Eternum
Si l'origine de l'homme était une femme...
Christophe Bec École européenne supérieure de l'image
2297. L’Homme a envahi et colonisé la majeure partie de notre galaxie. Aux confins de la Voie Lactée, une équipe d'excavateurs découvre un mystérieux sarcophage enfoui dans les entrailles d’une planète aride. Sur Terre, les astronomes d’un observatoire d’Amérique du Sud repèrent un mystérieux rayon cosmique, apparu soudainement depuis le Nuage de Magellan, une galaxie mineure en orbite autour de la nôtre. Peu de temps après, la base lunaire rompt tout contact avec la Terre. Une équipe de scientifiques et de militaires est envoyée sur place, elle découvre un spectacle apocalyptique. Les hommes et femmes se sont entretués. Le Consortium qui exploite les ressources minières des planètes décide de ramener sur Terre l’étrange sarcophage afin de l’étudier et d’en percer les secrets. Que renferme-t-il ? Est-ce un vestige d’une civilisation extraterrestre ?
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Date de parution | 24 Juin 2015 |
Statut histoire | Série terminée 3 tomes parus |
Les avis
Christophe Bec est un auteur un peu rageant, car il est capable du meilleur comme du pire, et il est toujours difficile de prévoir, en se lançant dans une nouvelle de ses sagas, si on va être confronté au meilleur ou au pire. Avec Siberia 56 ou les trois premiers tomes de Carthago (je ne suis pas encore allé plus loin), j'ai eu le meilleur. Avec "Eternum", on toucherait plutôt au pire, malheureusement... Tout n'est pas à jeter dans cette saga, bien sûr, mais Christophe Bec nous ressasse un nouveau scénario rappelant beaucoup ceux qu'il a déjà écrits ailleurs. Il s'interroge énormément sur l'origine de l'Homme et de l'univers. C'est intéressant et parfois captivant, mais le problème, c'est qu'à chaque fois, il tombe dans un gloubi-boulga pseudo-spiritualiste ou philosophique qui ne fonctionne pas vraiment. Déjà, Bunker passait complètement à côté de son potentiel en préférant s'intéresser à la genèse de l'univers plutôt qu'à ses personnages humains. Avec "Eternum", il poursuit dans cette voie qui, malheureusement, ne lui réussit pas. Bec instaure énormément (trop ?) de références à Alien, mais n'égale jamais le génie de Ridley Scott. Car tout le génie d'Alien, c'est de rester sur un pur récit d'exploration, ce qui était aussi celui de la saga Sanctuaire, que Bec avait dessiné. Mais ce qui coula la saga de Scott, et qui plombe tous les scénarios de Bec, c'est justement de ne pas vouloir rester sur l'exploration, et de préférer imaginer des mythologies trop démonstratives. A la suggestion, Bec préfère l'évidence (sauf dans le cas d'une série comme Siberia 56, justement), et fait crouler son scénario sous le poids de longs verbiages explicatifs toujours très laborieux. Et surtout, en faisant cela, il prive totalement le lecteur de sa capacité à combler les vides d'un scénario légèrement cryptique mais pas trop. Chez lui, plus rien de mystérieux, tout est dit. Or, ce que j'aime, c'est quand des clés nous sont données, mais où on nous laisse imaginer ou comprendre certaines des implications de ce qui nous est montré. Encore une fois, il faut trouver le bon équilibre pour que ce ne soit pas trop abscons, mais encore une fois, j'ai trouvé le bon exemple dans Siberia 56 qui, justement, n'affirme jamais rien sur l'origine de l'univers et l'existence de la civilisation extraterrestre, mais ne nous fait que supposer ce à quoi celle-ci peut ressembler et quelles sont ses motivations. Ainsi, Eternum explique trop, et c'est sa grande faute. C'est dommage, car le dessin de Jaouen est très réussi. Même si ses corps humains ont toujours des formes un peu trop parfaites ou un peu trop lisses, sa patte graphique correspond totalement à l'ambiance voulue par Bec, ce qui donne un ton véritablement grandiose au scénario. Mais on sait que Bec aime tirer le grandiose vers le grandiloquent... Donc même si la lecture n'est pas totalement désagréable, Eternum reste une sacrée déception de par son immense potentiel inexploité. Mais bon, je vais continuer à me battre pour trouver de bons scénarios de Bec, je suis sûr qu'il peut encore me surprendre !
