The Sixth Gun
Un western peuplé de zombies.
Le western fantastique Oni Press Zombies
Un beau moustachu appelé Drake Sinclair, recherche un un 6ème flingue censé le mener à un trésor. Mais ces 6 flingues sont ensorcelés. Un méchant général, mort-vivant enchainé dans son cercueil, aidé de sa troupe de zombie et de sa femme, tentera de l'en empêcher par tous les moyens. Mais le vaillant Drake sera aidé de son coté par la jolie Becky, et le bougon O'Henry. A trois contre mille, leur quête évoluera de victoires en défaites, et d'alliances en mésalliance, vers un trésor qui n'est qu'un morceau de l'enfer.
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Date de parution | 19 Juin 2014 |
Statut histoire | Série terminée 7 tomes parus |
Les avis
Ce western fantastique ne m’a pas particulièrement marqué. L’intrigue est assez basique de ce qu’on faisait habituellement dans les années 80 et 90 avec une débauche d’effet spéciaux toujours dans la surenchère. Il n’y a rien de réellement transcendant. On est dans un style Pirates des Caraïbes chez les sudistes. On est même très vite gavé par une telle lecture. Les situations ainsi que les personnages ne sont pas crédibles et on a très vite envie de passer à autre chose. Pourtant, le dessin était assez avenant avec une belle palette de couleurs chatoyantes. Cela ne me suffit pas. Je n’ai pas envie de continuer l’aventure. Va-t-on me faire un procès pour cela ?...
Ce western goût zombie m'a fortement déplu au premier tome : la complaisance vers le gore, le dégoulinant, l'invraisemblance totale, sur un ton de prêcheur télévisé : Pouah ! Mais le beau moustachu m'a finalement amadouée au second tome. L'histoire est mieux ficelée, les zombies laissent un peu de place aux héros de western plus habituels, un peu de classe, que diable ! Le monde surnaturel est moins laid et moins informe : on réussit à se détacher du modèle vendeur Walking Dead 1830. La voix off reste en sourdine et les dialogues se suffisent à eux mêmes. Pour le dessin, la couleur s'améliore aussi, les traits sont de bonne facture, parfois l'encrage est un peu appuyé mais pourquoi pas... Le deuxième tome s'appelle "à la croisée des chemins", ça n'est pas original, mais le scénariste s'y trouve aussi : soit il replonge dans le zombisme, soit il maintient l'équilibre entre l'esthétique western et l'envie de surnaturel propre à notre époque... Dans l'ensemble : rien de révolutionnaire, mais une sorte d'équilibre entre le truc vendeur creux et les silhouettes racées des grands films de John Ford qui montre le bout de son nez. Désolée mais les tomes suivant retournent vers le sanguinolent inutile qui m'insupporte...
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