L'Immortel
L'irruption de la Chine dans la Venise de la Renaissance. Une excellente BD dynamique et recherchée aux dessins et couleurs extrêmement maîtrisés.
1454 - 1643 : Du début de la Renaissance à Louis XIII Albin Michel Italie Marco Polo Venise
Wu-lin, fille du sage de la montagne (également maître en arts martiaux) apprend que celui-ci a été sauvagement assassiné par des ninjas au service d'un ennemi à la recherche de l'immortalité. Le meurtre a lieu en Chine mais son commanditaire semble opérer depuis l'Europe et plus particulièrement à Venise. Aidée par un diplomate italien de retour au pays, elle décide de rejoindre Venise pour venger son père et empêcher la naissance de "l'immortel". Victime d'un complot comme les Vénitiens en ont seul le secret, elle est désormais abandonnée de tous mais un mystérieux allié semble avoir quelques raisons de l'aider à accomplir sa vengeance.
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Editeur
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Genre
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Public
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Type
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| Date de parution | Janvier 2001 |
| Statut histoire | Série terminée 2 tomes parus |
Les avis
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J'hésite, j'hésite pour la note... car je n'ai pas compris grand chose dans ce récit un peu compliqué, ou je n'ai pas su voir ses qualités. Je sens qu'il y a quelque chose d'intéressant mais je ne suis pas parvenu à me passionner pour cette histoire qui part un peu sur les traces de Marco Polo, avec son mélange attractif de Chine ancienne et de Venise médiévale. Le dessin a retenu plus mon attention pour son style pictural et ses superbes décors, de même que la mise en page avec ses grandes cases qui contrastent avec des pages aux dialogues prolixes. Une Bd pas assez maîtrisée sur le plan du scénario et du découpage, c'est dommage, le début est bon ; elle prend un peu trop la tête lorsque le vieillard qui sauve Wu-Lin se lance dans un monologue interminable. Sinon le dessin est là, bluffant, j'ai peu vu ce résultat en BD, mais ça ne suffit pas pour monter ma note.
Une série totalement déséquilibrée avec un premier tome qui tiendrait en deux lignes et un second bavard, mais bavard ! Au lieu de nous révéler l'histoire au fil des cases, à environ la moitié de ce dernier on nous raconte l'histoire dans un blabla interminable et soporifique, qui transforme la bd en livre d'illustration, j'ai totalement décroché de l'histoire. D'autant plus que je n'ai pas trouvé les personnages attachants, mais plutôt froids et artificiels. Quant au dessin il est beau, certes. De belles couleurs directes, mais le tout est un peu figé. Cela dit ce n'est pas vraiment gênant, ce qui m'a le plus dérangée c'est cette fille qui n'a fait que se battre cul-nu, toujours à moitié à poil, d'ailleurs j'ai eu plusieurs fois l'impression qu'elle dansait plus qu'elle ne se battait. Pourquoi ne pas faire une bd érotique ?
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