Je suis plutôt fan des scénarios de Christophe bec, mais avec cette trilogie j’avoue que je n’ai pas trop accroché. L’intrique ne casse pas trois pattes à un canard. L’histoire est mince comme du papier à cigarette et sans aucun intérêt. Aucun suspens. On imagine très rapidement la fin du récit. Le mysticisme voulu tombe à plat. Pas ressenti une once d’ambiance oppressante comme j’avais pu le ressentir dans the thing, film réalisé par John Carpenter. je fais ce parallèle car je trouve qu'il y a de nombreuses similitudes entre ce film et ce récit. Le graphisme avec sa colorisation acidulée n’est pas terrible visuellement même si certains décors tiennent vraiment la route. On peut avoir l’impression de se retrouver dans le film d’Alien par moment. C’est l’unique point très positif de ces albums. Vous allez côtoyer de nombreux personnages. Sans aucun intérêt mais Bec fait du Bec ! C’est sa marque de fabrique. Plusieurs époques, plusieurs lieux et une multitude de personnages. Aucune surprise de ce côté-là. Au final je reste sur ma faim à la lecture de ces albums sans saveur. Je ne dis pas que je me suis ennuyé mais j’attends plus. Bec devrait se renouveler un peu car là ça sent un peu le sapin.
Les histoires de Christophe Bec et moi on n’a jamais vraiment réussi à s’entendre. Je reproche à ce scénariste son manque d’originalité lorsqu’il écrit de la SF, de ressasser les mêmes poncifs pompés à droite à gauche agrémentés de dialogues lourdingues et clichés. Dans la préface d’Eternum, Bec annonce la couleur et prévient les lecteurs sur le contenu du récit. Un préambule honnête et salutaire, il n’y aura pas tromperie sur la marchandise, on sait où l’on met les pieds. Ainsi Eternum se veut un revival hommage aux films de SF des années 70-80. Alien le huitième passager, Alien 2 le retour, oh oui ça c’est clair, gros, gros pompage des deux premiers films de la saga Alien dans ce premier tome. Entre la découverte archéologique d’une relique extraterrestre qui va semer la terreur sur un vaisseau spatial, la dite relique renfermant un corps étranger, le commando composé de militaires bourrins venant à la rescousse mais qui à leur tour se font laminer, les vilains scientifiques qui jouent les Frankenstein, la compagnie minière capitaliste prête à tous les sacrifices pour obtenir ce qu’elle veut et en tirer profit, les méchas exosquelettes et le reste, je crois qu’il ne manque plus que le lieutenant Ripley à l’appel. Assurément, Ridley Scott ou James Cameron approuverait ce scénario. Je pense sans trop me tromper qu’on pourrait même inclure Prometheus avec tout cet aspect ésotérique qui plane sur ce premier pan de la série. Le président de la compagnie minière semble être un passionné d’ésotérisme et de récit biblique, la mystérieuse créature découverte est affublée du nom d’Ève en référence à qui vous avez devinez, le personnage principal masculin se nomme Adam, un rayon cosmique « Armageddonesque » se dirige vers la Terre suite à l’ouverture par les hommes de cette boîte de Pandore telle une réponse de Dieu à cette interdit qu’a brisé l’humanité. L’auteur cite également en référence 2010 : l’année du premier contact et Outland, mais je n’ai pas vu ces films-là. Cependant le pitch de la relique alien qui va causer horreurs et violences est un vieux classique de la SF. Le film LifeForce mentionné par Bec vaut bien un Ghost of Mars, et on retrouve ce genre de pitch dans un bon nombre d’épisodes de la série télé Stargate SG-1 ou le jeu vidéo Doom 3 par exemple. Et pourtant je ne me suis pas ennuyé ! Mieux, je n’y ai quasiment trouvé que des satisfactions. Oui les dialogues et situations sont très clichés, oui l’histoire est convenue, ne semble à priori pas receler de grosse surprise et le lecteur a souvent un train s’avance. Mais lorsqu’on accepte l’idée qu’il n’y aura rien de particulièrement novateur dans cette histoire (pour un peu