Warship Jolly Roger
Dans une fédération stellaire mise à mal par les indépendantistes, quatre prisonniers s'évadent, dont le criminel de guerre Jon T. Munro. Ancien général de l'armée, il devra s'associer avec une mercenaire militante, un contrebandier ultra violent et un ado mutique pour récupérer son vaisseau : le Valkyrie. Le Jolly Roger, pavillon des pirates, flotte bien sur ce space opéra survolté !
Auteurs espagnols Space Opera
Dans une fédération stellaire mise à mal par les indépendantistes, quatre prisonniers s'évadent, dont le criminel de guerre Jon T. Munro. Ancien général de l'armée, il devra s'associer avec une mercenaire militante, un contrebandier ultra violent et un ado mutique pour récupérer son vaisseau : le Valkyrie. Le Jolly Roger, pavillon des pirates, flotte bien sur ce space opéra survolté !
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Date de parution | 02 Mai 2014 |
Statut histoire | Série terminée (mais une suite est possible) 4 tomes parus |
Les avis
Quelle agréable surprise que ce classique mais bien balancé space-opera ! Rien de très original dans le scénario avec un panel de personnages aux profils déjà souvent exploités et des rebondissements tellement bien amenés qu’ils nous paraissent des plus logiques et donc prévisibles… a posteriori (c’est là toute la différence !) Le dessin et la colorisation rappellent le dessin d’animation mais sont extrêmement efficaces et bien adaptés au média BD. C’est typique de l’école espagnole actuelle qui, décidément, possède en ses frontières une flopée de dessinateurs de bd talentueux. Si le premier tome m’avait plu par son rythme et sa mise en place d’une intrigue dans laquelle je me sentais à l’aise car en pays de connaissance, c’est le deuxième tome qui achèvera de me convaincre grâce à la mort d’un des personnages. Depuis, je l’avoue, je suis accro ! Après Orbital, Sylvain Runberg signe donc une nouvelle série de space-opera de qualité. Adaptée pour un large public, elle nous offre un cadre et des personnages bien balisés, de l’action et du suspense. C’est classique mais foutrement bien fait !
BD divertissante qui nous propose tous les ingrédients habituels de ce type d'histoire. Une bande hétéroclite avec des personnages bien typés et qui n'auraient pas dû se rencontrer qui vont être obligés d'unir leur force pour échapper aux méchants qui veulent leur peau. Honneur perdu, famille disloquée, des ennemis supérieurs en nombre, on sent bien qu'ils vont y arriver un jour ou l'autre, mais en cours de route il va y avoir du boulot et de la baston. L'ensemble est plaisant, bien construit, on ne s'ennuie pas une seconde. Pour un album de mise en place c'est plutôt bien fait. Ajoutons à cela un univers avec un bon background, bien travaillé, aidé en cela par un dessin plus que correct et dynamique. Cette petite bande mérite sûrement qu'on la suive.
Warship Jolly Roger est une série SF d'action et de Space Opera plutôt plaisante. Elle ne surprend pas trop par son concept et son cadre de fédération spatiale, de vaisseaux et de prisonniers rebelles mi-pirates mi-western. Le fil rouge de l'intrigue, la vengeance d'un ancien capitaine de navire militaire envers son supérieur hiérarchique qui l'a trahi, n'est pas non plus novatrice mais elle permet un récit assez dense et juste assez complexe pour être prenant. A cela s'ajoute une petite équipe de personnages variés dont on sent qu'ils ont encore du potentiel pour étoffer l'intrigue avec leurs spécificités et leurs petits mystères personnels. C'est du bon divertissement, avec un dessin de belle qualité. Le récit est très bien mené, rythmé et agréable. Une lecture qui fait passer un bon moment, même si elle ne marque pas trop par son originalité.
La trame de ce récit est basée sur la vengeance. Un bon soldat obéit toujours aux ordres et notamment lorsqu'il est au service d'un régime voulant maintenir l'ordre dans la galaxie confrontée à une guerre séparatiste. Il hésite lorsqu'on lui ordonne de tuer des milliers de civils qui servent de boucliers humains à la rébellion. Son seul tort ? Avoir obéi. Il va tout perdre et se retrouver comme un paria dans une prison intergalactique. Il va s'échapper et s'associer avec des gens bizarres qui cachent de lourds secrets: voilà pour le début de cette aventure de pirate de l'espace comme un certain Albator. J'ai failli décrocher au tout début mais on trouve du plaisir à lire ce premier tome qui arrive à tenir ses promesses. On évolue dans un univers à mi-chemin entre Star War, Blade Runner ou Riddick. C'est un space-opéra plutôt audacieux. Certes, de la violence mais également un brin d'intelligence. Niveau dessin, le dessinateur espagnol assure bien. Une bonne maitrise également du découpage de l'histoire. Pour le reste, c'est une mise en place assez prometteuse. Donc à suivre...
Je ne suis pas un fan de science-fiction, ou de space opera. Les seules BD que j'aime vraiment dans le genre sont Universal War One (UW1) et Space Adventure Cobra. Et pourtant, j'avoue avoir été séduit par les aventures de ces prisonniers et de ce baroudeur charismatique qu'est le héros. Si les héros de BD pouvaient avoir la même profondeur, ce serait le rêve... Dans Warship Jolly Roger, on suit les aventures de 4 évadés d'une prison spatiale de haute sécurité. L'équipe est menée par un héros emprisonné à tort (bien entendu...), au lourd passé, et accompagné de héros aux styles variés, sombres, et plutôt énigmatiques. Ça bouge et ça défouraille dans tous les sens, la narration et fluide et très maîtrisée (l'alternance avec les flash-back est très bien fichue), et le dessin et la colorisation sont vraiment très agréables. Une très belle découverte en ce qui me concerne et j'attends avec impatience le tome 2 !
Note : 3,5/5. Attirée par le graphisme au poil et les avis positifs de tous mes libraires j’ai vite fait l’acquisition de cette B.D. Je commence par ce qui est de l’ordre du parfait, le dessin. Aucune faute à relever, les perspectives sont parfaites et les personnages fluides et expressifs, il y a une bonne dynamique dans les mouvements, tout y est pour contenter nos mirettes. J’émettrai un tout petit bémol sur la colorisation. Je la trouve jolie et bien appliquée, bien qu’informatisée elle n’a pas d’aspect artificiel. Le choix du changement de couleurs entre le présent et le passé aide au bon suivi du récit, cependant je trouve que trop souvent les couleurs sont trop uniformes, je n’entends pas là qu’il y a des planches majoritairement rouges, sépia ou vertes, et que les éléments ne se détachent pas assez les uns des autres. Je le vois souvent en B.D., ça peut instaurer une certaine ambiance par moments, mais tout au long de la B.D. ça fatigue un peu les yeux. Pour ce qui est du scénario j’ai surtout apprécié les personnages psychologiquement bien travaillés, avec des personnalités différentes et des réactions en accord avec les faits. L’histoire sur ce premier tome est assez classique, mais ce n’est qu’un début, et même si la suite se devait de l’être encore ça ne me gênerait pas forcément, car c‘est du classique agréable à lire. Ce qui me chagrine c’est plutôt l’avancée technologique et les éléments de la vie de tous les jours. On est dans les années 3850 et trop de choses ressemblent à notre quotidien : injections antirides, mobilier, villes, vêtements, coiffures, armes ! Bref, le dépaysement pour un tel saut dans le temps est un peu décevant, et ça m’a dérangé tout au long de la lecture. C’est globalement bon, ne serait-ce que pour découvrir ce qui va arriver aux personnages et se faire plaisir avec le graphisme de Montllo.
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