Les Premiers

Inspiré par d’authentiques recherches scientifiques, un polar aux frontières du fantastique met en scène le retour des Néanderthaliens. Glaçant…
Occitanie
Le major Benjamin Lesnick est appelé en pleine nuit par son chef pour une affaire grave. Le commissariat de Perpignan est en effet en effervescence, car une nouvelle disparition a eu lieu dans la région. Le chef de la section, le capitaine Valère, présente les faits. Il s’agit d’un forestier, Jacques Landrieu, qui a été enlevé sous les yeux de sa femme dans le village d’Estagel. Alors que l’homme était robuste, il a été enlevé en pleine nuit au moment où il dormait paisiblement dans son lit. La femme du disparu a vu simplement une grande ombre qui poussait des grognements. C’est la quatrième disparition de ce genre en quelques mois. Le mode opératoire est le même et touche toujours des hommes costauds qui vivent à la campagne et qui ont la quarantaine. Valère présente également à son équipe le commandant Gutzmann qui vient de la police judiciaire de Paris. C’est une belle femme au caractère bien trempé et qui avait eu une liaison avec Valère du temps où ils faisaient équipe ensemble. Le commissariat est sur les dents : les trois autres disparus n’ont jamais été retrouvés. L’enquête commence…
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Date de parution | 25 Juin 2014 |
Statut histoire | One shot 1 tome paru |
Les avis


L’intrigue est originale. Elle a un petit côté « meurtre à » (la série polar de France télé aux airs de dépliant touristique pour la collectivité qui co-finance), on est ici à Perpignan. Une fliquette rejoint des gendarmes pour élucider une série d’enlèvements et de meurtres. Les histoires d’amour sont aussi téléphonées que dans les séries susnommées (pour le peu que j’ai pu en voir). Pas palpitant au départ donc, mais le scénario bascule peu à peu dans quelque chose de plus original, avec une touche de fantastique étrange de plus en plus prononcée. Disons que ça pimente le récit, et le fait sortir de l’ordinaire. Et Piatzsek a la bonne idée de ne pas « expliquer » artificiellement et trop rationnellement les choses, la fin est ouverte, ça passe mieux ainsi. J’ai bien aimé la colorisation, et le dessin aussi, même si j’ai eu du mal avec les nez dessinés par Chemineau. Une lecture plaisante, mais sans plus me concernant.
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