qu’on s’y connaisse en SF j’entends), que c’est surtout un trip pour remettre au premier plan toute cette bonne SF qui fait défaut à notre époque (quel ennui Gravity et Interstellar !), et ben c’est l’éclate. Bon pour certains dialogues je ferme les yeux et je me force à me dire que ça fait parti de l’hommage. De plus c’est plutôt rondement bien mené, cohérent, il y a certaines ellipses agaçantes mais pas insurmontables non plus, un rythme de blockbuster qui monte crescendo. D’ailleurs tout est très branché cinéma sur cette BD, l’occasion d’évoquer un peu le dessin de Jaouen, retenez bien ce pseudo, il est génial ce type. Un style réaliste avec du mouvement et ça c’est important à mes yeux, il me fait beaucoup penser à Olivier Thill (Hercule (Soleil)). Si Bec s’inspire d’Alien pour écrire Eternum, Jaouen va piocher chez H.R Giger pour dessiner l’architecture des Bâtisseurs que l’on voit au début, ainsi que pour le sarcophage par la suite. C’est juste remarquable. Dark Horse Comics aurait dû confier à Jaouen le dessin de Fire and Stone (série de comic books se déroulant dans l'univers étendu d'Alien) tellement il semble à l’aise dans le style biomécanique propre à Giger. Et je me lance dans une supposition : la tenue cosmonaute des Bâtisseurs que l’on voit sur la couverture et en page de garde ; allez, avouez, c’est inspiré en partie d’Isaac Clarke le héros du jeu vidéo Dead Space, oui ? Un premier tome réussi et conseillé à la lecture si vous aimez toute cette bonne science-fiction flippante. Mise à jour 28/10/2017 Deux ans plus tard et un tome de transition plaisant graphiquement mais qui ne donnait pas l’impression de faire beaucoup avancer l’intrigue, le verdict tombe : quelle misère ! J’évacue d’emblée le sujet des dessins de Jaouen que je trouve étonnamment en-dessous de la qualité des deux premiers, n’y ayant pas retrouvé ce réalisme virtuose. Sur l’aspect scénaristique déjà on sent le gars en panne d’inspiration comme le protagoniste qui a du mal à bander. Le livre abonde de pages vides de dialogues, près du quart de la BD. Pour le reste, j’y ai retrouvé tout ce que je détestais chez Christophe Bec : les situations stéréotypés, sans suspens, sans idées propres, ce n’est que du vulgaire plagiat auquel je rajouterai à la liste Le Cinquième Élément (en plus des références sus-nommées). Comme d’hab’ dans l’aspect narratif, j’ai souvent eu l’impression que l’auteur nous faisait un copier-coller Wikipédia quant on en arrive aux explications bullshito-scientifiques, un truc qui m’avait déjà gonflé dans Carthago. Exemple de monologue : « C’est dans les temples des cités d’Uruk et de Lagash, le pays de Sumer, l’actuel Irak, que l’on retrouve les premières traces d’écritures datant de 3300 avant J.-C… Les sumériens utilisaient des calames, des roseaux taillés en pointe, pour tracer des signes sur des tablettes d’argile, afin de dénombrer les possessions du temple, comme les sacs de grains ou les têtes de bétail… Ces écritures étaient le plus souvent composées de pictogrammes ou de signes représentant un seul mot ou concept. Il existait plus de 1500 représentations différentes… Mais là où ça se complique, c’est que pour certains mots, les sumériens inventaient des idéogrammes qui mélangeaient deux pictogrammes ! »… Oui, c’est bien. On s’en bat les steaks, mais c’est bien. Et c’est bien entendu suivi derrière d’un biais bullshito-scientifique débile et ineffable. Ridley Scott a trouvé son disciple scénaristique. En bref et résumé, pour expliquer cette dichotomie entre moins appréciation du tome 1 et la suite et fin, j’ai préféré l’action à la testostérone qui sentait bon les 80’s plutôt que ce scénario avec son cortège de révélations foireuses du tome 3 qui pompe allègrement sur le mauvais Prometheus. En plus de la grosse baisse générale des auteurs dont j’ai parlé plus haut. À dégager, zhou, j'balance les rayons cosmiques !
