une baffe que j’avais pas venu venir ! Ce premier tome de "La Fille Maudite du Capitaine Pirate" est tout simplement sublime ! Car la donzelle qui part en quête de son margoulin de paternel en a sous la botte montante, et celui qui nous conte ses aventures fantastiques en a autant sous le tricorne que sous la plume ! Graphiquement, c’est juste époustouflant. Ça a de la gueule, ça a du style, ça tire à boulet rouge sur toutes les conventions de la BD actuelle, mais qu’est-ce que ça fait du bien !!! Jeremy Bastian nous entraîne dans un univers complet qui lui est propre, dans un noir et blanc épuré et précis. On navigue entre un visuel qui m’a beaucoup évoqué les gravures de Gustave Doré, de part l’aspect graphique qu’il développe et l’imaginaire issu du conte qu’il utilise. Ses planches évoluent rapidement au fil de l’album et de l’histoire pour composer au final de véritables petits bijoux de composition, où détails et lignes courbes se la jouent à la pointe de la plume pour avoir le dernier mot. Si cette façon de composer ses planches proche de l’illustration pure pourra en gêner certains dans la narration, je suis tombé sous le charme de cet équilibre fragile mais magique qu’il a su trouver. D’autant plus que Jeremy Bastian n’est pas du genre cintré côté imagination ! Il l’a même plutôt débridée ! Il n’est qu’à voir le bestiaire qu’il nous propose et les personnages qu’il lâche au fil des pages pour essayer de prendre la (dé)mesure de cet album. C’est L’île au trésor de Stevenson et Alice aux Pays des Merveilles de Lewis Carroll passés à l’alambic pour en tirer une décoction qui détonne ! On est porté par cette lame de fond narrative où l’épique prends le dessus sur la raison. C’est juste fou. Juste beau. Et on se laisse porter jusqu’aux dernières pages de ce premier tome en piaillant d’impatience pour qu’une suite nous soit livrée… A lire sans conditions !
Dès les premières pages, je suis tombé sous le charme du graphisme très particulier de Jeremy Bastian. J'ai eu l'impression d'y retrouver l'influence de nombreux styles que j'apprécie, à commencer par celui de Nancy Peña, mais aussi d'illustrateurs et graveurs plus anciens et notamment John Tenniel qui illustra Alice au Pays des Merveilles en 1866. On retrouve une ambiance proche de celle de Lewis Carroll dans cette fable folle, légèrement inquiétante, et emplie de personnages étonnants sortis de l'imaginaire et des légendes marines. J'y ai retrouvé aussi l'influence graphique d'auteurs américains indépendants tels que Daniel Clowes ou Charles Burns qui eux aussi savent créer des atmosphères pleines d'une troublante magie. C'est donc un graphisme proche de l’illustration, un petit peu trop figé pour de la bande dessinée mais très soigné, très travaillé, enluminé serais-je même tenté de dire. Il est régulièrement trop dense de détails alourdissant la narration voire la rendant confuse mais ça n'en reste pas moins un plaisir pour les yeux pour les amateurs de ce genre de dessin. L'histoire elle-même est une fable onirique et aventureuse où nous suivons les péripéties fantastiques d'une jeune fille à la recherche de son père capitaine pirate qu'elle va tenter de trouver en traversant les mers fantastiques et en affrontant monstres et dangers. Le récit est un peu décousu et légèrement foutraque. Il commence de manière relativement terre à terre mais à partir du tiers de l'album, il plonge vers une ambiance de conte fantastique presque délirant qui pourrait peut-être en déstabiliser certains même si j'ai apprécié le charme de l'ensemble. Seule la narration un peu difficile réduit le plaisir de lecture et peut fatiguer à la longue. J'aurais préféré que l'histoire se termine en un seul tome par exemple car j'ai peur que la poésie s'essouffle sur la longueur même si le talent graphique et le soin apporté au détail va presque croissant de page en page.
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