J’ai toujours défendu les œuvres de Bec face à l’adversité. Aujourd’hui, je ne le ferai pas sur cette bd. Mais que s’est-il passé ? J’adore pourtant les mystères ainsi que l’atmosphère de la série de films Aliens. Je suis d’ailleurs en train de faire découvrir la fameuse anthologie à mon plus jeune fils. En fait, ce scénario ne m’a absolument pas convaincu. La recette ne fait plus de miracles ? C’est bien beau de balancer des petites scènes chocs mais au final, c’est le vide intersidéral. J’ai compris qu’il y a un sarcophage où se cache une belle femme dotée de super-pouvoirs à la sauce 5ème élément de Luc Besson et que tout ce qui est à proximité sombre dans le chaos à la manière d’Abyss de James Cameron. Même la fin de ce premier tome est d’une platitude à toute épreuve. Bref, il n’y aura pas de surprise. Il est sans doute temps pour l’auteur de se surpasser au lieu de faire dans les recettes déjà éprouvées. Voilà, c’est dit sans détour hypocrite.
Avec cette série, on retrouve les éléments chers à Christophe Bec : récits à très grand spectacle ne s’embarrassant pas de réalisme, événements à l'échelle planétaire voire au-delà, mystères insondables, le tout dans une mise en scène très Hollywoodienne. Comme souvent avec ce scénariste, l'histoire emprunte beaucoup d'éléments déjà-vus au cinéma ou ailleurs. Ici, les influences les plus marquantes à mes yeux sont la saga Alien mais aussi le plus récent Prometheus. Et c'est vrai qu'il y a aussi un peu de Outland avec cette colonie minière sur une lune lointaine. On retrouve aussi une grande part de ses défauts narratifs même si je les ai trouvés un peu moins accentués que dans d'autres séries comme Carthago ou Prométhée. Ces défauts proviennent avant tout d'une narration décousue, abusant de flash-backs et d'ellipses, faisant sauter le lecteur d'un cadre à un autre, de personnages à d'autres, sans transition, au point de très facilement perdre le lecteur ou de l'embrouiller inutilement. Il est très difficile de s'attacher à un personnage en particulier, d'autant plus qu'il est ici encore facile de les confondre. Pourtant le dessin de Jaouen est bon et bien adapté au grand spectacle. Il pêche cependant lui aussi au niveau de la narration puisque la mise en page n'est pas toujours évidente et qu'il m'est arrivé à quelques reprises de lire certaines cases dans le mauvais ordre. Ça en fait des reproches et c'est sûr que je suis facilement sévère avec les séries de Christophe Bec qui m'a plusieurs fois déçu par le passé. Mais si je passe outre les défauts cités ci-dessus, nous avons quand même un récit accrocheur, avec un bon dessin, une curiosité nettement titillée et l'envie de savoir ce qu'il va se passer ensuite et de comprendre la clé du mystère. Pour autant, je reste sur mes gardes et j'attends de voir la suite pour constater si la série vaut l'achat ou non.
J'hésite, j'hésite. D'emblée Christophe Bec nous prévient : avec Jaouen au dessin, il souhaite écrire une histoire de science-fiction qui rende hommage à tous les films des années 80, d'"Alien" à "2010" en passant par "Outland" pour le côté claustrophobe. Depuis ses débuts cela a toujours été la marque de fabrique de Mr Bec, se servir deci delà, autant dans la filmographie américaine que dans tous les mythes mondiaux, qu'ils soient issus du folklore traditionnel, des légendes, que de la théorie du complot, (cf, Prométhée). N'en déplaise aux puristes, cet auteur possède quoiqu'on en dise un talent certain pour mélanger, mixer et retranscrire tous ces faits, les mettre en forme dans des histoires qui forcément nous titillent l’intellect, puisque faisant référence à des sujets déjà vus, déjà lus. Le jeu est alors aisé de chercher les influences diverses et variées qui émaillent ses histoires. Ici, donc point de surprise sur le fond. Quant à la forme, ma foi, si les choses ne sont pas d'une originalité folle, elles sont bien amenées. Encore une fois serait-on tentés de dire, on démarre de la même manière que mille autres fois. Sur une lointaine planète un consortium minier découvre un artefact extra-terrestre, ici un mystérieux sarcophage dont l'ouverture provoque moult évènements, dans la mine où il est trouvé, dans le vaisseau chargé de le ramener sur terre. A cet enchainement relativement classique vient s'ajouter quelques éléments d'ordre biblique (cf "Le cinquième élément") comme en témoigne le nom des héros et quelques planches du début venues en ligne directe de "Prométheus". Encore une fois la science du scénario de Christophe Bec fait son œuvre, et son découpage de l'histoire nous donne envie d'en savoir plus et du coup la lecture de ce premier tome se fait avec plaisir. Contrairement à ses autres œuvres où Bec s'était adjoint les services picturaux de Stefano Raffaelle, Prométhée et Nicola Genzianella, Bunker, ici Jaouen revient à un trait plus "ordinaire" sans abuser des effets numériques, avec photos retouchées à l'appui dont personnellement je trouve que ses prédécesseurs abusaient et pour un résultat finalement assez raide et figé. Pour l'instant je réserve ma note qui ne demande qu'à s'élever, cette histoire est a priori prévue en trois tomes et nous verrons si cela ne s'embarque pas trop dans ce que je qualifierais de délire esotérico-mystico-complotico-shamanique. Je ne peux faire mieux pour l'instant, même si les influences sont bien retranscrites, l'ensemble manque par trop d'originalité pour mériter mieux. Cependant je suivrai quand même.
Nouvelle série de SF scénarisée par Christophe Bec, Eternum démarre de façon plutôt agréable et prometteuse. Nous sommes dans un futur où l'homme a colonisé d'autres planètes. L'intrigue s'ouvre par une découverte bien étrange, des mineurs tombent sur un objet mystérieux, une sorte de sarcophage, alors qu'ils sont en train de forer des galeries quelque part dans un coin du système solaire. Et cette découverte va semble t-il les rendre fous... Plus on avance dans l'intrigue et plus on découvre la folie qui gagne ceux qui ont approché le sarcophage. Le lien avec le sarcophage est "supposé" au départ, pour devenir évident par la suite. L'idée est plutôt sympa et la tension va aller crescendo, le nombre de morts étant lui aussi en constante augmentation au fil des pages. Différentes théories sont élaborées sur les raisons de ces carnages, on aura évidemment que peu de réponses dans ce tome un. Mais celles qui nous seront données vont chatouiller la curiosité du lecteur. Ca fonctionne et ça donne envie de découvrir ce qui se cache derrière tous ces mystères. Graphiquement c'est également sympa, on est bien plongé dans l'ambiance et si on ne distingue pas forcément toujours les protagonistes dans leur scaphandre ce n'est vraiment pas gênant. En conclusion une entame prometteuse qui donne envie de lire la suite.
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